Biens mal acquis: enquête à Paris visant le président camerounais Paul Biya Click to jump to 'AFP'
PARIS - 24 NOV. 2010
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Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire après la plainte d'une association pour "recel de détournements de fonds publics" visant le président camerounais Paul Biya, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
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Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire après la plainte d'une association pour "recel de détournements de fonds publics" visant le président camerounais Paul Biya, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Le parquet de Paris a ouvert une
enquête préliminaire après la plainte d'une association pour "recel de
détournements de fonds publics" visant le président camerounais Paul
Biya, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire après la plainte d'une association pour "recel de détournements de fonds publics" visant le président camerounais Paul Biya, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
L'Union pour une diaspora active avait porté plainte le 2 novembre à Paris contre le dirigeant camerounais, soupçonné de s'être constitué un important patrimoine en France financé par des détournements de fonds publics.
Le parquet de Paris a décidé d'ouvrir "la semaine dernière" une enquête préliminaire, confiée aux policiers de l'Office central de la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), selon cette source.
Le parquet de Paris avait déjà classé sans suite en février une plainte déposée par une autre association, le Conseil des Camerounais de la diaspora (CCD), du fait notamment de l'immunité présidentielle dont bénéficie Paul Biya.
Selon le président de l'Union pour une diaspora active, Célestin Djamen, le patrimoine acquis en France par M. Biya, à la tête du Cameroun depuis 1982, pourrait atteindre plusieurs centaines de millions d'euros.
La plainte de cette association est dans la droite ligne de celles déposées ces deux dernières années par plusieurs associations comme Transparency international visant trois chefs d'Etat africains: Denis Sassou Nguesso du Congo, Teodoro Obiang Nguema de Guinée-Equatoriale et le défunt chef d'Etat gabonais Omar Bongo.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire après la plainte d'une association pour "recel de détournements de fonds publics" visant le président camerounais Paul Biya, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
L'Union pour une diaspora active avait porté plainte le 2 novembre à Paris contre le dirigeant camerounais, soupçonné de s'être constitué un important patrimoine en France financé par des détournements de fonds publics.
Le parquet de Paris a décidé d'ouvrir "la semaine dernière" une enquête préliminaire, confiée aux policiers de l'Office central de la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF), selon cette source.
Le parquet de Paris avait déjà classé sans suite en février une plainte déposée par une autre association, le Conseil des Camerounais de la diaspora (CCD), du fait notamment de l'immunité présidentielle dont bénéficie Paul Biya.
Selon le président de l'Union pour une diaspora active, Célestin Djamen, le patrimoine acquis en France par M. Biya, à la tête du Cameroun depuis 1982, pourrait atteindre plusieurs centaines de millions d'euros.
La plainte de cette association est dans la droite ligne de celles déposées ces deux dernières années par plusieurs associations comme Transparency international visant trois chefs d'Etat africains: Denis Sassou Nguesso du Congo, Teodoro Obiang Nguema de Guinée-Equatoriale et le défunt chef d'Etat gabonais Omar Bongo.