AFFAIRE MBOMA-WOME NLEND: Les faits du dossier selon un témoin
19 MAI 2013
© Charles Kamdem | Correspondance
Au-delà des spéculations tribales et communautaristes, l’affaire FOUMBI met au grand jour, les activités d’un génie du mal qui se sera employé ces dernières années à frapper fort dans les malversations. Les victimes les plus nombreuses se trouvent être des hommes d’affaires et des médecins bamiléké, en sus de l’Etat du Cameroun dont le nom n’apparaît qu’en filigrane. Ce constat rend marginal les développements ethniques du problème.
De l’Etat du Cameroun à qui il a cédé à titre exagérément onéreux, une copie inachevée d’un logiciel développé par le Guinéen Aboubakar KOUROUMA, lequel logiciel est en exploitation dans cet Etat. Un milliard deux cent cinquante millions du Programme National de Développement Participatif : il n’en fallait pas plus pour donner une terrible insomnie aux hauts responsables de la République surpris par la facilité avec laquelle ils sont tombés dans le traquenard de ce beau parleur. Récemment encore, il a réuni des hauts responsables de la République, dont le MINPLAN pour présenter un logiciel qui allait attirer de gros investisseurs au Pays, avec à la clef à ses dires, plus de 5000 milliards de francs cfa en 5 ans (en a-t-il les capacités, et dans l’affirmative pour quelle contrepartie financière ?).
Tout part de Delaware, paradis fiscal réputé pour sa douceur de vie, ses sociétés fictives et ses feymen. Foumbi monte dans cet Etat des USA la première Société HOPE dont il est l’unique actionnaire. Cette Société sera par la suite unique actionnaire de Hope Service Cameroun, lequel à son tour sera l’unique actionnaire de Hope Service France. Par la suite, au gré des opportunités Hope Finance, Hope Santé et autres verront le jour, avec pour seul objectif de réunir le plus de victimes dans ces éléphants qui ne connaîtront jusqu’à leur fermeture successive aucune assemblée des actionnaires. Patrick MBOMA, WOME NLEND, Idriss Carlos KAMENI, des médecins de renom, des hommes d’affaires prospères tomberont dans le traquenard avec au passage quelques milliards de bénéfice net, et une vie de pacha dans les riches palaces du monde. Une fois Hope Service en surliquidités et surendetté, par un tour de passe passe, Hope Finance prend le relai pour les actifs, effaçant au passage le passif. Le pauvre MBOMA, pas plus que les autres pigeons n’y comprennent rien. L’astuce aujourd’hui mise en exergue par ses comparses de la République qui n’ont aucun intérêt à ce que la lumière se fasse, avec la crainte de l’épervier et les responsabilités professionnelles, revient à faire une distinction entre les actions sociales, et Foumbi, personne physique, dont la confusion de patrimoine avec les structures fictives est évidente.
C’est cet escroc international qui vient de tomber dans les mailles de la Police et qui se débat comme un beau diable pour éviter d’avoir à rendre compte, en indexant au passage Patrick MBOMA, le DGA de paille qui n’a jamais été associé à la gestion. Foumbi a-t-il jamais ouvert un compte pour les activités sociales ? Peut-il expliquer la destination des milliards engrangés ? Une commission rogatoire en France et à Delaware permettrait une meilleure lisibilité du dossier. C’est cette gestion fumeuse, opaque, personnelle, mafieuse, malhonnête, qui est reprochée aujourd’hui à Foumbi par ses nombreuses victimes. Hope Finance France qui a été radié du registre de commerce en raison des problèmes de conformité trouve un responsable de la Cellule de Communication, en la personne de son unique membre Sieur FOUMBI alias JEF pour donner une version édulcorée, laquelle résiste mal aux faits. A ce jour, il n’a pas apporté le moindre élément corroborant sa bonne foi dans la gestion de l’importante manne. Wait and see
Charles Kamdem
Tel : .. .. .. ..
© Charles Kamdem | Correspondance
Au-delà des spéculations tribales et communautaristes, l’affaire FOUMBI met au grand jour, les activités d’un génie du mal qui se sera employé ces dernières années à frapper fort dans les malversations. Les victimes les plus nombreuses se trouvent être des hommes d’affaires et des médecins bamiléké, en sus de l’Etat du Cameroun dont le nom n’apparaît qu’en filigrane. Ce constat rend marginal les développements ethniques du problème.
De l’Etat du Cameroun à qui il a cédé à titre exagérément onéreux, une copie inachevée d’un logiciel développé par le Guinéen Aboubakar KOUROUMA, lequel logiciel est en exploitation dans cet Etat. Un milliard deux cent cinquante millions du Programme National de Développement Participatif : il n’en fallait pas plus pour donner une terrible insomnie aux hauts responsables de la République surpris par la facilité avec laquelle ils sont tombés dans le traquenard de ce beau parleur. Récemment encore, il a réuni des hauts responsables de la République, dont le MINPLAN pour présenter un logiciel qui allait attirer de gros investisseurs au Pays, avec à la clef à ses dires, plus de 5000 milliards de francs cfa en 5 ans (en a-t-il les capacités, et dans l’affirmative pour quelle contrepartie financière ?).
Tout part de Delaware, paradis fiscal réputé pour sa douceur de vie, ses sociétés fictives et ses feymen. Foumbi monte dans cet Etat des USA la première Société HOPE dont il est l’unique actionnaire. Cette Société sera par la suite unique actionnaire de Hope Service Cameroun, lequel à son tour sera l’unique actionnaire de Hope Service France. Par la suite, au gré des opportunités Hope Finance, Hope Santé et autres verront le jour, avec pour seul objectif de réunir le plus de victimes dans ces éléphants qui ne connaîtront jusqu’à leur fermeture successive aucune assemblée des actionnaires. Patrick MBOMA, WOME NLEND, Idriss Carlos KAMENI, des médecins de renom, des hommes d’affaires prospères tomberont dans le traquenard avec au passage quelques milliards de bénéfice net, et une vie de pacha dans les riches palaces du monde. Une fois Hope Service en surliquidités et surendetté, par un tour de passe passe, Hope Finance prend le relai pour les actifs, effaçant au passage le passif. Le pauvre MBOMA, pas plus que les autres pigeons n’y comprennent rien. L’astuce aujourd’hui mise en exergue par ses comparses de la République qui n’ont aucun intérêt à ce que la lumière se fasse, avec la crainte de l’épervier et les responsabilités professionnelles, revient à faire une distinction entre les actions sociales, et Foumbi, personne physique, dont la confusion de patrimoine avec les structures fictives est évidente.
C’est cet escroc international qui vient de tomber dans les mailles de la Police et qui se débat comme un beau diable pour éviter d’avoir à rendre compte, en indexant au passage Patrick MBOMA, le DGA de paille qui n’a jamais été associé à la gestion. Foumbi a-t-il jamais ouvert un compte pour les activités sociales ? Peut-il expliquer la destination des milliards engrangés ? Une commission rogatoire en France et à Delaware permettrait une meilleure lisibilité du dossier. C’est cette gestion fumeuse, opaque, personnelle, mafieuse, malhonnête, qui est reprochée aujourd’hui à Foumbi par ses nombreuses victimes. Hope Finance France qui a été radié du registre de commerce en raison des problèmes de conformité trouve un responsable de la Cellule de Communication, en la personne de son unique membre Sieur FOUMBI alias JEF pour donner une version édulcorée, laquelle résiste mal aux faits. A ce jour, il n’a pas apporté le moindre élément corroborant sa bonne foi dans la gestion de l’importante manne. Wait and see
Charles Kamdem
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