Affaire J. P. AMOUGOU BELINGA - J. E. PONDI: Les réseaux sataniques veulent en découdre avec L'Anecdote
YAOUNDE - 08 OCT. 2012
© René Atangana | La Météo
Le Pdg du groupe L'Anecdote, Jean Pierre Amougou Belinga vient d'échapper à un complot qui, certainement, aura été orchestré par des réseaux diaboliques.
S'il n'était pas accompagné d'un conseil rompu à la tâche, constitué de Me Ismaël Block, Me Marthe Zintchem, Me Ndoumou Paul et Me Bayiha Joseph, le célèbre Jean Pierre Amougou Belinga se serait retrouvé, comme par amusement, à la prison centrale de Kondengui. La preuve? Ceux qui ont assisté à ce procès très couru pour le moins, se sont demandés si le juge ne voulait pas à tout prix en découdre avec Amougou Belinga. D'après certains exégètes avisés, ils répondront par l'affirmative. Tout avait été mis sur pied pour qu'il soit incarcéré le jour même de l'audience.
Durant le procès, le juge va battre en brèche, et avec la dernière énergie, tous les argumentaires des avocats du patron du grand groupe de presse de la capitale, sur l'annulation de la citation directe d'Emmanuel Pondi, visiblement cousue de fil blanc. Dans cette citation visiblement tirée par les cheveux, parce que montée à la hâte, la défense évoque le vice de procédure, car, contenant plein d'irrégularités et d'incongruités. Les avocats de la défense soutiennent que la plainte ne comporte pas la filiation complète du plaignant, conformément aux préalables habituels exigés. Chose curieuse, pour cette même citation directe, Jean Emmanuel Pondi et son conseil réussissent l'exploit d'aller dans tous les sens en notant trois motifs contre Amougou Belinga, à savoir: diffamation, outrage à corps constitué, et injures, alors qu'à la lecture de l'article incriminé, il n'en est rien du tout. D'après ces mêmes analystes, comment comprendre que n'étant plus directeur de l'Iric, M. Pondi continue toujours de mettre dans cette citation directe, le motif d'outrage à. corps constitué ?
Malgré ces faits concrets dus à la forme et qui auraient pu conduire à une annulation, rien ne troublera le juge dans sa logique d'envoyer à tout prix Amougou Belinga qui n'avait même pas encore parlé, en prison. Face à une défense bétonnée qui n'a en réalité pour l'heure, sorti aucune de ses cartes, le juge, visiblement pris dans son propre piège, va suspendre la séance pour renvoyer l'affaire au 16 octobre prochain. Visiblement, ce jour sera un autre, avec non seulement des témoins qui promettent de tout balancer dans la face de Pondi, mais surtout cette vidéo qui pourra montrer des images pas du tout agréables.
© René Atangana | La Météo
L'audience
a eu lieu le jeudi 03 octobre au Tribunal de première instance
d'Ekounou. Certains analystes voient en cela, une guerre entre Marafa et
Laurent Esso par personnes interposées.
Le Pdg du groupe L'Anecdote, Jean Pierre Amougou Belinga vient d'échapper à un complot qui, certainement, aura été orchestré par des réseaux diaboliques.
S'il n'était pas accompagné d'un conseil rompu à la tâche, constitué de Me Ismaël Block, Me Marthe Zintchem, Me Ndoumou Paul et Me Bayiha Joseph, le célèbre Jean Pierre Amougou Belinga se serait retrouvé, comme par amusement, à la prison centrale de Kondengui. La preuve? Ceux qui ont assisté à ce procès très couru pour le moins, se sont demandés si le juge ne voulait pas à tout prix en découdre avec Amougou Belinga. D'après certains exégètes avisés, ils répondront par l'affirmative. Tout avait été mis sur pied pour qu'il soit incarcéré le jour même de l'audience.
Durant le procès, le juge va battre en brèche, et avec la dernière énergie, tous les argumentaires des avocats du patron du grand groupe de presse de la capitale, sur l'annulation de la citation directe d'Emmanuel Pondi, visiblement cousue de fil blanc. Dans cette citation visiblement tirée par les cheveux, parce que montée à la hâte, la défense évoque le vice de procédure, car, contenant plein d'irrégularités et d'incongruités. Les avocats de la défense soutiennent que la plainte ne comporte pas la filiation complète du plaignant, conformément aux préalables habituels exigés. Chose curieuse, pour cette même citation directe, Jean Emmanuel Pondi et son conseil réussissent l'exploit d'aller dans tous les sens en notant trois motifs contre Amougou Belinga, à savoir: diffamation, outrage à corps constitué, et injures, alors qu'à la lecture de l'article incriminé, il n'en est rien du tout. D'après ces mêmes analystes, comment comprendre que n'étant plus directeur de l'Iric, M. Pondi continue toujours de mettre dans cette citation directe, le motif d'outrage à. corps constitué ?
Malgré ces faits concrets dus à la forme et qui auraient pu conduire à une annulation, rien ne troublera le juge dans sa logique d'envoyer à tout prix Amougou Belinga qui n'avait même pas encore parlé, en prison. Face à une défense bétonnée qui n'a en réalité pour l'heure, sorti aucune de ses cartes, le juge, visiblement pris dans son propre piège, va suspendre la séance pour renvoyer l'affaire au 16 octobre prochain. Visiblement, ce jour sera un autre, avec non seulement des témoins qui promettent de tout balancer dans la face de Pondi, mais surtout cette vidéo qui pourra montrer des images pas du tout agréables.