Affaire Vanessa - Citation Directe Contre le Président de La République - Sommation d'Agir ou de Déguerpir
02 AVRIL 2012
© Hermann Kenfack (Marrakech , Maroc)) | Correspondance
© Hermann Kenfack (Marrakech , Maroc)) | Correspondance
A
MONSIEUR PAUL BIYA, Président de la république du Cameroun, Chef de
l’État en exercice, d’avoir à répondre devant le peuple camerounais (sur
le territoire comme dans la diaspora), devant l’Union Africaine et
devant toute la communauté internationale, des actes de « vol,
commercialisation et séquestration du bébé de Mademoiselle Vanessa
Tchatchou », actes condamnés par la constitution et punis par la loi ;
d’avoir à répondre des actes de « torture, peines et traitements cruels,
inhumains et dégradants sur Mademoiselle Vanessa Tchatchou»,
CITATION DIRECTE,
PUBLIQUE ET OUVERTE CONTRE LE CHEF DE L’ÉTAT DANS L’AFFAIRE DU BÉBÉ VOLE
DE VANESSA TCHATCHOU ET DU TRAFIC DES BÉBÉS AU CAMEROUN: SOMMATION
D’AGIR ET DE DÉGUERPIR
L’AN DEUX MILLE DOUZE, et le 31 du mois de mars, j’ai, soussigné, agissant pour le compte « des bouches qui n’ont point de bouche » et de la voix de Vanessa Tchatchou, ainsi que de toutes les voix des familles brisées par le trafic des nouveaux nés au Cameroun et qui, aujourd’hui, « s’affaissent au cachot du désespoir ». Et parce que la constitution de la république nous engage à ce que « tous les citoyens contribuent à la défense de la patrie », nous venons du milieu de la nation qui crée et qui mandate l’État, ester en justice citoyenne et nationale contre le Chef de l’État, agissant comme guide et garant de la politique de la nation, du gouvernement et des ministres que la constitution l’engage à nommer et à remercier.
A MONSIEUR PAUL BIYA, Président de la république du Cameroun, Chef de l’État en exercice, d’avoir à répondre devant le peuple camerounais (sur le territoire comme dans la diaspora), devant l’Union Africaine et devant toute la communauté internationale, des actes de « vol, commercialisation et séquestration du bébé de Mademoiselle Vanessa Tchatchou », actes condamnés par la constitution et punis par la loi ; d’avoir à répondre des actes de « torture, peines et traitements cruels, inhumains et dégradants sur Mademoiselle Vanessa Tchatchou», actes condamnés par la constitution et punis par la loi ; et d’avoir à répondre des actes de « faux, usage du faux, trafic, entretien et protection des réseaux de trafic des nouveaux nés dans les formations hospitalières du Cameroun » condamnés et punis par la loi. Des actes qui sont imputés à Sieur Paul Biya, Chef de l’État, par le truchement des ministres, des magistrats et des fonctionnaires nommés par sa signature et agissant suivant sa politique au regard de l’article 11, alinéa 1 de la Constitution.
À LA DEMANDE DE la Constitution qui, dans son article 2 alinéa 1, consacre le peuple camerounais comme seul détenteur de la souveraineté ; à la demande du peuple camerounais qui a confié par voie électorale à Monsieur Paul Biya l’exercice de la souveraineté dudit peuple; et à la demande de la communauté internationale, parlant au sens des peuples unis dont les Nations Unies sont l’avatar et devant qui la constitution du Cameroun, dans son préambule, engage ipso facto Monsieur Paul Biya en tant que représentant de l’État.
MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, sauf mauvaise foi manifeste de votre part et/ou disfonctionnement grave de l’État dont vous êtes le Chef, vous êtes sans ignorer qu’en date du 20 août 2011, mademoiselle Vanessa Tchatchou (qu’on ne présente plus) a donné naissance à un bébé de sexe féminin qu’elle n’a jamais plus revu et touché parce qu’ayant disparut dans des conditions circonstancielles de temps et de lieux que plusieurs enquêtes (Dgsn, Dgse, Dr Vincent Fouda, Comicodi) vous ont déjà longuement et largement présentées.
QUE, outre Monsieur Ndoh Anderson Sama et sa suite que vous avec limogé par voie de décret le 09 mars 2012, plusieurs ministres, magistrats et hauts fonctionnaires de l’État sont directement et gravement soupçonnés d’être impliqués dans la disparition de ce bébé et de 93 autres bébés, fabricant ainsi le sommet d’un iceberg de trafic de nouveaux nés dans notre pays, iceberg dont les profondeurs restent, aux yeux du peuple camerounais, effroyablement inestimables et cruellement traumatisant.
QUE toutes les démarches administratives, judiciaires, civiles, associative, syndicales et personnelles intentées, autant par Vanessa Tchatchou, que par les familles des bébés disparus, par la société civile, par le corps des médias et par plusieurs personnes physiques et morales sont demeurées vaines et infructueuses.
QUE Vanessa Tchatchou subit un préjudice moral, physique et psychologique grave qui dure déjà 223 jours à la date susmentionnée; que plusieurs personnes physiques et morales, répondant à l’injonction de la constitution qui « protège la famille, la femme, les jeunes (enfants) et les minorités », se levant depuis le mois de décembre 2011 pour demander la vérité et réclamer la justice, ont été intimidé, brimé, arrêté, molesté, torturé et injustement emprisonné ; que le peuple camerounais vit un préjudice moral grave et un calvaire social sans cesse croissant dans cette affaire du bébé volé de Vanessa Tchatchou.
EN CONSEQUENCE, NOUS VOUS FAISONS SOMMATION D’AGIR ET DE DÉGUERPIR.
D’AVOIR À faire usage du Pouvoir Réglementaire que vous donne l’article 8 alinéa 8 de la constitution pour retirer des mains et du domicile de Dame Caroline Dikum Ateh Mejang la garde de l’enfant querellé que plusieurs sources et témoignages désignent comme celui de Vanessa Tchatchou, et le placer sous la garde d’un tiers agissant à votre nom jusqu’à l’éclatement de la vérité.
D’AVOIR À assumer votre devoir « d’élu de la Nation tout entière » tel que voulu par l’article 5 alinéa 2 de la constitution : pour dessaisir tous les magistrats impliqués de près ou de loin dans cette affaire, notamment Dame Caroline Dikum Ateh Mejang et Sieur Jean Fils Clébert Ntamack ; pour mettre le système judiciaire en branle dans la gestion de cette affaire ; pour assurer, par votre arbitrage directe et exécutif, l’organisation de la sécurité de Vanessa Tchatchou, l’organisation d’un test d’ADN arbitre dans le dilemme des deux tests existant, et l’organisation de l’écoute en procès verbal et de mise à disposition de la justice de sieur Anderson Ndoh (ex Dg de l'hôpital gynéco-obstétrique de Ngousso), de sieur Serge Temkou (Médeçin de l'Hgo), de dame Béatrice Nde Mba (infirmière major de l'Hgo), du Commissaire Pierre Nite et du responsable du CAED (centre d'accueil des enfants en détresse) ; tout ceci en garantissant l’équité et l’équidistance des pouvoirs qui agiront en votre nom.
D’AVOIR, par l’article 10 alinéa 1 de la constitution, À déguerpir trois hauts fonctionnaires membres du gouvernement : Sieur André Mama Fouda, ministre de la santé publique, pour incapacité à gérer l’affaire Vanessa Tchatchou et incapacité à lutter contre la disparition des nouveaux nés dans les formations hospitalières du Cameroun ; Dame Catherine Bakang Mbock, ministre des affaires sociales, pour faux, usages du faux, violation de la loi sur l’adoption, incapacité à gérer l’affaire Vanessa Tchatchou et plusieurs autres cas similaires, et pour soupçons d’implication et d’association de malfaiteurs dans la mise en place et l’entretien de réseaux de commercialisation et de trafic des nouveaux nés au Cameroun ; et Sieur Issa Tchiroma Bakari, ministre de la communication, pour mauvaise foi manifeste, pour manœuvres dilatoires et tentatives de séductions pernicieuses de l’opinion nationale et internationale sur l’Affaire du bébé volé de Vanessa Tchatchou, et pour incapacité à communiquer au nom du gouvernement dans le sens véritable de la justice pour tous, de la paix publique et de la cohésion sociale.
VOUS PRECISANT, Monsieur le Président de la république, que faute par vous de déférer à la présente sommation vous vous rendrez coupable, devant le peuple camerounais et aux yeux de communauté internationale, de non action en situation grave ou, pire encore, vous vous rendrez coupable de tous les faits reprochés aux susnommés, car agissant avec votre signature, votre aval et selon la politique que vous avez vous-mêmes défini, conformément à la constitution.
VOUS PRECISANT, Monsieur le Président de la république, que faute par vous d’agir et de déguerpir conformément et/ou logiquement à la présente sommation, vous serez en train de violer la constitution et trahir le peuple camerounais qui, seul garant de la souveraineté national qu’il vous a confié, va progressivement se trouver contraint d’agir contre vous conformément à l’article 2 alinéa 1 de la constitution, en vous dessaisissant de sa confiance par voie parlementaire (entendu comme émanation de la société civile, syndicale et citoyenne) et vous déguerpissant de sa Magistrature suprême par voie référendaire (entendu comme émanation du cri de colère et de la volonté d’émancipation de 20 000 000 d’âmes représentées par tous ceux qui sont âgés d’au moins 20 ans, les adultes, mais, surtout les jeunes).
SOUS TOUTES RÉSERVES. Respectant le préambule de la constitution qui requiert la présomption d’innocence et par là, requiert de notre part le principe de confiance initiale, Nous formulons un espoir que Nous plaçons comme fanion et jauge de votre capacité d’action et de décision en tant Président de la république digne ou non d’être le Chef de l’État du Cameroun. Nous formulons dis-je, l’espoir que le peuple camerounais et les peuples amis du Cameroun célèbreront la 40ème édition de la fête de l’unité nationale le 20 mai prochain dans la satisfaction d’avoir vu l’éclatement de la vérité, l’épanchement de la justice et la consécration de la paix pour tous dans l’affaire du bébé volé de Vanessa Tchatchou et dans la lutte contre le trafic des nouveaux nés au Cameroun par une implication patente et efficace de votre chef.
Pour le peuple camerounais,
Hermann Kenfack, Citoyen.
Ampliations
- Président de la république du Cameroun
- Premier ministre
- Ministres de la justice, de la santé publique, des affaires sociales et de la
communication
- Union Africaine, Union européenne, Parlement Américain, l’ONU, l’UNICEF
- Médias nationaux et internationaux (journaux, radios, télés, site web, réseaux sociaux)
- COMICODI
- ADDEC et organisations associées
- Me H. B. Tiakouang Méli, Avocat Conseil de Vanessa Tchatchou
- Toutes les associations et organismes œuvrant pour les droits humains
- Tout le peuple camerounais dans les quartiers et les villages
- Tout le peuple camerounais dans la diaspora.
L’AN DEUX MILLE DOUZE, et le 31 du mois de mars, j’ai, soussigné, agissant pour le compte « des bouches qui n’ont point de bouche » et de la voix de Vanessa Tchatchou, ainsi que de toutes les voix des familles brisées par le trafic des nouveaux nés au Cameroun et qui, aujourd’hui, « s’affaissent au cachot du désespoir ». Et parce que la constitution de la république nous engage à ce que « tous les citoyens contribuent à la défense de la patrie », nous venons du milieu de la nation qui crée et qui mandate l’État, ester en justice citoyenne et nationale contre le Chef de l’État, agissant comme guide et garant de la politique de la nation, du gouvernement et des ministres que la constitution l’engage à nommer et à remercier.
A MONSIEUR PAUL BIYA, Président de la république du Cameroun, Chef de l’État en exercice, d’avoir à répondre devant le peuple camerounais (sur le territoire comme dans la diaspora), devant l’Union Africaine et devant toute la communauté internationale, des actes de « vol, commercialisation et séquestration du bébé de Mademoiselle Vanessa Tchatchou », actes condamnés par la constitution et punis par la loi ; d’avoir à répondre des actes de « torture, peines et traitements cruels, inhumains et dégradants sur Mademoiselle Vanessa Tchatchou», actes condamnés par la constitution et punis par la loi ; et d’avoir à répondre des actes de « faux, usage du faux, trafic, entretien et protection des réseaux de trafic des nouveaux nés dans les formations hospitalières du Cameroun » condamnés et punis par la loi. Des actes qui sont imputés à Sieur Paul Biya, Chef de l’État, par le truchement des ministres, des magistrats et des fonctionnaires nommés par sa signature et agissant suivant sa politique au regard de l’article 11, alinéa 1 de la Constitution.
À LA DEMANDE DE la Constitution qui, dans son article 2 alinéa 1, consacre le peuple camerounais comme seul détenteur de la souveraineté ; à la demande du peuple camerounais qui a confié par voie électorale à Monsieur Paul Biya l’exercice de la souveraineté dudit peuple; et à la demande de la communauté internationale, parlant au sens des peuples unis dont les Nations Unies sont l’avatar et devant qui la constitution du Cameroun, dans son préambule, engage ipso facto Monsieur Paul Biya en tant que représentant de l’État.
MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, sauf mauvaise foi manifeste de votre part et/ou disfonctionnement grave de l’État dont vous êtes le Chef, vous êtes sans ignorer qu’en date du 20 août 2011, mademoiselle Vanessa Tchatchou (qu’on ne présente plus) a donné naissance à un bébé de sexe féminin qu’elle n’a jamais plus revu et touché parce qu’ayant disparut dans des conditions circonstancielles de temps et de lieux que plusieurs enquêtes (Dgsn, Dgse, Dr Vincent Fouda, Comicodi) vous ont déjà longuement et largement présentées.
QUE, outre Monsieur Ndoh Anderson Sama et sa suite que vous avec limogé par voie de décret le 09 mars 2012, plusieurs ministres, magistrats et hauts fonctionnaires de l’État sont directement et gravement soupçonnés d’être impliqués dans la disparition de ce bébé et de 93 autres bébés, fabricant ainsi le sommet d’un iceberg de trafic de nouveaux nés dans notre pays, iceberg dont les profondeurs restent, aux yeux du peuple camerounais, effroyablement inestimables et cruellement traumatisant.
QUE toutes les démarches administratives, judiciaires, civiles, associative, syndicales et personnelles intentées, autant par Vanessa Tchatchou, que par les familles des bébés disparus, par la société civile, par le corps des médias et par plusieurs personnes physiques et morales sont demeurées vaines et infructueuses.
QUE Vanessa Tchatchou subit un préjudice moral, physique et psychologique grave qui dure déjà 223 jours à la date susmentionnée; que plusieurs personnes physiques et morales, répondant à l’injonction de la constitution qui « protège la famille, la femme, les jeunes (enfants) et les minorités », se levant depuis le mois de décembre 2011 pour demander la vérité et réclamer la justice, ont été intimidé, brimé, arrêté, molesté, torturé et injustement emprisonné ; que le peuple camerounais vit un préjudice moral grave et un calvaire social sans cesse croissant dans cette affaire du bébé volé de Vanessa Tchatchou.
EN CONSEQUENCE, NOUS VOUS FAISONS SOMMATION D’AGIR ET DE DÉGUERPIR.
D’AVOIR À faire usage du Pouvoir Réglementaire que vous donne l’article 8 alinéa 8 de la constitution pour retirer des mains et du domicile de Dame Caroline Dikum Ateh Mejang la garde de l’enfant querellé que plusieurs sources et témoignages désignent comme celui de Vanessa Tchatchou, et le placer sous la garde d’un tiers agissant à votre nom jusqu’à l’éclatement de la vérité.
D’AVOIR À assumer votre devoir « d’élu de la Nation tout entière » tel que voulu par l’article 5 alinéa 2 de la constitution : pour dessaisir tous les magistrats impliqués de près ou de loin dans cette affaire, notamment Dame Caroline Dikum Ateh Mejang et Sieur Jean Fils Clébert Ntamack ; pour mettre le système judiciaire en branle dans la gestion de cette affaire ; pour assurer, par votre arbitrage directe et exécutif, l’organisation de la sécurité de Vanessa Tchatchou, l’organisation d’un test d’ADN arbitre dans le dilemme des deux tests existant, et l’organisation de l’écoute en procès verbal et de mise à disposition de la justice de sieur Anderson Ndoh (ex Dg de l'hôpital gynéco-obstétrique de Ngousso), de sieur Serge Temkou (Médeçin de l'Hgo), de dame Béatrice Nde Mba (infirmière major de l'Hgo), du Commissaire Pierre Nite et du responsable du CAED (centre d'accueil des enfants en détresse) ; tout ceci en garantissant l’équité et l’équidistance des pouvoirs qui agiront en votre nom.
D’AVOIR, par l’article 10 alinéa 1 de la constitution, À déguerpir trois hauts fonctionnaires membres du gouvernement : Sieur André Mama Fouda, ministre de la santé publique, pour incapacité à gérer l’affaire Vanessa Tchatchou et incapacité à lutter contre la disparition des nouveaux nés dans les formations hospitalières du Cameroun ; Dame Catherine Bakang Mbock, ministre des affaires sociales, pour faux, usages du faux, violation de la loi sur l’adoption, incapacité à gérer l’affaire Vanessa Tchatchou et plusieurs autres cas similaires, et pour soupçons d’implication et d’association de malfaiteurs dans la mise en place et l’entretien de réseaux de commercialisation et de trafic des nouveaux nés au Cameroun ; et Sieur Issa Tchiroma Bakari, ministre de la communication, pour mauvaise foi manifeste, pour manœuvres dilatoires et tentatives de séductions pernicieuses de l’opinion nationale et internationale sur l’Affaire du bébé volé de Vanessa Tchatchou, et pour incapacité à communiquer au nom du gouvernement dans le sens véritable de la justice pour tous, de la paix publique et de la cohésion sociale.
VOUS PRECISANT, Monsieur le Président de la république, que faute par vous de déférer à la présente sommation vous vous rendrez coupable, devant le peuple camerounais et aux yeux de communauté internationale, de non action en situation grave ou, pire encore, vous vous rendrez coupable de tous les faits reprochés aux susnommés, car agissant avec votre signature, votre aval et selon la politique que vous avez vous-mêmes défini, conformément à la constitution.
VOUS PRECISANT, Monsieur le Président de la république, que faute par vous d’agir et de déguerpir conformément et/ou logiquement à la présente sommation, vous serez en train de violer la constitution et trahir le peuple camerounais qui, seul garant de la souveraineté national qu’il vous a confié, va progressivement se trouver contraint d’agir contre vous conformément à l’article 2 alinéa 1 de la constitution, en vous dessaisissant de sa confiance par voie parlementaire (entendu comme émanation de la société civile, syndicale et citoyenne) et vous déguerpissant de sa Magistrature suprême par voie référendaire (entendu comme émanation du cri de colère et de la volonté d’émancipation de 20 000 000 d’âmes représentées par tous ceux qui sont âgés d’au moins 20 ans, les adultes, mais, surtout les jeunes).
SOUS TOUTES RÉSERVES. Respectant le préambule de la constitution qui requiert la présomption d’innocence et par là, requiert de notre part le principe de confiance initiale, Nous formulons un espoir que Nous plaçons comme fanion et jauge de votre capacité d’action et de décision en tant Président de la république digne ou non d’être le Chef de l’État du Cameroun. Nous formulons dis-je, l’espoir que le peuple camerounais et les peuples amis du Cameroun célèbreront la 40ème édition de la fête de l’unité nationale le 20 mai prochain dans la satisfaction d’avoir vu l’éclatement de la vérité, l’épanchement de la justice et la consécration de la paix pour tous dans l’affaire du bébé volé de Vanessa Tchatchou et dans la lutte contre le trafic des nouveaux nés au Cameroun par une implication patente et efficace de votre chef.
Pour le peuple camerounais,
Hermann Kenfack, Citoyen.
Ampliations
- Président de la république du Cameroun
- Premier ministre
- Ministres de la justice, de la santé publique, des affaires sociales et de la
communication
- Union Africaine, Union européenne, Parlement Américain, l’ONU, l’UNICEF
- Médias nationaux et internationaux (journaux, radios, télés, site web, réseaux sociaux)
- COMICODI
- ADDEC et organisations associées
- Me H. B. Tiakouang Méli, Avocat Conseil de Vanessa Tchatchou
- Toutes les associations et organismes œuvrant pour les droits humains
- Tout le peuple camerounais dans les quartiers et les villages
- Tout le peuple camerounais dans la diaspora.