Affaire des honoraires des avocats du Rdpc: Charles Ateba Eyene se déchaîne
Yaoundé, 04 Février 2013
© La Nouvelle
René Sadi se présente comme l'une des rares réussites de Paul Biya en matière d'éthique, de morale et de rigueur.
Les mots, comme le dit Marshall Rosenberg, fondateur de la communication non verbale (2005) dit ceci: «Les mots sont comme des fenêtres ou des murs.» Il faut savoir que c'est Dieu qui choisit ses hommes. Et Dieu ne choisit pas les hommes capables mais rend plutôt capables tous ceux qu'il utilise et veut utiliser. L'autopsie de la situation socio-politique camerounaise sous le Renouveau 30 ans après ne fait pas sourire. Au contraire, elle préoccupe. Dans notre laboratoire politique, le camarade et ami, le professeur Pascal Messanga Nyamding et nous avons fait des constats: nous n'avons pas pu savoir anticiper; les activités chronophages ont bouffé le temps, les hommes ont laissé les gourous leur dicter des conduites, la course aux loisirs et aux gadgets de la vie ne nous a pas permis de bâtir une société de valeur faite d'hommes intègres et capables. Dans cette diagonale du flou, des monstres sont nés. Comme le rôle de vrais intellectuels est de faire taire les idiots, nous prenons la parole à cette occasion pour dénoncer la cabale en cours contre le grand commis de l'Etat qu'en René Emmanuel Sadi.
Sadi a refusé de participer au bal des charognards
Sadi que l'on voit à l'œuvre a, mieux que 90% de ceux qui ont bénéficié de la même confiance du Chef de l'Etat, su rester lui-même, à sa place ayant un grand intérêt de l'Etat et de l'intérêt général. Nous faisons ce travail de vérité parce que l'homme avisé voit le malheur et il se cache; les naïfs eux passent outre, et, ils doivent en payer le prix (Prov 22.3). Sadi devient aujourd'hui la cible des réseaux de pouvoir, d'argent et des sectaires parce que contrairement aux ambianceurs, aux occultistes et aux capitalistes spécialistes de l'accumulation qui entourent Paul Biya, il s'est dévoué au service de l'Etat et de l'intérêt général. Il a refusé des messes noires et les complots. Il s'est détaché de la matière et s'est élevé vers les choses de l'esprit. Il a œuvré pour sa dignité et la dignité de son âme. Il a cristallisé sa passion et ses convictions au service de Paul Biya. Cela montre que contrairement aux autres, Sadi n'est pas un traître, un assoiffé du pouvoir et de l'argent.
Sadi fait peur à la pègre politique
Les théories qui aujourd'hui se développent autour de lui sont des théories de la panique, de la haine et de la méchanceté gratuite. Tous les faux procès que l'on entend sur lui sont les procès en sorcellerie visant tout simplement à le salir ou à le dénigrer. La preuve qu'il fait peur aux imposteurs et aux affabulateurs autour du Président. Ils sont menacés de rendre compte de leurs frasques en matière de gouvernance. Ils sont victimes de la colère de Dieu, car Dieu n'aime pas les traîtres. Quand la maison brûle, on ne cache plus la fumée dit un proverbe du Burundi.
Le temps du Président est le meilleur
Tous ceux qui avaient pillé et torpillé les biens publics n'avaient pas prévu le temps du Président. Tous ceux qui se sont enrichis pour la conquête du pouvoir tous ceux qui avaient tenté de bloquer l'Etat en recrutant les ressources humaines uniquement qu'au sein de leurs familles, de leurs maîtresses, des adeptes des loges ou de l'homosexualité, sentent le mauvais vent venir et veulent forcément entraîner tout le monde dans leur chute. Malheureusement pour eux, la nature des choses n'est jamais comme ça.
Les complots contre Biya démasqués
On voulait tuer le Président en accélérant les facteurs de l'impatience. Le déficit de rendement en matière de service sociaux fut un complot pour pousser les gens dans la rue. C'était une belle manière de prouver l'incompétence du Président et l'absence de lucidité dans la gestion de l'Etat. Aujourd'hui et grâce à Dieu, tous les calculs ont échoué et le Président tient bien sa barque. Il la tient même très bien. Ceux qui avaient infiltré sa sécurité pour le tuer comprennent aujourd'hui mieux ce que nous disons.
Faute d'atteindre le Président, les réseaux ont compris qu'il faut orienter les attaques contre les derniers vrais soutiens de Paul Biya pour l'abattre, Le temps de la tempête s'y prête. C'est la raison pour laquelle les hommes comme Mebe Ngo'o (Mindef), Fame Ndongo (Enseignement Supérieur), Minette Libom Li Likeng (Dg Douane), Théodore Nsangon (Edc), Nganou Djoumessi (Economie et planification), Louis Paul Motaze, (Sg des services du Pm...) sont vertement combattus tout comme l'est René Sadi en ce moment. Ce type d'attaques il faut le savoir, est stratégique. On sait comment les contourner, les neutraliser. «L'art de la guerre» de Sun Tse enseigne ces choses. Les techniques de simulation et de dissimulation sont très anciennes.
Les réseaux bloquent un homme mais c'est l'Etat qui perd
Généralement, les réseaux ont leurs hommes et leurs valeurs. Ils utilisent 3 armes fatales pour s'imposer: l'intimidation, la manipulation et la peur pour vider, affamer et torturer le peuple et pour mieux les soumettre à leur rapine. René Emmanuel Sadi est une énergie qu'il faut laisser se déployer autour du Président. Tous les hiboux qui hurlent sur sa tête veulent tout simplement le distraire, distraire le Président et surtout le peuple camerounais qui a besoin des gens qui travaillent pour son bien-être. Les logiques dans un tel ordre sont celles des hommes qui développent le jeu collectif autour du Chef.
Sadi, de par sa mentalité, n'a rien à voir avec toutes les bêtises qu'on veut lui attribuer. Il est victime de son intégrité dans un environnement de pommes pourries. Nous le disons avec conviction et fermeté parce que nous avons eu l'insigne honneur de travailler avec lui quand il était Sg du Comité central. Nous ne savons pas de lui que c'est un homme d'argent un homme de réseaux ou des loges sataniques. Nous ne savons pas de lui qu'il se montre méprisant envers ses collaborateurs... Ce qui nous a le plus marqué c'est sa totale disponibilité au service du Président Paul Biya que nous soutenons et qui pour nous est la solution de l'alternance au Cameroun pour le moment. Ceux qui pensent le contraire manquent tout simplement de réalisme. Lors de sa récente visite en France, les compatriotes de François Hollande ont eu en face d’eux, un sage, un digne africain.
Message à la presse chargée de tuer Sadi
Il faut savoir que la presse a été recrutée par les ennemis de Sadi pour faire le sale boulot. Nous avons la liste de tous les journaux et savons combien les réseaux payent pour chaque publication. Un Directeur de publication d'un journal qui passe aujourd'hui être le bourreau du Minatd nous a confié qu'il écrit contre Sadi parce qu'il ne donne pas de l'argent aux journaux comme les autres. Voilà le crime. Or, le vrai crime devrait être que les hommes politiques manipulent la presse et utilisent la presse pour liquider les adversaires redoutés. Cela nous permet de dire aux médias et aux hommes de médias qu'en procédant ici, ils tuent la démocratie camerounaise et minent la saine émulation dans notre société que l'on voit pénétrer en brousse comme l'écrivait le sociologue Jean Marc Ela. A cette vilaine presse, nous disons de faire attention à l'utopie du désenchantement. L'analyse sémiotique de l'image de René Sadi sur la scène politique camerounaise fait des jaloux. Mais ce n'est pas pour rien.
La diversion, la distraction et le divertissement ne peuvent pas aider notre pays à sortir de la barre. Nous recommandons à notre presse de rester attentive au sens général des choses dans notre société au lieu de cédera l'arnaque. Le goût est le bon sens du génie, écrivaient Château Brillant dans son essai sur la littérature anglaise. Le temps des illusions est terminé. Vous pouvez aller prendre de l'argent où vous voulez mais de grâce, ne perdez pas la raison en insultant le bon sens des camerounais qui prouvent qu'ils ne sont pas dupes. Détrompez vous en pensant que le peuple ne sait pas pour qui roule telle ou telle presse, qui peut-être le commanditaire de tel ou tel article. Entant qu'enseignant de communication politique, nous avons le possibilité scientifique de vous démontrer ce que vous faites naïvement ou non. Gardez vos privilèges mais ne vendez pas toute votre âme au diable. Sachez surtout que ceux qui financent vos articles sont les véritables gangrènes du pays. Pour terminer, nous vous assignons un devoir: cherchez à savoir quelles sont les personnalités derrière les importations de champagne, de sardine et qui soutiennent le pillage au port de Douala? Cherchez à savoir les affinités entre les responsables de «Dak Security» et certains barons du régime. Cherchez à savoir ces choses pour être plus crédibles et montrer que vous n'êtes pas à la solde des lobbies. La théorie fondamentale de la communication sociale est le feed-back.
Max Weber (1864-1920) sociologue et philosophe allemand analyse le phénomène juridique et institutionnaliste et dénonce la manipulation. Au Cameroun, la presse, une certaine presse inquiète en cédant à la manipulation. Il faut donc savoir et enseigner qu'on ne peut pas développer un pays comme le Cameroun avec les sagesses de l'imposture et de l'occultisme.
Dr Charles Ateba Eyene Esstic/Iric, stratège en Com
*Le surtitre et le titre sont de la rédaction et les avis émis ici n'engagent que leur auteur.
© La Nouvelle
René Sadi se présente comme l'une des rares réussites de Paul Biya en matière d'éthique, de morale et de rigueur.
Les mots, comme le dit Marshall Rosenberg, fondateur de la communication non verbale (2005) dit ceci: «Les mots sont comme des fenêtres ou des murs.» Il faut savoir que c'est Dieu qui choisit ses hommes. Et Dieu ne choisit pas les hommes capables mais rend plutôt capables tous ceux qu'il utilise et veut utiliser. L'autopsie de la situation socio-politique camerounaise sous le Renouveau 30 ans après ne fait pas sourire. Au contraire, elle préoccupe. Dans notre laboratoire politique, le camarade et ami, le professeur Pascal Messanga Nyamding et nous avons fait des constats: nous n'avons pas pu savoir anticiper; les activités chronophages ont bouffé le temps, les hommes ont laissé les gourous leur dicter des conduites, la course aux loisirs et aux gadgets de la vie ne nous a pas permis de bâtir une société de valeur faite d'hommes intègres et capables. Dans cette diagonale du flou, des monstres sont nés. Comme le rôle de vrais intellectuels est de faire taire les idiots, nous prenons la parole à cette occasion pour dénoncer la cabale en cours contre le grand commis de l'Etat qu'en René Emmanuel Sadi.
Sadi a refusé de participer au bal des charognards
Sadi que l'on voit à l'œuvre a, mieux que 90% de ceux qui ont bénéficié de la même confiance du Chef de l'Etat, su rester lui-même, à sa place ayant un grand intérêt de l'Etat et de l'intérêt général. Nous faisons ce travail de vérité parce que l'homme avisé voit le malheur et il se cache; les naïfs eux passent outre, et, ils doivent en payer le prix (Prov 22.3). Sadi devient aujourd'hui la cible des réseaux de pouvoir, d'argent et des sectaires parce que contrairement aux ambianceurs, aux occultistes et aux capitalistes spécialistes de l'accumulation qui entourent Paul Biya, il s'est dévoué au service de l'Etat et de l'intérêt général. Il a refusé des messes noires et les complots. Il s'est détaché de la matière et s'est élevé vers les choses de l'esprit. Il a œuvré pour sa dignité et la dignité de son âme. Il a cristallisé sa passion et ses convictions au service de Paul Biya. Cela montre que contrairement aux autres, Sadi n'est pas un traître, un assoiffé du pouvoir et de l'argent.
Sadi fait peur à la pègre politique
Les théories qui aujourd'hui se développent autour de lui sont des théories de la panique, de la haine et de la méchanceté gratuite. Tous les faux procès que l'on entend sur lui sont les procès en sorcellerie visant tout simplement à le salir ou à le dénigrer. La preuve qu'il fait peur aux imposteurs et aux affabulateurs autour du Président. Ils sont menacés de rendre compte de leurs frasques en matière de gouvernance. Ils sont victimes de la colère de Dieu, car Dieu n'aime pas les traîtres. Quand la maison brûle, on ne cache plus la fumée dit un proverbe du Burundi.
Le temps du Président est le meilleur
Tous ceux qui avaient pillé et torpillé les biens publics n'avaient pas prévu le temps du Président. Tous ceux qui se sont enrichis pour la conquête du pouvoir tous ceux qui avaient tenté de bloquer l'Etat en recrutant les ressources humaines uniquement qu'au sein de leurs familles, de leurs maîtresses, des adeptes des loges ou de l'homosexualité, sentent le mauvais vent venir et veulent forcément entraîner tout le monde dans leur chute. Malheureusement pour eux, la nature des choses n'est jamais comme ça.
Les complots contre Biya démasqués
On voulait tuer le Président en accélérant les facteurs de l'impatience. Le déficit de rendement en matière de service sociaux fut un complot pour pousser les gens dans la rue. C'était une belle manière de prouver l'incompétence du Président et l'absence de lucidité dans la gestion de l'Etat. Aujourd'hui et grâce à Dieu, tous les calculs ont échoué et le Président tient bien sa barque. Il la tient même très bien. Ceux qui avaient infiltré sa sécurité pour le tuer comprennent aujourd'hui mieux ce que nous disons.
Faute d'atteindre le Président, les réseaux ont compris qu'il faut orienter les attaques contre les derniers vrais soutiens de Paul Biya pour l'abattre, Le temps de la tempête s'y prête. C'est la raison pour laquelle les hommes comme Mebe Ngo'o (Mindef), Fame Ndongo (Enseignement Supérieur), Minette Libom Li Likeng (Dg Douane), Théodore Nsangon (Edc), Nganou Djoumessi (Economie et planification), Louis Paul Motaze, (Sg des services du Pm...) sont vertement combattus tout comme l'est René Sadi en ce moment. Ce type d'attaques il faut le savoir, est stratégique. On sait comment les contourner, les neutraliser. «L'art de la guerre» de Sun Tse enseigne ces choses. Les techniques de simulation et de dissimulation sont très anciennes.
Les réseaux bloquent un homme mais c'est l'Etat qui perd
Généralement, les réseaux ont leurs hommes et leurs valeurs. Ils utilisent 3 armes fatales pour s'imposer: l'intimidation, la manipulation et la peur pour vider, affamer et torturer le peuple et pour mieux les soumettre à leur rapine. René Emmanuel Sadi est une énergie qu'il faut laisser se déployer autour du Président. Tous les hiboux qui hurlent sur sa tête veulent tout simplement le distraire, distraire le Président et surtout le peuple camerounais qui a besoin des gens qui travaillent pour son bien-être. Les logiques dans un tel ordre sont celles des hommes qui développent le jeu collectif autour du Chef.
Sadi, de par sa mentalité, n'a rien à voir avec toutes les bêtises qu'on veut lui attribuer. Il est victime de son intégrité dans un environnement de pommes pourries. Nous le disons avec conviction et fermeté parce que nous avons eu l'insigne honneur de travailler avec lui quand il était Sg du Comité central. Nous ne savons pas de lui que c'est un homme d'argent un homme de réseaux ou des loges sataniques. Nous ne savons pas de lui qu'il se montre méprisant envers ses collaborateurs... Ce qui nous a le plus marqué c'est sa totale disponibilité au service du Président Paul Biya que nous soutenons et qui pour nous est la solution de l'alternance au Cameroun pour le moment. Ceux qui pensent le contraire manquent tout simplement de réalisme. Lors de sa récente visite en France, les compatriotes de François Hollande ont eu en face d’eux, un sage, un digne africain.
Message à la presse chargée de tuer Sadi
Il faut savoir que la presse a été recrutée par les ennemis de Sadi pour faire le sale boulot. Nous avons la liste de tous les journaux et savons combien les réseaux payent pour chaque publication. Un Directeur de publication d'un journal qui passe aujourd'hui être le bourreau du Minatd nous a confié qu'il écrit contre Sadi parce qu'il ne donne pas de l'argent aux journaux comme les autres. Voilà le crime. Or, le vrai crime devrait être que les hommes politiques manipulent la presse et utilisent la presse pour liquider les adversaires redoutés. Cela nous permet de dire aux médias et aux hommes de médias qu'en procédant ici, ils tuent la démocratie camerounaise et minent la saine émulation dans notre société que l'on voit pénétrer en brousse comme l'écrivait le sociologue Jean Marc Ela. A cette vilaine presse, nous disons de faire attention à l'utopie du désenchantement. L'analyse sémiotique de l'image de René Sadi sur la scène politique camerounaise fait des jaloux. Mais ce n'est pas pour rien.
La diversion, la distraction et le divertissement ne peuvent pas aider notre pays à sortir de la barre. Nous recommandons à notre presse de rester attentive au sens général des choses dans notre société au lieu de cédera l'arnaque. Le goût est le bon sens du génie, écrivaient Château Brillant dans son essai sur la littérature anglaise. Le temps des illusions est terminé. Vous pouvez aller prendre de l'argent où vous voulez mais de grâce, ne perdez pas la raison en insultant le bon sens des camerounais qui prouvent qu'ils ne sont pas dupes. Détrompez vous en pensant que le peuple ne sait pas pour qui roule telle ou telle presse, qui peut-être le commanditaire de tel ou tel article. Entant qu'enseignant de communication politique, nous avons le possibilité scientifique de vous démontrer ce que vous faites naïvement ou non. Gardez vos privilèges mais ne vendez pas toute votre âme au diable. Sachez surtout que ceux qui financent vos articles sont les véritables gangrènes du pays. Pour terminer, nous vous assignons un devoir: cherchez à savoir quelles sont les personnalités derrière les importations de champagne, de sardine et qui soutiennent le pillage au port de Douala? Cherchez à savoir les affinités entre les responsables de «Dak Security» et certains barons du régime. Cherchez à savoir ces choses pour être plus crédibles et montrer que vous n'êtes pas à la solde des lobbies. La théorie fondamentale de la communication sociale est le feed-back.
Max Weber (1864-1920) sociologue et philosophe allemand analyse le phénomène juridique et institutionnaliste et dénonce la manipulation. Au Cameroun, la presse, une certaine presse inquiète en cédant à la manipulation. Il faut donc savoir et enseigner qu'on ne peut pas développer un pays comme le Cameroun avec les sagesses de l'imposture et de l'occultisme.
Dr Charles Ateba Eyene Esstic/Iric, stratège en Com
*Le surtitre et le titre sont de la rédaction et les avis émis ici n'engagent que leur auteur.