Avertissement des Journaux "La Météo" et "L'Anecdote" par le CNC: La Réaction de L'Anecdote
YAOUNDE - 25 JUIN 2012
© L'Anecdote
"Qu'il soit bien clair, la non observation de ces prolégomènes par les hommes qui tiennent pour un temps tout ou une moindre parcelle de pouvoir, grâce à notre humaine condition de citoyens ayant librement choisi ses dirigeants et ses lois, confortera le journal L'Anecdote à ne reculer devant aucune menace. D'où qu'elle vienne."
Communiqué: AVERTISSEMENT AUX DIRECTEURS DE PUBLICATION DES JOURNAUX «LA METEO» ET «L'ANECDOTE»
Le Conseil National de la Communication, après plusieurs rappels à l'ordre des Directeurs de publication des organes de presse, Exerçant ses prérogatives en matière de sanctions contenues dans le décret n° 2012/038 du 23 janvier 2012 portant réorganisation du Conseil national de la Communication,
Adresse un avertissement aux Directeurs de publication du journal «La Météo» ainsi qu'à celui du journal «l'Anecdote» pour atteinte répétée à la vie privée de certains citoyens de la République.
En cas de récidive, le Conseil National de la Communication sera dans l'obligation de suspendre la parution desdits organes de presse.
En même temps, le Conseil National de la Communication rappelle à tous les organes de presse qu'ils n'ont pas pour mission de se substituer aux instances judiciaires en organisant des procès populaires et publics, d'exposer la vie privée des individus, et surtout sans preuve à l'appui. Les dénonciations portant sur la vie privée des individus relèvent du droit et sont punies comme telles.
Le Cameroun a besoin de paix, les médias ne doivent pas créer des frustrations et des suspicions déshonorantes parmi les populations.
Le Président du CNC Mgr Joseph BEFE ATEBA
Evêque du diocèse de Kribi"
Note de la Rédaction (L'Anecdote)
Les réseaux homosexuels de Marafa Hamidou Yaya, et les acteurs de l'avilissement des fonds et autres incongruités qui empêchent notre pays de prendre le meilleur cap, auront tort de crier victoire, après la sortie médiatique du Conseil National de la Communication (Cnc) avec pour objet «Avertissement aux Directeurs de publication des journaux «La Météo» et «L'Anecdote». Le président de cette institution que nous respectons, du fait de notre position de professionnels en quête permanente de phase avec la déontologie et l'éthique que défend ce tribunal des pairs, est de surcroit dans son rôle tel que nous le souhaitons depuis la réorganisation du Conseil national de la communication par le président de la république.
Et malgré l'illusion du caractère discriminatoire, qui laisse transparaitre comme une menace de «suspendre» seulement La Météo et l'Anecdote, si nous persistons dans notre engagement à dénoncer de manière forte, l'institutionnalisation de maux qui minent notre pays et dont le vol, les prévarications, les détournements, l'intoxication, la désinformation et l'instauration par certaines personnalités des pratiques d'homosexualité dans les hautes sphères gouvernantes et dirigeantes, n'en sont pas moins des fresques rigoureuses des crimes que notre peuple subit sous le regard complice et silencieux de certains d'entre nous. Car le risque demeure fort de faire croire que le fait de nous pointer du doigt exclut du champ des atteintes à la vie privée, les attaques gratuites et intéressées de certaines personnalités et groupes tapis dans l'ombre contre le Président de la République, sa famille et son entourage, ainsi que d'autres personnalités du fait de leur proximité idéologique ou professionnelle d'avec les institutions établies. Pour ne citer que ceux-ci dont nous sommes les fervents sinon pour le moment les seuls défenseurs.
Nous saluerons toujours, non pas les menaces contre des professionnels citoyens et patriotes que nous croyons être, toutes les actions qui vont dans le sens du respect de la dignité humaine surtout lorsqu'elle est investie d'un destin national, comme des régies éthiques et déontologiques si elles sont bien comprises et acceptées de tous les professionnels, sans exclusion ni esprit d'hypocrisie. A cet effet, notre conviction est d'autant plus grande que le Conseil National de la Communication, dont le président de la république a donné toutes ses lettres de noblesse, va atteler à travers une juste et ferme régulation de la presse, à la promotion des valeurs qui fondent toute société humaine habitée par le respect des institutions établies, la considération de l'autre et l'absence de l'arrogance et de l'hypocrisie. Comme cela semble malheureusement être le cas depuis que Paul Biya, seul contre tous, a décidé d'évacuer les écuries d'Augias en mandant le soutien de tous.
Qu'il soit bien clair, la non observation de ces prolégomènes par les hommes qui tiennent pour un temps tout ou une moindre parcelle de pouvoir, grâce à notre humaine condition de citoyens ayant librement choisi ses dirigeants et ses lois, confortera le journal L'Anecdote à ne reculer devant aucune menace. D'où qu'elle vienne. Nous nous engageons donc à toujours susciter le débat, informer sans à priori, éduquer les masses laborieuses ainsi que les forces vives dans le respect du bien commun, au delà de notre soutien sans faille aux institutions républicaines et surtout à celui qui les incarne. Nous militerons toujours, comme par le passé, à attirer l'attention des pouvoirs publics sur la nécessité de donner au Conseil national de la communication ainsi qu'a toutes les autres institutions appelées à l'aider dans ses combats républicains, les moyens humains, matériels, moraux et financiers, susceptibles de lui permettre de mener à bien sa tache. Sans discrimination aucune, ni esprit de revanche ou de règlement de comptes, au bénéfice d'un groupe ou d'une cause pernicieuse.
C'est dans cet esprit que nous prenons acte de «l'avertissement» de Mgr Joseph Befe Ateba, évêque du diocèse de Kribi, président de Cnc, dans l'entendement que cette sortie, qui ne sera certainement pas la dernière et qui aurait bien pu concerner plus d'un avant nous, au regard de l'actualité florissante ayant couvert d'opprobre le chef de l'Etat et ses plus proches. Au delà, et c'est notre humble avis qui à la longue peut laisser subsister un doute quant à la détermination du Conseil national de la communication à mettre en œuvre l'entièreté de ses objectifs, de ne pas toujours oublier de condamner à tout le moins les maux que nous querellons dans nos écrits d'êtres (simplement humains et patriotes) inquiets pour l'avenir de notre pays. Et dont la soumission des autres a la pratique de l'homosexualité comme condition d'ascension, le détournement, le vol, l'intoxication et la délation demeurent, le plus souvent, des fresques rigoureuses des combats que mènent tous les corps sociaux. Au premier rang desquels, avec bonheur trône l'Eglise catholique du Cameroun, a travers la Conférence Episcopale nationale du Cameroun (Cenc), institution dont est issu le président du Conseil national de la communication, heureusement.
En marquant fermement ainsi son positionnement, comme le font déjà les autres corps sociaux contre ces crimes qui avilissent nos espoirs et annihilent nos efforts, au delà du rejet de l'homosexualité, cette abjecte tendance sexuelle, dans les prochaines sorties médiatiques, l'opinion publique victime expiatoire, n'aura plus cette impression persistance que notre respectable institution de régulation prend faits et causes pour les homosexuels et autres criminels à cols blancs. Il s'agit, et la polémique enfle déjà dans ce sens au sein des puristes, de rassurer les uns et les autres, outrés par la saturation de l'espace médiatique bien ciblé, de penser à tirer la sonnette d'alarme à l'endroit de ces organes de presse qui bénéficient du privilège de publication des lettres ouvertes de Marafa Hamidou Yaya essentiellement à portées calomnieuses et diffamatoires à l'endroit du Chef de l'Etat et sa famille. Ainsi qu'aux adeptes de la publication des listes des comptes bancaires de la famille présidentielle qui entre également dans le registre des atteintes à «la vie privée».
Mais le débat n'est pas encore à son terme, même comme il faut reconnaître que l'action du chef de l'Etat allant dans le sens de doter le Conseil national de la communication des moyens idoines et suffisant constitue un début de solution aux maux dont semble être engluée, ce qu'il est convenu encore d'appeler la presse au Cameroun. Et le choix par le chef de l'Etat en personne de ce brillant intellectuel, et non moins prélat à la dignité suprême établie, auxquels il faut ajouter des états de services qui militent positivement en sa faveur, ne le prédisposent nullement à céder au paradigme de l'émotion éhontée. Comme savent le faire ceux là qui ont choisi de se mettre au bac de l'histoire.
En toute confraternité.
© L'Anecdote
"Qu'il soit bien clair, la non observation de ces prolégomènes par les hommes qui tiennent pour un temps tout ou une moindre parcelle de pouvoir, grâce à notre humaine condition de citoyens ayant librement choisi ses dirigeants et ses lois, confortera le journal L'Anecdote à ne reculer devant aucune menace. D'où qu'elle vienne."
Le Conseil National de la Communication, après plusieurs rappels à l'ordre des Directeurs de publication des organes de presse, Exerçant ses prérogatives en matière de sanctions contenues dans le décret n° 2012/038 du 23 janvier 2012 portant réorganisation du Conseil national de la Communication,
Adresse un avertissement aux Directeurs de publication du journal «La Météo» ainsi qu'à celui du journal «l'Anecdote» pour atteinte répétée à la vie privée de certains citoyens de la République.
En cas de récidive, le Conseil National de la Communication sera dans l'obligation de suspendre la parution desdits organes de presse.
En même temps, le Conseil National de la Communication rappelle à tous les organes de presse qu'ils n'ont pas pour mission de se substituer aux instances judiciaires en organisant des procès populaires et publics, d'exposer la vie privée des individus, et surtout sans preuve à l'appui. Les dénonciations portant sur la vie privée des individus relèvent du droit et sont punies comme telles.
Le Cameroun a besoin de paix, les médias ne doivent pas créer des frustrations et des suspicions déshonorantes parmi les populations.
Le Président du CNC Mgr Joseph BEFE ATEBA
Evêque du diocèse de Kribi"
Note de la Rédaction (L'Anecdote)
Les réseaux homosexuels de Marafa Hamidou Yaya, et les acteurs de l'avilissement des fonds et autres incongruités qui empêchent notre pays de prendre le meilleur cap, auront tort de crier victoire, après la sortie médiatique du Conseil National de la Communication (Cnc) avec pour objet «Avertissement aux Directeurs de publication des journaux «La Météo» et «L'Anecdote». Le président de cette institution que nous respectons, du fait de notre position de professionnels en quête permanente de phase avec la déontologie et l'éthique que défend ce tribunal des pairs, est de surcroit dans son rôle tel que nous le souhaitons depuis la réorganisation du Conseil national de la communication par le président de la république.
Et malgré l'illusion du caractère discriminatoire, qui laisse transparaitre comme une menace de «suspendre» seulement La Météo et l'Anecdote, si nous persistons dans notre engagement à dénoncer de manière forte, l'institutionnalisation de maux qui minent notre pays et dont le vol, les prévarications, les détournements, l'intoxication, la désinformation et l'instauration par certaines personnalités des pratiques d'homosexualité dans les hautes sphères gouvernantes et dirigeantes, n'en sont pas moins des fresques rigoureuses des crimes que notre peuple subit sous le regard complice et silencieux de certains d'entre nous. Car le risque demeure fort de faire croire que le fait de nous pointer du doigt exclut du champ des atteintes à la vie privée, les attaques gratuites et intéressées de certaines personnalités et groupes tapis dans l'ombre contre le Président de la République, sa famille et son entourage, ainsi que d'autres personnalités du fait de leur proximité idéologique ou professionnelle d'avec les institutions établies. Pour ne citer que ceux-ci dont nous sommes les fervents sinon pour le moment les seuls défenseurs.
Nous saluerons toujours, non pas les menaces contre des professionnels citoyens et patriotes que nous croyons être, toutes les actions qui vont dans le sens du respect de la dignité humaine surtout lorsqu'elle est investie d'un destin national, comme des régies éthiques et déontologiques si elles sont bien comprises et acceptées de tous les professionnels, sans exclusion ni esprit d'hypocrisie. A cet effet, notre conviction est d'autant plus grande que le Conseil National de la Communication, dont le président de la république a donné toutes ses lettres de noblesse, va atteler à travers une juste et ferme régulation de la presse, à la promotion des valeurs qui fondent toute société humaine habitée par le respect des institutions établies, la considération de l'autre et l'absence de l'arrogance et de l'hypocrisie. Comme cela semble malheureusement être le cas depuis que Paul Biya, seul contre tous, a décidé d'évacuer les écuries d'Augias en mandant le soutien de tous.
Qu'il soit bien clair, la non observation de ces prolégomènes par les hommes qui tiennent pour un temps tout ou une moindre parcelle de pouvoir, grâce à notre humaine condition de citoyens ayant librement choisi ses dirigeants et ses lois, confortera le journal L'Anecdote à ne reculer devant aucune menace. D'où qu'elle vienne. Nous nous engageons donc à toujours susciter le débat, informer sans à priori, éduquer les masses laborieuses ainsi que les forces vives dans le respect du bien commun, au delà de notre soutien sans faille aux institutions républicaines et surtout à celui qui les incarne. Nous militerons toujours, comme par le passé, à attirer l'attention des pouvoirs publics sur la nécessité de donner au Conseil national de la communication ainsi qu'a toutes les autres institutions appelées à l'aider dans ses combats républicains, les moyens humains, matériels, moraux et financiers, susceptibles de lui permettre de mener à bien sa tache. Sans discrimination aucune, ni esprit de revanche ou de règlement de comptes, au bénéfice d'un groupe ou d'une cause pernicieuse.
C'est dans cet esprit que nous prenons acte de «l'avertissement» de Mgr Joseph Befe Ateba, évêque du diocèse de Kribi, président de Cnc, dans l'entendement que cette sortie, qui ne sera certainement pas la dernière et qui aurait bien pu concerner plus d'un avant nous, au regard de l'actualité florissante ayant couvert d'opprobre le chef de l'Etat et ses plus proches. Au delà, et c'est notre humble avis qui à la longue peut laisser subsister un doute quant à la détermination du Conseil national de la communication à mettre en œuvre l'entièreté de ses objectifs, de ne pas toujours oublier de condamner à tout le moins les maux que nous querellons dans nos écrits d'êtres (simplement humains et patriotes) inquiets pour l'avenir de notre pays. Et dont la soumission des autres a la pratique de l'homosexualité comme condition d'ascension, le détournement, le vol, l'intoxication et la délation demeurent, le plus souvent, des fresques rigoureuses des combats que mènent tous les corps sociaux. Au premier rang desquels, avec bonheur trône l'Eglise catholique du Cameroun, a travers la Conférence Episcopale nationale du Cameroun (Cenc), institution dont est issu le président du Conseil national de la communication, heureusement.
En marquant fermement ainsi son positionnement, comme le font déjà les autres corps sociaux contre ces crimes qui avilissent nos espoirs et annihilent nos efforts, au delà du rejet de l'homosexualité, cette abjecte tendance sexuelle, dans les prochaines sorties médiatiques, l'opinion publique victime expiatoire, n'aura plus cette impression persistance que notre respectable institution de régulation prend faits et causes pour les homosexuels et autres criminels à cols blancs. Il s'agit, et la polémique enfle déjà dans ce sens au sein des puristes, de rassurer les uns et les autres, outrés par la saturation de l'espace médiatique bien ciblé, de penser à tirer la sonnette d'alarme à l'endroit de ces organes de presse qui bénéficient du privilège de publication des lettres ouvertes de Marafa Hamidou Yaya essentiellement à portées calomnieuses et diffamatoires à l'endroit du Chef de l'Etat et sa famille. Ainsi qu'aux adeptes de la publication des listes des comptes bancaires de la famille présidentielle qui entre également dans le registre des atteintes à «la vie privée».
Mais le débat n'est pas encore à son terme, même comme il faut reconnaître que l'action du chef de l'Etat allant dans le sens de doter le Conseil national de la communication des moyens idoines et suffisant constitue un début de solution aux maux dont semble être engluée, ce qu'il est convenu encore d'appeler la presse au Cameroun. Et le choix par le chef de l'Etat en personne de ce brillant intellectuel, et non moins prélat à la dignité suprême établie, auxquels il faut ajouter des états de services qui militent positivement en sa faveur, ne le prédisposent nullement à céder au paradigme de l'émotion éhontée. Comme savent le faire ceux là qui ont choisi de se mettre au bac de l'histoire.
En toute confraternité.