Au Cameroun tout n’est pas rose. Tout n’est pas morose non plus ! :: CAMEROON

Au Cameroun tout n’est pas rose. Tout n’est pas morose non plus !::CameroonCertes, au Cameroun, tout n’est pas rose. Mais tout n’est pas morose non plus, comme certains compatriotes de la diaspora essaient maladroitement de le faire gober dans l’intention, bien sûr, de mettre le Chef de l’Etat à difficulté devant la Communauté internationale.

Il est constant qu’en matière de démocratie, des efforts se sont multipliés au fil des ans dans le sens de l’amélioration de notre système démocratique. En témoigne l’organisation d’élections régulières, libres, transparentes et de plus en plus crédibles. Les dernières en date, les législatives et municipales, qui remontent au 30 septembre 2013, se sont déroulées à la plus grande satisfaction des nombreux observateurs internationaux présents sur le terrain. Les sénatoriales du 14 avril 2013 qui, elles aussi, se sont déroulées dans la sérénité et la transparence, ont notamment permis la mise en place du Sénat au sein d’un Parlement désormais bicaméral. Toute chose qui atteste de la marche en avant de la démocratie camerounaise.

Le multipartisme, depuis le début des années 90, est une réalité dans notre pays. De nombreuses formations politiques, dont le total, selon le ministère de l’Administration territoriale et de la décentralisation, avoisine les 300, animent l’espace public. Il faut souligner que, par delà la foultitude des partis politiques, le RDPC, au pouvoir, domine l’arène face à une opposition disloquée et suffisamment affaiblie, mais dont la voix n’est pas négligée. 

Depuis l’avènement du Renouveau, plus personne n’a été jeté en prison, voire inquiété pour ses convictions politiques. Loin s’en faut : on a même enregistré le retour au bercail de nombreux compatriotes dès la première moitié des années 80, notamment certains militants de l’UPC qui avaient pris le chemin de l’exil sous l’ancien régime.

Toutes les formes de libertés individuelles, notamment d’expression, d’association, de culte, etc., sont non seulement inscrites et protégées par la Constitution, mais elles sont une réalité qui se prouve et s’éprouve. A lui tout seul, le paysage médiatique camerounais, riche d’environ 600 titres pour ce qui est de la presse écrite, près d’une centaine de chaînes radio et d’environ une trentaine de chaînes télé, suffit pour dire que la liberté d’expression est une réalité au Cameroun. Malgré les débordements que certains journalistes se permettent, ils sont très rares aujourd’hui à se retrouver en prison.

En matière des droits de l’Homme, les récents rapports d’ONG internationales sur le sujet mentionnent certes les efforts accomplis, mais font savoir que beaucoup reste encore à faire. 
Pour ce qui est de la gouvernance, on le voit aussi avec la vaste campagne d’épuration des mœurs publiques initiée au plus haut sommet de l’Etat, le Cameroun veut réduire à sa portion congrue la corruption, les détournements et l’enrichissement illicite pour devenir un modèle en matière de gestion publique. La décentralisation, dont le processus se poursuit à un rythme raisonnable, confirme la volonté affichée d’assoir la gouvernance à l’échiquier local.

Les avancées enregistrées ici et là, couplées à la paix et à la stabilité qui caractérisent le pays de Paul BIYA, permettent de croire que le Cameroun est sur la bonne voie pour atteindre l’émergence à l’horizon 2035. Un avis que certains iconoclastes de la diaspora ne partagent pas, à l’image du sieur Patrick NOUMA.

Ce compatriote qui a pourtant servi sous les drapeaux avant de déserter les rangs de l’armée est actuellement installé du côté de New York aux Etats-Unis. Celui que de nombreux compatriotes de la diaspora qualifient d’activiste, voire d’imposteur, s’emploie au quotidien à ternir l’image du Cameroun à travers une peinture écornée de son pays. Et ce n’est pas tout : celui-ci formule de fausses accusations à l’encontre du Président BIYA. A preuve, l’agent de renseignement alors en service au SEMIL de Douala est même allé jusqu’à envoyer un pamphlet à la Maison Blanche, invitant le Président BARACK OBAMA à déclarer son homologue camerounais persona non grata au très attendu sommet USA-Afrique. 

Lors de ses nombreux séjours en France, M. NOUMA a coutume de changer de costumes en fonction des circonstances : tantôt mannequin, tantôt artiste-musicien, tantôt communicateur…l’homme est identifié comme étant le noyau d’une insidieuse cabale médiatique portant atteinte à l’honorabilité de notre Chef d’Etat et, à travers lui, de toute la Nation entière.
Petite parenthèse : au Cameroun déjà, cet imposteur était réputé escroc et ses victimes se comptaient en nombre. Les sales habitudes, dit-on, ont la peau dure. Arrivé à Paris, Patrick NOUMA va monter une véritable industrie de l’escroquerie. Au-delà de ses propres compatriotes basé en France,  des expatriés de nationalité chinoise, coréens, entre autres victimes, ne s’est jamais remis du sale tour que lui joua M. NOUMA et ses acolytes, dont un avait écopé de cinq mois de prison en France. On comprend en quoi ce franc-tapeur est allé se réfugier au pays de l’Oncle Sam pour échapper à la justice française.

A l’opposée du sieur NOUMA, de nombreux compatriotes de la diaspora, mus par leur sens élevé de patriotisme, sont devenus de véritables ambassadeurs du Cameroun à l’étranger tant ils vendent de leur mieux le label Cameroun à l’extérieur. Ce qui permet aux investisseurs étrangers de choisir la destination de notre pays pour y financer l’économie. Aussi, de la sorte, ces compatriotes de la diaspora prêtent-ils main forte à l’œuvre de construction nationale dans un pays qui aspire accéder à l’émergence.

A défaut de vendre le label Cameroun à l’extérieur, ces compatriotes de la diaspora se battent au quotidien pour faire avancer leur pays. Et ce, au travers des propositions constructives, au travers d’analyses critiques objectives et pertinentes, et non en ternissant l’image de leur pays tout en vouant aux gémonies celui qui en incarne les idéaux !  

Le soldat Patrick NOUMA a-t-il oublié que la devise des Forces Armées Nationales est «honneur et fidélité» ? Honneur dans le comportement et fidélité aux institutions républicaines. Et, justement, le Président Paul BIYA est une institution. 

Armand MBAYIM C-NOVOA SANTOS
15006 CORUNA ESPANA

© Correspondance particulière de : Armand MBAYIM C-NOVOA SANTOS


21/04/2014
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 299 autres membres