Association des maires francophones: Célestine Ketcha élue au bureau exécutif
DOUALA - 30 NOV. 2012
© Etame Kouoh | Le Messager
La maire de la Commune de Bangangté a été élue au bureau de cette organisation au cours du 32è sommet de cette organisation, mercredi 28 novembre 2012 en Côte d’Ivoire.
© Etame Kouoh | Le Messager
La maire de la Commune de Bangangté a été élue au bureau de cette organisation au cours du 32è sommet de cette organisation, mercredi 28 novembre 2012 en Côte d’Ivoire.
Après Gilbert Tsimi Evouna, délégué du
gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé, le Cameroun
vient de se voir confier une nouvelle fonction au sein de l’association
internationale des maires francophones (Aimf). Au terme du 32è sommet de
l’Aimf qui s’est tenu en Côte d’Ivoire du 25 au 30 novembre 2012,
Célestine Ketcha-Courtès, maire de Bangangté a été portée à la tête de
la présidence de la commission «Aide humanitaire et gestion des
risques».
Une fonction que la présidente du Conseil d’administration de la Panthère sportive du Ndé prend à bras le corps. «Je serai toujours aux côtés de mes frères d’Afrique affectés par les guerres et les déplacements. A cause d’une démocratie fragile et en quête de stabilité, plusieurs personnes souffrent en Afrique. Pendant mon mandat, je sensibiliserai toutes les forces vives pour que la prévention précède l’action concrète sur le terrain. Nous serons sur le terrain pour sensibiliser et non pour soigner avec une perfusion». Elle poursuit. «Nous avons visionné les images des guerres au Congo et en République centrafricaine. C’est très grave ! Nous devons remercier le président Paul Biya qui a fait du Cameroun un pays de paix où règne la stabilité».
Que gagne le Cameroun à travers cette élection ? Célestine Ketcha-Courtès donne les bons points de cette élection. «Le Cameroun va beaucoup profiter de mon passage à la présidence de la commission Aide humanitaire et gestion des risques». C’est au sein de cette instance que sont discutées et adoptées tous les projets de financements. Outre les projets d’électrification, d’adduction en eau potable et autres, nous allons tout faire pour soulager au maximum les souffrances des Camerounais et des autres habitants de l’espace africain». Interrogée au sujet de la coupe du Cameroun, Célestine Ketcha-Courtès n’a pas souhaité se prononcer. «Si je parle, beaucoup vont reprendre mes propos pour en faire mauvais usage. Pour l’instant je me consacre à mes nouvelles fonctions de présidente de la commission Aide humanitaire et gestion des risques ». Une casquette de plus ou de trop ?
Une fonction que la présidente du Conseil d’administration de la Panthère sportive du Ndé prend à bras le corps. «Je serai toujours aux côtés de mes frères d’Afrique affectés par les guerres et les déplacements. A cause d’une démocratie fragile et en quête de stabilité, plusieurs personnes souffrent en Afrique. Pendant mon mandat, je sensibiliserai toutes les forces vives pour que la prévention précède l’action concrète sur le terrain. Nous serons sur le terrain pour sensibiliser et non pour soigner avec une perfusion». Elle poursuit. «Nous avons visionné les images des guerres au Congo et en République centrafricaine. C’est très grave ! Nous devons remercier le président Paul Biya qui a fait du Cameroun un pays de paix où règne la stabilité».
Que gagne le Cameroun à travers cette élection ? Célestine Ketcha-Courtès donne les bons points de cette élection. «Le Cameroun va beaucoup profiter de mon passage à la présidence de la commission Aide humanitaire et gestion des risques». C’est au sein de cette instance que sont discutées et adoptées tous les projets de financements. Outre les projets d’électrification, d’adduction en eau potable et autres, nous allons tout faire pour soulager au maximum les souffrances des Camerounais et des autres habitants de l’espace africain». Interrogée au sujet de la coupe du Cameroun, Célestine Ketcha-Courtès n’a pas souhaité se prononcer. «Si je parle, beaucoup vont reprendre mes propos pour en faire mauvais usage. Pour l’instant je me consacre à mes nouvelles fonctions de présidente de la commission Aide humanitaire et gestion des risques ». Une casquette de plus ou de trop ?