Buea: L’université à la recherche de financements pour ses nouvelles écoles
Douala, 16 Dec. 2010
© La Nouvelle Expression
Il s’agit notamment de la faculté d’agriculture et des sciences vétérinaires, la faculté d’ingénierie et des technologies, et du collège de technologies (Iut) dont les premiers étudiants reçoivent leur formation depuis la rentrée académique 2010 – 2011 qui a débuté en octobre dernier
Selon le recteur de cette institution, la cérémonie de remise de parchemins à la toute première promotion du système LMD prévue pour demain, sera une occasion de levée de fonds pour le financement des nouvelles facultés et écoles devenues fonctionnelles cette année.
Il s’agit notamment de la faculté d’agriculture et des sciences vétérinaires, la faculté d’ingénierie et des technologies, et du collège de technologies (Iut) dont les premiers étudiants reçoivent leur formation depuis la rentrée académique 2010 – 2011 qui a débuté en octobre dernier.
Dans un communiqué de presse rendu public à cet effet, le recteur Prof. Vincent Titanji a mentionné que cette collecte de fonds rentre dans le cadre du Fond de développement de l’Université de Buea (Ubdef), avec pour but principal de soutenir la construction des bâtiments devant abriter ces nouveaux établissements. Il faut noter qu’à l’heure actuelle, certaines salles de classe continuent à servir de bureau pour les départements effectivement opérationnels dans ces facultés, alors que les décanats font encore office dans les chutes des amphithéâtres.
Pour les cours, elles empruntent les salles affectées aux autres facultés et programmes, avec comme conséquence les clashs d’horaires régulièrement observés devant certaines salles de cours, tandis que les séances de pratiques devront être orientées vers les laboratoires de la Cameroon Development Coorporation (Cdc). Pour donc parvenir à la centaine de millions attendue par l’administration de l’Université de Buea, le recteur Titanji Vincent à centré ses espoir sur la contribution des entreprises citoyennes, des groupes d’intérêts divers, des organisations et des individus de bonne volonté pour selon lui, atteindre l’objectif de la formation de professionnels de qualité pour la nation. La création de ces établissements à orientation professionnelle vient ainsi, selon lui, diversifier l’enseignement offert par son institution à travers des programmes professionnels qui contribueront ainsi au développement des secteurs agricole, de l’ingénierie, et des technologies au Cameroun.
Par ailleurs, ils seront au total plus de 2300 étudiants (dont 218 licences et 09 masters en faculté des Arts, 451 licences en faculté des sciences de l’éducation, 62 licences en faculté des sciences de la santé, 544 licences et 5 doctorats en facultés des sciences, et 1100 licences en faculté des sciences sociales) de la toute première promotion du système Licence – Master – Doctorat (LMD) à recevoir leur parchemins de fin de cycle, ceci au cours d’une cérémonie solennelle à présider par le ministre Jacques Fame Ndongo qui s’y était rendu il y a de cela trois ans pour le lancement de ce nouveau système dont l’intérêt, avait –il expliqué, visait le professionnalisation de l’enseignement supérieur au Cameroun.
© La Nouvelle Expression
Il s’agit notamment de la faculté d’agriculture et des sciences vétérinaires, la faculté d’ingénierie et des technologies, et du collège de technologies (Iut) dont les premiers étudiants reçoivent leur formation depuis la rentrée académique 2010 – 2011 qui a débuté en octobre dernier
Selon le recteur de cette institution, la cérémonie de remise de parchemins à la toute première promotion du système LMD prévue pour demain, sera une occasion de levée de fonds pour le financement des nouvelles facultés et écoles devenues fonctionnelles cette année.
Il s’agit notamment de la faculté d’agriculture et des sciences vétérinaires, la faculté d’ingénierie et des technologies, et du collège de technologies (Iut) dont les premiers étudiants reçoivent leur formation depuis la rentrée académique 2010 – 2011 qui a débuté en octobre dernier.
Dans un communiqué de presse rendu public à cet effet, le recteur Prof. Vincent Titanji a mentionné que cette collecte de fonds rentre dans le cadre du Fond de développement de l’Université de Buea (Ubdef), avec pour but principal de soutenir la construction des bâtiments devant abriter ces nouveaux établissements. Il faut noter qu’à l’heure actuelle, certaines salles de classe continuent à servir de bureau pour les départements effectivement opérationnels dans ces facultés, alors que les décanats font encore office dans les chutes des amphithéâtres.
Pour les cours, elles empruntent les salles affectées aux autres facultés et programmes, avec comme conséquence les clashs d’horaires régulièrement observés devant certaines salles de cours, tandis que les séances de pratiques devront être orientées vers les laboratoires de la Cameroon Development Coorporation (Cdc). Pour donc parvenir à la centaine de millions attendue par l’administration de l’Université de Buea, le recteur Titanji Vincent à centré ses espoir sur la contribution des entreprises citoyennes, des groupes d’intérêts divers, des organisations et des individus de bonne volonté pour selon lui, atteindre l’objectif de la formation de professionnels de qualité pour la nation. La création de ces établissements à orientation professionnelle vient ainsi, selon lui, diversifier l’enseignement offert par son institution à travers des programmes professionnels qui contribueront ainsi au développement des secteurs agricole, de l’ingénierie, et des technologies au Cameroun.
Par ailleurs, ils seront au total plus de 2300 étudiants (dont 218 licences et 09 masters en faculté des Arts, 451 licences en faculté des sciences de l’éducation, 62 licences en faculté des sciences de la santé, 544 licences et 5 doctorats en facultés des sciences, et 1100 licences en faculté des sciences sociales) de la toute première promotion du système Licence – Master – Doctorat (LMD) à recevoir leur parchemins de fin de cycle, ceci au cours d’une cérémonie solennelle à présider par le ministre Jacques Fame Ndongo qui s’y était rendu il y a de cela trois ans pour le lancement de ce nouveau système dont l’intérêt, avait –il expliqué, visait le professionnalisation de l’enseignement supérieur au Cameroun.