Affaire UCAC: LAAKAM répond aux explications de Monseigneur TONYE BAKOT a la télévision officielle le 15 Octobre 2012
YAOUNDE - 21 OCT. 2012
© Correspondance
"LAAKAM dénonce une fois de plus, la facilité, la liberté, et l'insouciance avec lesquelles un prélat de cette hauteur de responsabilité dans l'Eglise Catholique, peut ventiler la haine, le mensonge, le tribalisme, l'obscurantisme et la médiocrité. "
© Correspondance
"LAAKAM dénonce une fois de plus, la facilité, la liberté, et l'insouciance avec lesquelles un prélat de cette hauteur de responsabilité dans l'Eglise Catholique, peut ventiler la haine, le mensonge, le tribalisme, l'obscurantisme et la médiocrité. "
LAAKAM
B.P. 20201 Yaoundé
Affaire UCAC: Réponse aux explications de Monseigneur TONYE BAKOT a la télévision officielle le 15 Octobre 2012
Le 15 Octobre 2012, Monseigneur Tonye Bakot, Archeveque de Yaoundé, est apparu a la télévision d'Etat, pour tenter de donner des explications, sur sa lettre par laquelle il dénoncait l'hégémonbie suspecte selon lui, des étudiants et des enseignants Bamiléké a la Faculté des sciences sociales et de gestion de l'Université Catholique d'Afrique Centrale.
En réponse, LAAKAM dénonce une fois de plus, la facilité, la liberté, et l'insouciance avec lesquelles un prélat de cette hauteur de responsabilité dans l'Eglise Catholique, peut ventiler la haine, le mensonge, le tribalisme, l'obscurantisme et la médiocrité. On ne comprend toujours pas comment et surtout pourquoi les étrangers derriere lesquels le prélat s'abrite, ne se sont jamais inquités de la majorité écrasante des enseignants et des étudiants Béti au sein de la faculté de théologie de la meme université.
LAAKAM invite l'Archeveque TONYE BAKOT a assumer courageusement ses positions chroniquement et radicalement anti Bamiléké, sans qu'il soit besoin de recourir a des contournements inutiles. N'a-t-il pas fait limoger également le vice-doyen de la faculté de Théologie, un autre Bamiléké, apres le limogeage et la déportation du Pere Ludovic LADO dont il ne s'est pas par ailleurs gené d'essayer de salir l'image par pure haine et en éxécution de recommandations politiques ?
LAAKAM invite enfin l'Archeveque a plaider aupres du Chef de l'Etat, pour une équité complete dans les promotions et les nominations dans le pays, aux différentes responsabilités du commandement, de sécurité, de direction générale des grandes entreprises, de meme que pour l'acces aux grandes écoles professionnelles, au nom de cette équité et de ce partage auxquels il semble attaché. Il devrait également militer pour la transparence et l'équité dans le processus électoral avec urgence car le peuple de Dieu en est tres préoccupé en ce moment et mieux encore qu'a l'Université Catholique.
Fait a Yaoundé, le 17 Octobre 2012
LE BUREAU NATIONAL
SINDJOUN POKAM
SHANDA TONME
Appel à l'éveil du peuple citoyen de l'Ouest Cameroun
face l'officialisation du tribalisme et de l'obscurantisme
à l'université catholique d'Afrique centrale
Les historiens doivent dorénavant prendre date et noter, qu'un Archevêque camerounais, Monseigneur TONYE BAKOT, a eu recours à des forces étrangères sélectives et rétrogrades spécialement conditionnées, pour mettre en œuvre en terre camerounaise au sein de l'université catholique d'Afrique centrale, ses desseins haineux et sectaires contre la communauté Bamiléké.
LAAKAM observe que le fait n'est du reste pas nouveau, et se situe dans la continuité d'un discours et des pratiques qui depuis 1960, caractérisent les actes de quelques dirigeants égarés à tous les niveaux, lesquels prêchent ouvertement l'alliance même avec le diable, pour combattre un curieux serpent de mer baptisé "l'expansionnisme Bamiléké".
LAAKAM, informe toux ceux et toutes celles qui l'ignoreraient, qu'après le limogeage et la déportation du Père LUDOVIC LADO, vice Doyen de la faculté des sciences sociales et de gestion, un autre digne fils Bamiléké, l'Abbé Marcus NDOGMO, vice Doyen de la faculté de théologie, a été à son tour limogé, après un simulacre de conseil de discipline instrumenté par le même TONYE BAKOT, en usant des mains étrangères.
LAAKAM note que le crime de l'Abbé Marcus NDOGMO, qui a été remplacé par un de ses anciens étudiants, est d'avoir, en réaction aux mensonges disséminées contre le père Lado, révélé que la majorité des enseignants et des étudiants de la faculté de théologie, sont béti, et sans que cela n'inspire des soupçons, des sanctions, des commentaires et des insinuations infâmantes de la part de TONYE BAKOT, ci-devant Grand Chancelier.
LAAKAM observe que les actes posés par les dirigeants de l'université catholique sous l'influence de TONYE BAKOT, constituent clairement une provocation, un mépris et une volonté explicite de nuire contre la communauté Bamiléké.
LAAKAM observe, que le père Ludovic Lado et l'Abbé Marcus Ndogmo, ont été remplacés par d'anciens collaborateurs Béti, comme pour délivrer un message effectif d'institutionnalisation du tribalisme, de la haine, de l'obscurantisme et de la médiocrité dans la gestion administrative et académique de ce qui était jusque là, un cadre de formation de référence respecté pour sa culture de la compétence et du mérite.
LAAKAM dénonce énergiquement cette dérive et regrette le silence ou le jeu malsain de certains médias, qui ne mesurant pas le danger de cette orientation, tendent à avoir des attitudes inexplicablement ou volontairement confuses de la situation. (la revue de presse matinale de la chaîne de télévision CANAL 2 a tout fait pour ignorer les grands titres de la presse qui ont annoncé le limogeage de l'Abée Marcus Ndogmo). Troublant!
LAAKAM rappelle que ce qui se passe à l'UCAC, devrait interpeller chaque citoyen et inquiéter sérieusement tout responsable politique ou leader d'opinion conscient des drames de génocide et de guerre civile générés ailleurs par l'exclusion, la marginalisation, la discrimination, le tribalisme et la promotion de la médiocrité.
LAAKAM apporte son soutien multidimensionnel autant qu'inconditionnel à l'Abbé Marcus Ndogmo, et déclare que son choix de dire la vérité non seulement honore toutes les personnes éprises de paix et de justice, mais mieux, se situe du bon côté de l'histoire de l'humanité. Il doit être fier d'accepter de connaître des souffrances, des humiliations, des pertes de position administrative et académiques de même que des pertes matérielles, pour soutenir fermement la vérité et la dire ouvertement, publiquement, partout.
LAAKAM appelle l'attention des parents, étudiants, chefs d'entreprises et leaders sociaux, sur la formation qui sera dorénavant donnée à l'université catholique d'Afrique centrale, face à l'implantation et l'officialisation du tribalisme et de la médiocrité. IL y a lieu, de façon inévitable, d'en tirer toutes les conséquences.
LAAKAM rappelle avec force et conviction, qu'aucune communauté, ne saurait accepter, les bras croisés, de voir ses dignes enfants être humiliés, discriminés, injuriés, et maltraités, et diffamés, fut-ce au sein de l'Eglise catholique, par des personnes sensées prêcher l'amour, le rassemblement, la fraternité, la compassion et la solidarité.
LAAKAM invite tous les Bamilékés, individuellement ou collectivement, à méditer profondément sur les derniers événements au sein de l'université catholique d'Afrique centrale, lesquels semblent maintenant se situer dans une logique ouverte d'agression, dont la finalité idéologique et politique est toujours l'exclusion et l'extermination. C'est toute la relation avec l'Eglise catholique romaine qui doit être mise en examen, et chacun doit déterminer à partir de cet instant, le statut, la forme, le contenu, et les objectifs de son adhésion, de sa foi, de sa proximité, de sa complicité, de son investissement. Dans tous les cas, aucun nouvel Evêque Bamiléké n'a été nommé depuis deux décennies par Rome. IL y a clairement un problème entre cette Eglise et les Bamilékés. IL est temps de crever l'abcès.
LAAKAM note à ce propos que chaque citoyen, chrétien ou non, doit mettre sa tête, sa foi, son argent et son corps là où son identité, sa dignité, son honneur et ses intérêts sont pris en compte, respectés, préservés, valorisés et fructifiés pour des causes justes. Plus un sou ne doit être donné ni dépensé pour rien, et plus un sou ne doit alimenter les caisses des anti Bamiléké notoires, personne morale ou personne physique.
LAAKAM dénonce avec la plus grande indignation, les citoyens de la cinquième colonne, ceux qui agissent par le recours à des mercenaires, et usent de subterfuges d'institutions étrangères et de missionnaires de sales besognes, pour attiser le tribalisme, la division, l'obscurantisme et la médiocrité au Cameroun, sous le fallacieux prétexte de combattre les Bamilékés. Tous ces fossoyeurs du développement et de la progression du pays seront durement et inéluctablement condamnés par la postérité.
LAAKAM tirant les conséquences obligées de l'acharnement haineux et radical dont le limogeage de l'Abbé Marcus Ndogmo certifie la planification et l'exécution, va prestement instruire le Congrès Mondial des Organisations Bamiléké (COMOBA) d'une part, et le Conseil Supérieur des Intérêts Bamiléké (COSIBA) d'autre part, pour la mise en oeuvre de leurs cahiers de charge.
LAAKAM assure à nouveau l'Abbé Marcus Ndogmo tout comme le Père Ludovic Lado, de son soutien total, et leur réitère ses vifs et fraternels encouragements pour leur passion de la vérité et de la justice. Puisque c'est en tant que fils Bamiléké qu'ils sont opprimés, il seront défendus en tant que tel par leurs géniteurs, par leur terroir, par leurs coutumes, avec tout ce que ces derniers disposent de force, d'intelligence, de moyens et de relations. L'avenir n'appartient pas et n'appartiendra jamais ni aux cancres ni aux tricheurs, et toute injustice ne tient que le temps d'un pouvoir éphémère, dans l'Eglise comme ailleurs.
Fait à Yaoundé, le 11 Octobre 2012
POUR LE BUREAU NATIONAL
SINDJOUN POKAM
SHANDA TONME
Secrétaire Général Chargé de missions, de l'information, et des relations publiques
B.P. 20201 Yaoundé
Affaire UCAC: Réponse aux explications de Monseigneur TONYE BAKOT a la télévision officielle le 15 Octobre 2012
Le 15 Octobre 2012, Monseigneur Tonye Bakot, Archeveque de Yaoundé, est apparu a la télévision d'Etat, pour tenter de donner des explications, sur sa lettre par laquelle il dénoncait l'hégémonbie suspecte selon lui, des étudiants et des enseignants Bamiléké a la Faculté des sciences sociales et de gestion de l'Université Catholique d'Afrique Centrale.
En réponse, LAAKAM dénonce une fois de plus, la facilité, la liberté, et l'insouciance avec lesquelles un prélat de cette hauteur de responsabilité dans l'Eglise Catholique, peut ventiler la haine, le mensonge, le tribalisme, l'obscurantisme et la médiocrité. On ne comprend toujours pas comment et surtout pourquoi les étrangers derriere lesquels le prélat s'abrite, ne se sont jamais inquités de la majorité écrasante des enseignants et des étudiants Béti au sein de la faculté de théologie de la meme université.
LAAKAM invite l'Archeveque TONYE BAKOT a assumer courageusement ses positions chroniquement et radicalement anti Bamiléké, sans qu'il soit besoin de recourir a des contournements inutiles. N'a-t-il pas fait limoger également le vice-doyen de la faculté de Théologie, un autre Bamiléké, apres le limogeage et la déportation du Pere Ludovic LADO dont il ne s'est pas par ailleurs gené d'essayer de salir l'image par pure haine et en éxécution de recommandations politiques ?
LAAKAM invite enfin l'Archeveque a plaider aupres du Chef de l'Etat, pour une équité complete dans les promotions et les nominations dans le pays, aux différentes responsabilités du commandement, de sécurité, de direction générale des grandes entreprises, de meme que pour l'acces aux grandes écoles professionnelles, au nom de cette équité et de ce partage auxquels il semble attaché. Il devrait également militer pour la transparence et l'équité dans le processus électoral avec urgence car le peuple de Dieu en est tres préoccupé en ce moment et mieux encore qu'a l'Université Catholique.
Fait a Yaoundé, le 17 Octobre 2012
LE BUREAU NATIONAL
SINDJOUN POKAM
SHANDA TONME
Appel à l'éveil du peuple citoyen de l'Ouest Cameroun
face l'officialisation du tribalisme et de l'obscurantisme
à l'université catholique d'Afrique centrale
Les historiens doivent dorénavant prendre date et noter, qu'un Archevêque camerounais, Monseigneur TONYE BAKOT, a eu recours à des forces étrangères sélectives et rétrogrades spécialement conditionnées, pour mettre en œuvre en terre camerounaise au sein de l'université catholique d'Afrique centrale, ses desseins haineux et sectaires contre la communauté Bamiléké.
LAAKAM observe que le fait n'est du reste pas nouveau, et se situe dans la continuité d'un discours et des pratiques qui depuis 1960, caractérisent les actes de quelques dirigeants égarés à tous les niveaux, lesquels prêchent ouvertement l'alliance même avec le diable, pour combattre un curieux serpent de mer baptisé "l'expansionnisme Bamiléké".
LAAKAM, informe toux ceux et toutes celles qui l'ignoreraient, qu'après le limogeage et la déportation du Père LUDOVIC LADO, vice Doyen de la faculté des sciences sociales et de gestion, un autre digne fils Bamiléké, l'Abbé Marcus NDOGMO, vice Doyen de la faculté de théologie, a été à son tour limogé, après un simulacre de conseil de discipline instrumenté par le même TONYE BAKOT, en usant des mains étrangères.
LAAKAM note que le crime de l'Abbé Marcus NDOGMO, qui a été remplacé par un de ses anciens étudiants, est d'avoir, en réaction aux mensonges disséminées contre le père Lado, révélé que la majorité des enseignants et des étudiants de la faculté de théologie, sont béti, et sans que cela n'inspire des soupçons, des sanctions, des commentaires et des insinuations infâmantes de la part de TONYE BAKOT, ci-devant Grand Chancelier.
LAAKAM observe que les actes posés par les dirigeants de l'université catholique sous l'influence de TONYE BAKOT, constituent clairement une provocation, un mépris et une volonté explicite de nuire contre la communauté Bamiléké.
LAAKAM observe, que le père Ludovic Lado et l'Abbé Marcus Ndogmo, ont été remplacés par d'anciens collaborateurs Béti, comme pour délivrer un message effectif d'institutionnalisation du tribalisme, de la haine, de l'obscurantisme et de la médiocrité dans la gestion administrative et académique de ce qui était jusque là, un cadre de formation de référence respecté pour sa culture de la compétence et du mérite.
LAAKAM dénonce énergiquement cette dérive et regrette le silence ou le jeu malsain de certains médias, qui ne mesurant pas le danger de cette orientation, tendent à avoir des attitudes inexplicablement ou volontairement confuses de la situation. (la revue de presse matinale de la chaîne de télévision CANAL 2 a tout fait pour ignorer les grands titres de la presse qui ont annoncé le limogeage de l'Abée Marcus Ndogmo). Troublant!
LAAKAM rappelle que ce qui se passe à l'UCAC, devrait interpeller chaque citoyen et inquiéter sérieusement tout responsable politique ou leader d'opinion conscient des drames de génocide et de guerre civile générés ailleurs par l'exclusion, la marginalisation, la discrimination, le tribalisme et la promotion de la médiocrité.
LAAKAM apporte son soutien multidimensionnel autant qu'inconditionnel à l'Abbé Marcus Ndogmo, et déclare que son choix de dire la vérité non seulement honore toutes les personnes éprises de paix et de justice, mais mieux, se situe du bon côté de l'histoire de l'humanité. Il doit être fier d'accepter de connaître des souffrances, des humiliations, des pertes de position administrative et académiques de même que des pertes matérielles, pour soutenir fermement la vérité et la dire ouvertement, publiquement, partout.
LAAKAM appelle l'attention des parents, étudiants, chefs d'entreprises et leaders sociaux, sur la formation qui sera dorénavant donnée à l'université catholique d'Afrique centrale, face à l'implantation et l'officialisation du tribalisme et de la médiocrité. IL y a lieu, de façon inévitable, d'en tirer toutes les conséquences.
LAAKAM rappelle avec force et conviction, qu'aucune communauté, ne saurait accepter, les bras croisés, de voir ses dignes enfants être humiliés, discriminés, injuriés, et maltraités, et diffamés, fut-ce au sein de l'Eglise catholique, par des personnes sensées prêcher l'amour, le rassemblement, la fraternité, la compassion et la solidarité.
LAAKAM invite tous les Bamilékés, individuellement ou collectivement, à méditer profondément sur les derniers événements au sein de l'université catholique d'Afrique centrale, lesquels semblent maintenant se situer dans une logique ouverte d'agression, dont la finalité idéologique et politique est toujours l'exclusion et l'extermination. C'est toute la relation avec l'Eglise catholique romaine qui doit être mise en examen, et chacun doit déterminer à partir de cet instant, le statut, la forme, le contenu, et les objectifs de son adhésion, de sa foi, de sa proximité, de sa complicité, de son investissement. Dans tous les cas, aucun nouvel Evêque Bamiléké n'a été nommé depuis deux décennies par Rome. IL y a clairement un problème entre cette Eglise et les Bamilékés. IL est temps de crever l'abcès.
LAAKAM note à ce propos que chaque citoyen, chrétien ou non, doit mettre sa tête, sa foi, son argent et son corps là où son identité, sa dignité, son honneur et ses intérêts sont pris en compte, respectés, préservés, valorisés et fructifiés pour des causes justes. Plus un sou ne doit être donné ni dépensé pour rien, et plus un sou ne doit alimenter les caisses des anti Bamiléké notoires, personne morale ou personne physique.
LAAKAM dénonce avec la plus grande indignation, les citoyens de la cinquième colonne, ceux qui agissent par le recours à des mercenaires, et usent de subterfuges d'institutions étrangères et de missionnaires de sales besognes, pour attiser le tribalisme, la division, l'obscurantisme et la médiocrité au Cameroun, sous le fallacieux prétexte de combattre les Bamilékés. Tous ces fossoyeurs du développement et de la progression du pays seront durement et inéluctablement condamnés par la postérité.
LAAKAM tirant les conséquences obligées de l'acharnement haineux et radical dont le limogeage de l'Abbé Marcus Ndogmo certifie la planification et l'exécution, va prestement instruire le Congrès Mondial des Organisations Bamiléké (COMOBA) d'une part, et le Conseil Supérieur des Intérêts Bamiléké (COSIBA) d'autre part, pour la mise en oeuvre de leurs cahiers de charge.
LAAKAM assure à nouveau l'Abbé Marcus Ndogmo tout comme le Père Ludovic Lado, de son soutien total, et leur réitère ses vifs et fraternels encouragements pour leur passion de la vérité et de la justice. Puisque c'est en tant que fils Bamiléké qu'ils sont opprimés, il seront défendus en tant que tel par leurs géniteurs, par leur terroir, par leurs coutumes, avec tout ce que ces derniers disposent de force, d'intelligence, de moyens et de relations. L'avenir n'appartient pas et n'appartiendra jamais ni aux cancres ni aux tricheurs, et toute injustice ne tient que le temps d'un pouvoir éphémère, dans l'Eglise comme ailleurs.
Fait à Yaoundé, le 11 Octobre 2012
POUR LE BUREAU NATIONAL
SINDJOUN POKAM
SHANDA TONME
Secrétaire Général Chargé de missions, de l'information, et des relations publiques