Affaire Vanessa Tchatchou: Marie Thérèse Ondoa Abena (Ministre de la promotion de la femme et de la famille) confrontée
YAOUNDE - 07 DEC. 2012
© Jeannette Eliane Nématchoua | Cameroon-Info.Net
La scène se déroule ce vendredi 7 décembre 2012 lors de la conférence de presse du lancement de la campagne mondiale "tous unis contre la violence faite aux femmes"
© Jeannette Eliane Nématchoua | Cameroon-Info.Net
La scène se déroule ce vendredi 7 décembre 2012 lors de la conférence de presse du lancement de la campagne mondiale "tous unis contre la violence faite aux femmes"
«Le gouvernement a un porte parole en
la personne d’Issa Tchiroma Bakary. lorsqu’il intervient pour une
affaire c’est au nom du gouvernement. Dans l’affaire du Bébé volé de
Vanessa Tchatchou, la ministre des affaires sociales et moi avions
adhéré à cela», déclare madame la ministre de la promotion de la femme
et de la famille, Marie Thérèse Ondoa Abena, en reponse a la question
d'un confrère sur l’absence de leurs interventions lors de l’affaire
Vanessa Tchatchou.
Cette question était également posée aux représentantes des Nations Unies présentes dans la salle de conférence. La représentante d’Onu femme répond: «les Nations Unies ne peuvent être contentes lorsque une personne est violentée de la sorte. Mais nos actions son menées conjointement avec le gouvernement des pays».
En ce qui concerne l’accompagnement psycho-social faite ou non à Vanessa par le gouvernement lors de son séjour à l’hôpital gynéco obstétrique et pédiatrique de Ngousso, madame la ministre affirme: «l’hôpital gynéco obstétrique et pédiatrique de Ngousso à un service d’assistance sociale dont les agents s’occupent des patients en détresse. Elle a reçu un encadrement psycho social lors de son séjour dans cet hôpital par ces agents», soutient Marie Thérèse Ondoa Abena.
En plus de l’affaire lors de la conférence de presse, il a été aussi question des statistiques des violences faites aux femmes au Cameroun. Madame la ministre n’a pas trouvé important de parler des chiffres. Mais tout en ajoutant que si les jounalistes tiennent à avoir les chiffre, ils doivent se rapprocher du ministère. Selon Elle, ce qu’il faut retenir, c’est une violence est une violence même cela est attribué a une personne. Elle à profité également de cette conférence pour lister ce qu’elle considère comme violences. Parmi celles-ci on a les insultes, menaces, bastonnades refus d’héritage et même le regard car dit–elle il y a des regards qui sont violents. Durant toute la campagne, on aura droit aux activités de sensibilisation et aussi à la marche qui se déroulera samedi 08 décembre 2012. Il s’agira lors de cette marche, de faire l’acension du Mont Fébé.
Pour ce qui est du combat mené contre les violences faites aux femmes, madame la ministre assure qu’au fil des ans, le combat porte des fruits. Et qu’il y a eu des gens qui ont été condamnés. Et de plus en plus les violences faites aux femmes sont rares.
Cette question était également posée aux représentantes des Nations Unies présentes dans la salle de conférence. La représentante d’Onu femme répond: «les Nations Unies ne peuvent être contentes lorsque une personne est violentée de la sorte. Mais nos actions son menées conjointement avec le gouvernement des pays».
En ce qui concerne l’accompagnement psycho-social faite ou non à Vanessa par le gouvernement lors de son séjour à l’hôpital gynéco obstétrique et pédiatrique de Ngousso, madame la ministre affirme: «l’hôpital gynéco obstétrique et pédiatrique de Ngousso à un service d’assistance sociale dont les agents s’occupent des patients en détresse. Elle a reçu un encadrement psycho social lors de son séjour dans cet hôpital par ces agents», soutient Marie Thérèse Ondoa Abena.
En plus de l’affaire lors de la conférence de presse, il a été aussi question des statistiques des violences faites aux femmes au Cameroun. Madame la ministre n’a pas trouvé important de parler des chiffres. Mais tout en ajoutant que si les jounalistes tiennent à avoir les chiffre, ils doivent se rapprocher du ministère. Selon Elle, ce qu’il faut retenir, c’est une violence est une violence même cela est attribué a une personne. Elle à profité également de cette conférence pour lister ce qu’elle considère comme violences. Parmi celles-ci on a les insultes, menaces, bastonnades refus d’héritage et même le regard car dit–elle il y a des regards qui sont violents. Durant toute la campagne, on aura droit aux activités de sensibilisation et aussi à la marche qui se déroulera samedi 08 décembre 2012. Il s’agira lors de cette marche, de faire l’acension du Mont Fébé.
Pour ce qui est du combat mené contre les violences faites aux femmes, madame la ministre assure qu’au fil des ans, le combat porte des fruits. Et qu’il y a eu des gens qui ont été condamnés. Et de plus en plus les violences faites aux femmes sont rares.