Affaire des 100 milliards de Franck Biya: Entre rumeur et volonté de nuire
Yaounde, 28 Novembre 2012
© L.C.N | L'Epervier
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L'affaire
concernant l'implication réelle ou non du fils du président dans
l'obtention des obligations du trésor à coupon zéro de près de 100
milliards FCFA dégage une forte odeur de manipulation.
A l'heure où certains médias nationaux
au constat plutôt alarmiste que convaincant répandent et entretiennent
telle une traînée de poudre des rumeurs les plus folles sur de supposés
scandales financiers au sujet d'une affaire des obligations du trésor à
coupon zéro à hauteur de 100 milliards de francs CFA, dont le fils du
chef de l'Etat Frank Emmanuel Biya serait I ’auteur, l'on ne saurait
rester insensible à cette situation non sans s'étonner avec effarement
sur la réalité des faits. Après la publication le 12 Novembre 2012 par
le journal « l'œil du sahel», la presse nationale s’est emparée de
l'affaire et y a donné une autre coloration au point d'en faire des
choux gras. Depuis que cette affaire a été déclenchée, le présumé
coupable y compris son père ont gardé un silence de mort. Non pas qu'ils
consentent de quelque façon à ces allégations, comme le ferait croire
l'adage, mais parce que ces allégations sont de simples affabulations
dont l'objectif non avoué est d'affaiblir le président Paul Biya en
passant par son fils aîné.
Une sagesse bantou nous apprend que l'animal qui a une queue traverse difficilement un piège sans se faire attraper. Ceci dans la mesure où ses membres supérieurs qu'il contrôle bien parviennent à traverser sans problème, il reste que sa queue risque de déclencher le piège. Tout ceci pour dire après plusieurs tentatives infructueuses de déstabilisation du président de la république par des affaires sans tête ni queue monter de toutes pièces par ses détracteurs, il restait à ces derniers certainement la voie de son fils qui dans un calme olympien se bat bec et ongles pour se frayer une place dans ce monde devenu très concurrentiel. Après la chute du guide libyen Mouammar Kadhafi, les informations concordantes faisaient état de ce que Paul Biya était la première victime du printemps arabe en Afrique Subsaharienne. Contre vents et marrées Paul Biya a tenu bon et aujourd'hui ces hommes et femmes qui avaient planifié son échec se mordent les doigts. On évoque actuellement son impopularité sur la scène internationale et pourtant Paul Biya prend une part active aux sommets et événements internationaux, qu'il juge stratégiques dans la réalisation de son projet de société basé sur les grandes réalisations.
Dans une Afrique où la gestion du pouvoir étatique est devenue une affaire familiale, le Cameroun pour l'instant fait figure d'exception. Une véritable surprise qu'on apprenne que le fils d'un chef de l'Etat africain ne soit pas membre du gouvernement. Et pourtant au Gabon voisin avant le décès du président Omar Bongo Ondimba ses enfants étaient ses plus proches collaborateurs. La preuve est qu'aujourd'hui l'actuel président Gabonais Ali Ben Bongo a pris la relève après le décès son père. Mais Frank Emmanuel Biya est resté très effacé de la scène politique. Son apparition aux côtés de son père lors de la campagne électorale de 2011 comptant pour les élections présidentielles de la même année était une grande surprise aux yeux de l'opinion publique. Cela avait d'ailleurs suscité des commentaires et tous ou presque avaient parié sur son entrée au gouvernement du 09 décembre 2011. Cela n'avait malheureusement pas été le cas.
LE CAMEROUN COMME LES AUTRES
Après les scandales fondés ou non au sujet de la fortune insolente du fils du président Equato-Guinéen Todoring Obiang et les démêlés judiciaires que connait en ce moment Karim Wade le fils de l'ancien président Sénégalais Abdoulaye Wade. Certains estiment et s'offusquent du fait que le fils du président camerounais connaît des jours plutôt tranquilles. Il fallait donc chercher des mains et des pieds pour le fragiliser. On se souvient même qu'un élu de la nation a du interpeller le premier ministre chef du gouvernement au cours de la session ordinaire qui se tient en ce moment à l'Assemblée nationale au sujet de cette affaire pour savoir pourquoi Frank Biya ne fait-il pas encore objet d'une poursuite judiciaire. Il est une vérité essentielle à savoir que nos divergences d'opinion même visiblement accentuées par le contexte actuel et souvent alimenter par des influences venus des puissances étrangères ne peuvent en rien enlever à cette image la volonté du peuple camerounais dans son immense majorité de voir le bout du tunnel avec la concrétisation des grandes réalisations.
Une sagesse bantou nous apprend que l'animal qui a une queue traverse difficilement un piège sans se faire attraper. Ceci dans la mesure où ses membres supérieurs qu'il contrôle bien parviennent à traverser sans problème, il reste que sa queue risque de déclencher le piège. Tout ceci pour dire après plusieurs tentatives infructueuses de déstabilisation du président de la république par des affaires sans tête ni queue monter de toutes pièces par ses détracteurs, il restait à ces derniers certainement la voie de son fils qui dans un calme olympien se bat bec et ongles pour se frayer une place dans ce monde devenu très concurrentiel. Après la chute du guide libyen Mouammar Kadhafi, les informations concordantes faisaient état de ce que Paul Biya était la première victime du printemps arabe en Afrique Subsaharienne. Contre vents et marrées Paul Biya a tenu bon et aujourd'hui ces hommes et femmes qui avaient planifié son échec se mordent les doigts. On évoque actuellement son impopularité sur la scène internationale et pourtant Paul Biya prend une part active aux sommets et événements internationaux, qu'il juge stratégiques dans la réalisation de son projet de société basé sur les grandes réalisations.
Dans une Afrique où la gestion du pouvoir étatique est devenue une affaire familiale, le Cameroun pour l'instant fait figure d'exception. Une véritable surprise qu'on apprenne que le fils d'un chef de l'Etat africain ne soit pas membre du gouvernement. Et pourtant au Gabon voisin avant le décès du président Omar Bongo Ondimba ses enfants étaient ses plus proches collaborateurs. La preuve est qu'aujourd'hui l'actuel président Gabonais Ali Ben Bongo a pris la relève après le décès son père. Mais Frank Emmanuel Biya est resté très effacé de la scène politique. Son apparition aux côtés de son père lors de la campagne électorale de 2011 comptant pour les élections présidentielles de la même année était une grande surprise aux yeux de l'opinion publique. Cela avait d'ailleurs suscité des commentaires et tous ou presque avaient parié sur son entrée au gouvernement du 09 décembre 2011. Cela n'avait malheureusement pas été le cas.
LE CAMEROUN COMME LES AUTRES
Après les scandales fondés ou non au sujet de la fortune insolente du fils du président Equato-Guinéen Todoring Obiang et les démêlés judiciaires que connait en ce moment Karim Wade le fils de l'ancien président Sénégalais Abdoulaye Wade. Certains estiment et s'offusquent du fait que le fils du président camerounais connaît des jours plutôt tranquilles. Il fallait donc chercher des mains et des pieds pour le fragiliser. On se souvient même qu'un élu de la nation a du interpeller le premier ministre chef du gouvernement au cours de la session ordinaire qui se tient en ce moment à l'Assemblée nationale au sujet de cette affaire pour savoir pourquoi Frank Biya ne fait-il pas encore objet d'une poursuite judiciaire. Il est une vérité essentielle à savoir que nos divergences d'opinion même visiblement accentuées par le contexte actuel et souvent alimenter par des influences venus des puissances étrangères ne peuvent en rien enlever à cette image la volonté du peuple camerounais dans son immense majorité de voir le bout du tunnel avec la concrétisation des grandes réalisations.