BON_àSAVOIR
SSOURCE: SUN PLUS TV
Hello Les Sun-Tiviseurs aujourd'hui on parle du CUNNILINGUS ( pratique sexuelle qui consiste à lécher la vulve de la femme).
« Les femmes dans leur grande majorité en raffolent ».
Pratique peu appréciée par certains hommes, et spécialité chez d’autres, le cunnilingus est un sujet quelque peu tabou en matière de sexualité. Pourtant, messieurs, sachez que les femmes dans leur grande majorité en raffolent. STOPPER NOUS les filles si on se trompe
Parce qu’il faut le dire, il a été scientifiquement prouvé qu’au-delà des caresses et de toutes sortes de préliminaires, le cunnilingus reste et demeure l’une des principales sources du plaisir féminin. Certaines femmes confient même le préférer à la pénétration elle-même ; cela va de soi, quand on sait le plaisir fou qu’il peut leur procurer lorsqu’il est bien pratiqué.
Le cunnilingus, cette pratique sexuelle aux bienfaits inimaginables
Quand il est bien pratiqué, il permet :
– Une meilleure digestion
– Une optimisation de la concentration
– Un rajeunissement et raffermissement du visage
– Une amélioration de l’oxygénation du cerveau
– Une diminution drastique de la dépression
– Un soulagement des douleurs
Cependant, voici les risques quand on en pratique :
Chlamydia, hépatite B ou C, syphilis… à peu près toutes les MST/IST (infections sexuellement transmissibles) peuvent être transmises lors d’un cunnilingus, explique le Dr Sandra Fornage, gynécologue spécialisée en médecine sexuelle. Ces infections se transmettent toutefois moins facilement par le sexe oral que par pénétration, notamment anale. Herpès et HPV (papillomavirus humain) sont transmissibles facilement lors des pratiques de sexe oral par simple contact des muqueuses. »
Risque quasi-nul pour le VIH
À la question "Quel est le risque de contamination par cunnilingus pour le VIH ? ", l’interlocuteur de Sida Info Service nous répond illico : « Très faible. Cela représente, il me semble, moins de 5 à 7 cas en plus de 40 ans dans le monde.