Audience à la CPI: Laurent Gbagbo accuse le camp d’Alassane Ouattara
Yaoundé, 01 Mars 2013
© Lucien EMBOM | Cameroon-Info.Net
L’ex-Président ivoirien attribue les violences post électorales qui ont secoué son pays, aux ennemis de la démocratie.
D’après Gbagbo, tous les troubles observés en Côte d’Ivoire au lendemain de la dernière élection présidentielle sont à mettre à l’actif des fossoyeurs de la démocratie. Le fondateur du Front Populaire Ivoirien (FPI) ne se reconnaît pas dans les charges retenues contre lui. La Cour Pénale Internationale (CPI reproche à Laurent Gbagbo d’avoir engendré la mort de près de 3000 ivoiriens à travers des atrocités. L’ancien Chef d’Etat a dit devant la barre à La Haye que ce sont les pro Ouattara qui ont suscité la fracture sociale dans son pays.
Il faut souligner que l’ancien Chef de l'Etat s’est accroché au pouvoir jusqu’à la dernière minute. Réfugié dans un bunker aux côtés de ses fidèles et quelques pasteurs, l’homme a été capturé et mis à la disposition de la justice. Ses partisans estiment qu’il est victime d’un complot ourdi par les grandes puissances, notamment la France. Laurent Gbagbo risque de rejoindre la famille des criminels de guerre comme Charles Taylor. C’est au mois d’avril prochain qu’on en saura davantage sur le sort du père du FPI.
© Lucien EMBOM | Cameroon-Info.Net
L’ex-Président ivoirien attribue les violences post électorales qui ont secoué son pays, aux ennemis de la démocratie.
D’après Gbagbo, tous les troubles observés en Côte d’Ivoire au lendemain de la dernière élection présidentielle sont à mettre à l’actif des fossoyeurs de la démocratie. Le fondateur du Front Populaire Ivoirien (FPI) ne se reconnaît pas dans les charges retenues contre lui. La Cour Pénale Internationale (CPI reproche à Laurent Gbagbo d’avoir engendré la mort de près de 3000 ivoiriens à travers des atrocités. L’ancien Chef d’Etat a dit devant la barre à La Haye que ce sont les pro Ouattara qui ont suscité la fracture sociale dans son pays.
Il faut souligner que l’ancien Chef de l'Etat s’est accroché au pouvoir jusqu’à la dernière minute. Réfugié dans un bunker aux côtés de ses fidèles et quelques pasteurs, l’homme a été capturé et mis à la disposition de la justice. Ses partisans estiment qu’il est victime d’un complot ourdi par les grandes puissances, notamment la France. Laurent Gbagbo risque de rejoindre la famille des criminels de guerre comme Charles Taylor. C’est au mois d’avril prochain qu’on en saura davantage sur le sort du père du FPI.