Biya – Hollande: La rencontre de tous les dangers
Yaoundé, 21 Janvier 2013
© GUY RAYMOND ELOKAN | L'Anecdote
Plusieurs lobbies et groupes de pressions qui avaient donné autant d'assurance aux prisonniers dits de luxes et leurs partenaires tapis dans le sérail, dans des institutions privées de renom, sentent venir l'apocalypse.
Plusieurs lobbies et groupes de pressions qui avaient donné autant d'assurance aux prisonniers dits de luxes et leurs partenaires tapis dans le sérail, dans des institutions privées de renom, sentent venir l'apocalypse. Leur dernier verrou était de mettre le chef de l'Etat à mal auprès de certaines chancelleries. A l'Elysée on aura noté comme une abondance de correspondance. Les révélations de François Hollande guillotinent plusieurs ministres et anciens ministres, Dg et diplomates. L'échec de quelques activistes en Suisse et plusieurs précisions de la prochaine rencontre entre les deux chefs de l'Etat sonnent le glas des pourfendeurs de la République.
Des sources dignes de la plus grande foi, l'on annonce pour bientôt, une rencontre au sommet Paul Biya-François hollande. Une rencontre qualifiée dans les milieux de la plus haute diplomatie comme le tournant déterminant d'une coopération non seulement bilatérale mais qui va orienter plusieurs enjeux géostratégiques dans la sous région Afrique centrale. A commencer par le Cameroun dont les différentes mues pourront être décisives pour tout le continent. La dernière intervention du président Paul Biya s'adressant à l'Onu lors de la présentation des vœux au corps diplomatique accrédité à Yaoundé au début du mois et le résultat qui a suivi 48 heures après pour infléchir la situation en Centrafrique participe du renouveau auquel il faut s'attendre. En effet, sur le plan de la politique extérieure des Etats, Paul Biya a clairement donné sa lecture. Sur le continent, dans le Moyen Orient, dans le proche Orient. La France devra s'y accorder. Mais si les Etats-Unis d'Amérique ont trouvé pertinent le regard de Paul Biya qui, il faut le souligner milite pour une réorganisation du système onusien et encouragé en cela par la Grande Bretagne, la Chine et le Brésil, la France n'en est pas si éloignée Cela pourrait bien justifier la position qui est celle du Cameroun actuellement par rapport à la crise malienne. C'est pour cela que les animateurs de plusieurs géostratégies estiment qu'il faut accélérer les préparatifs Biya-Hollande. Et à dire vrai, le froid regrettablement entretenu et à dessein par l'ex-président français Nicolas Sarkozy, favorable à des groupes de pression engagés à évincer à tous prix des chefs d'Etat africains à expériences pourtant avérées est à réparer.
Et le cadre de la rencontre Biya-Hollande s'y prête bien. On se souvient qu'au plus fort de la guerre du Golfe, le président américain Bush dut s'entretenir avec son homologue Paul Biya pour les éventuelles stratégies et conduites nécessaires à tenir. Sur le plan intérieur, la rencontre Biya-Hollande fait peur à plus d'un. Le chef de l'Etat s'était souvent étonné que la politique des «grandes réalisations» trouve autant d'ombres pour une avancée fulgurante. Le président Hollande n'en sait que trop. Aussi, en dehors de quelques traités dont la caducité est évidente, la France et le Cameroun dans un langage de vérité augure une ère de prospérité et de sérénité certaine. Dans les prochains jours, les résultats de cette rencontre au sommet donneront certainement le quitus attendu de tous les camerounais, encore digne de l'être.
© GUY RAYMOND ELOKAN | L'Anecdote
Plusieurs lobbies et groupes de pressions qui avaient donné autant d'assurance aux prisonniers dits de luxes et leurs partenaires tapis dans le sérail, dans des institutions privées de renom, sentent venir l'apocalypse.
Plusieurs lobbies et groupes de pressions qui avaient donné autant d'assurance aux prisonniers dits de luxes et leurs partenaires tapis dans le sérail, dans des institutions privées de renom, sentent venir l'apocalypse. Leur dernier verrou était de mettre le chef de l'Etat à mal auprès de certaines chancelleries. A l'Elysée on aura noté comme une abondance de correspondance. Les révélations de François Hollande guillotinent plusieurs ministres et anciens ministres, Dg et diplomates. L'échec de quelques activistes en Suisse et plusieurs précisions de la prochaine rencontre entre les deux chefs de l'Etat sonnent le glas des pourfendeurs de la République.
Des sources dignes de la plus grande foi, l'on annonce pour bientôt, une rencontre au sommet Paul Biya-François hollande. Une rencontre qualifiée dans les milieux de la plus haute diplomatie comme le tournant déterminant d'une coopération non seulement bilatérale mais qui va orienter plusieurs enjeux géostratégiques dans la sous région Afrique centrale. A commencer par le Cameroun dont les différentes mues pourront être décisives pour tout le continent. La dernière intervention du président Paul Biya s'adressant à l'Onu lors de la présentation des vœux au corps diplomatique accrédité à Yaoundé au début du mois et le résultat qui a suivi 48 heures après pour infléchir la situation en Centrafrique participe du renouveau auquel il faut s'attendre. En effet, sur le plan de la politique extérieure des Etats, Paul Biya a clairement donné sa lecture. Sur le continent, dans le Moyen Orient, dans le proche Orient. La France devra s'y accorder. Mais si les Etats-Unis d'Amérique ont trouvé pertinent le regard de Paul Biya qui, il faut le souligner milite pour une réorganisation du système onusien et encouragé en cela par la Grande Bretagne, la Chine et le Brésil, la France n'en est pas si éloignée Cela pourrait bien justifier la position qui est celle du Cameroun actuellement par rapport à la crise malienne. C'est pour cela que les animateurs de plusieurs géostratégies estiment qu'il faut accélérer les préparatifs Biya-Hollande. Et à dire vrai, le froid regrettablement entretenu et à dessein par l'ex-président français Nicolas Sarkozy, favorable à des groupes de pression engagés à évincer à tous prix des chefs d'Etat africains à expériences pourtant avérées est à réparer.
Et le cadre de la rencontre Biya-Hollande s'y prête bien. On se souvient qu'au plus fort de la guerre du Golfe, le président américain Bush dut s'entretenir avec son homologue Paul Biya pour les éventuelles stratégies et conduites nécessaires à tenir. Sur le plan intérieur, la rencontre Biya-Hollande fait peur à plus d'un. Le chef de l'Etat s'était souvent étonné que la politique des «grandes réalisations» trouve autant d'ombres pour une avancée fulgurante. Le président Hollande n'en sait que trop. Aussi, en dehors de quelques traités dont la caducité est évidente, la France et le Cameroun dans un langage de vérité augure une ère de prospérité et de sérénité certaine. Dans les prochains jours, les résultats de cette rencontre au sommet donneront certainement le quitus attendu de tous les camerounais, encore digne de l'être.