Affaire Camair. Mila Assouté crève l'abcès
La preuve par 9
La vérité est luminescence. Elle sublime toujours le boisseau ! Ils sont paniqués, commettent dans la "presse" des
articles successifs, mensongers et contradictoires, sans dire un
traître mot sur l'essentiel: l’argent reçu de SAA… Mila Assouté ne fait
l’objet d’aucune poursuite judiciaire, ni condamnation, devant aucun
tribunal au monde, comme l’a prétendu un journal véreux, au secours du
dol présidentiel. En revanche, c’est bien ATT, société anonyme à
responsabilité limité, de droit camerounais, de Mila Assouté, qui est
en procès avec l’Etat du Cameroun, dans l’affaire SAA. Il sera prouvé
ici, pièces à conviction à l’appui, que Mila Assouté est
incontestablement l’unique ATT, et pas une autre, ne sortent de nulle
part pour réclamer au fameux comité ad-hoc ce qui n’est pas dû.
« Owona François »
et ses commanditaires, confus, créent l’amalgame entre ma personne et
ATT, ils dérivent du sujet dont ils sont accusés : les 40 milliards non
reversés aux ayants droit. Mais en vérité, la fébrilité a gagné
quelques kleptomanes de la présidence du Cameroun, ils agitent la
presse de caniveau, usent des contre-vérités en espérant masquer leurs
crimes, détourner l’attention, changer de sujet… Voilà l’objectif de ce
« journalisme » schizophrénique qui veut servir de béquille à un régime agonisant, à de voleurs notoires en conflits contre les évidences.
ATT
ne souffre d’aucune confusion ni homonymie : lire ci-joints, quelques
feuilles des rapports du comité ad-hoc qui parlent d’eux-mêmes, ainsi
que les actes notariés d’acquisition de ATT, les preuves de son
paiement à Fouad Srouji en 1997 par devant notaire et autres pièces à
conviction. (Voir pièces jointes 1-2-3 à la fin de cette correspondance)
La
ligne de défense du palais est ridicule. Certains renégats propagent
que l’argent spolié au détriment de la Camair et des victimes du crash,
est versé dans les caisses de l’Etat, d’autres arguent que le procès n'a
jamais réclamé les indemnités du crash du «Nyong »
à la Cour arbitrale… Un déni hélas ! Le transfert de SAA est arrivé à
la SGBC au 29, BD Haussmann. Il comprend bien l'indemnisation des 2
accidents d’avion.
Amadou Ali |
L’argent reçu a pris une destination sulfureuse, viré dans un autre
compte bancaire sulfureux à Neuilly-Sur-Seine, comme celui du Boulevard
Haussman de Fouman Akame Jean, au nom d’une société d’Etat sur laquelle,
Paul BIYA, a la haute main; l’autre partie transféré à la BICEC
Yaoundé, sur un compte géré comme ceux de la SGBC Paris, par le même
Jean Fouman Akame. Une autre part a servi à des acquisitions de biens en
Europe et au versement des récompenses à Christine Pauline Ngo Mandeng,
EGBE ACHUO Hilmann, AMADOU Ali et autres bien connus... Que certains
politiciens de la panse, guignols de César et singulièrement tartuffe
des médias, fussent-ils ministre, avocats ou conseiller véreux au
service du mal, essayent de se cacher derrière leur petit doigt pour
échapper de répondre devant la justice de leur vénalité établie, est
d’une corrosive plaisanterie.
La preuve des demandes de réparations des 2 accidents d’avion est irréfutable: ci-jointe (Voir pièce jointe 4 à la fin de cette correspondance), la lettre des réclamations de la présidence, adressée à Transnet/SAA.
En
Afrique du Sud, l'on parle d’un virement de 40,5 milliards Cfa au
profit de la Camair, et non pas seulement 32,5 milliards comme il est
affirmé. J’en parle depuis 2005. Captées en septembre 2004 auprès de
Transnet/SAA par Monsieur Fouman Akame Jean, ces sommes ne sont
d’ailleurs qu’un iceberg d’une criminalité en série perpétrée au palais
présidentiel de Yaoundé. Lorsqu’un autre futur ex-ministre d’Etat sera
aux arrêts, il viendra confirmer mes dires pour daigner en faire des
choux gras ! Je suis un homme patient, mêlé à aucun scandale,
j’attendrais ce moment là aussi.
Fouman Akame Jean, est un intendant du «sérial crimes».
Comme des clochers et des grelots, ils trimbalent après eux, les
stridents cliquetis des transferts d’argent issu des tragédies humaines,
pour leur usage privé. Les comptes de la SNH à l’étranger, en France,
servent de cache-sexe, ils blanchissent les crimes financiers. La « kleptomanie »
méphistophélique du cœur du régime est dénudée par de très proches
collaborateurs de Paul BIYA, destinataire final de l’argent, si non,
qu’il ouvre donc des poursuites judiciaires contre Fouman Akame Jean et
autres corrompus épinglés. La preuve ? Un compte bancaire spécialement
ouvert au nom d’un Etat par un individu et immédiatement clôturé après
capture des fonds dissimulés = blanchiment.
Le mystère et le
sacré du haut lieu de la République sont démythifiés, affichant une
hideuse nudité en public de Cléopâtre,en l'espèce, « reine d'une justice» à deux vitesses. Le palais s’isole en forteresse de voleurs de chameaux. « L’épervier »
a corrompu son maître, l’escarcelle du crime à la main, rivalisant avec
lui d’adresse, le rythme du tam-tam bafia, un pas devant, deux autres
en arrière.
Qu’un illuminé à l’imaginaire fantasmagorique « Owona François »
clerc des ripoux, joue au messie, veut marcher sur l’eau, pour nier
l’évidence, ou que Jean Fouman Akame et son neveu d’avocat, Engono
Essame Gorges, fondent en jactance sur ma personne, sauf sur l’argent
volé, dans le journal d’un repris de justice bien connu pour son style
journalistique crasse, Mvie Blaise, est d'une agitation sans objet pour
les victimes, mais aussi sans objet pour les juges qui ouvriraient bien
un procès criminel !
L’agitation substitue le déni, celui du
crime. Il n’est d’aucun intérêt à l’égard des victimes du crash d’avion
dont le fric qui indemnise le sang versé est volé ou de la Camair, de
démystifier l’adresse d’un Mila Assouté, inscrit pourtant au registre
des propriétaires fonciers parisiens, comme « SDF »
à Paris, ni de faire appel à des verdicts d’instance avant-dire-droit
infirmés par les tribunaux en France, pour se laver des crimes graves
commis. Le Peuple du Cameroun veut savoir où est passé son argent et non
pas où habite Mila Assouté.
Comment comprendre d’ailleurs que des criminels notoires, hommes
liges d’un régime cannibale, recherchent l’adresse physique d’un ennemi,
exilé politique? Les actes de justice, pour leur gouverne, se déposent
dans les cabinets d’avocats conseils où le domicile judiciaire du
défendeur dans une procédure est élu.
Revenons-en à ce qui est en jeu :
(i)
Communiquer preuves à l’appui, le montant reçu de SAA par Fouman Akame
Jean et prouver matériellement la traçabilité des 40,5 milliards
encaissés sur son compte parisien,
(ii) Prouver l’indemnisation des 71 victimes du crash du « Nyong ».
(iii)
Prouver le paiement des 10% qui sont dus à ATT, signataire de l’accord
avec le Cameroun. A l’évidence actuelle, ATT/B est bénéficiaire à
BNPPARIBAS Monaco d'une somme d'argent, 1.703.721 $ qui, selon vous,
vient en règlement de ce qui est du à ATT; Or, poursuivis en justice à
Johannesburg pour abus de confiance et escroquerie, le libanais Fouad
Srouji, présenté comme étant le destinataire dudit virement complaisant,
de 1 milliard Cfa, auquel il n’avait aucun droit, a déposé sous serment
écrit, devant un juge sud-africain, n’avoir aucun lien avec le virement
envoyé à ATT/B, exécuté par le Cameroun, et y déclare n’être pas
propriétaire du compte n° 6268080 de la BNPPARIBAS MONACO qui lui est
attribué par Jean Fouman Akame.
L’absence de
preuve de l’existence légale de ATT/B, et le défaut d’un accord formel
conclu entre le Cameroun et ATT/B au même nom, ayant justifié un tel
ordre de virement ainsi que la non production de l’accord transactionnel
secret signé avec SAA, qui aurait servi de fondement au calcul des 10%
pour rendre ce paiement conforme au montant du à ATT, consacrent les
velléités criminelles de leurs auteurs et singulièrement du donneur
d’ordre d'un tel virement : Fouman Akame Jean. la somme virée à ATT/B ne
correspond pas aux 10% du montant reçu du procès arbitral, soit 40,5
milliards = (4,5 milliards Cfa) qui sont dûs à ATT. (ci-jointe [voir pièce jointe 5 à la fin de cette correspondance] copie du serment judiciaire de Fouad Srouji ne reconnaissant pas le destinataire du virement, ni la propriété de ATT/B)
L’indemnité
des victimes du crash s’élève à hauteur de 8 milliards Cfa, le solde
principal ,(28 milliards), appartient à la Camair. Une instruction
judiciaire est un impératif de vérité et de justice. Le cas échéant, son
refus est un aveu du crime par celui qui l’en a mandaté, Paul BIYA
lui-même.
Il est prouvé,qu il ne peut plus être contesté ici, que le procès de Paris et Londres,incluait bien les 2 accidents d’avion. Je dis en plus de cela, que l’ancienne compagnie aérienne nationale est victime de « l’euthanasie » des mêmes crapules, le De cujus précipité dans un ravin, pour s’approprier son pactole. Toutes autres jérémiades des officines du palais, ne répondant pas clairement au sujet central posé, est une ridicule diversion de loubards, pris la main dans le sac.
Marafa Hamidou Yaya |
Une corrélation aux dérives récidivistes d’un péché véniel au Palais présidentiel. Deux proches collaborateurs de Paul BIYA lui imputent une vénalité liquéfiante. Amadou Ali, alors ministre de la défense et moi, avons vécu un dilemme en 1997 : En présence des américains venus négocier leur libération, Edzoa Titus et Thierry Atangana n’eurent aucune circonlocution pour accuser Paul BIYA d’un autre détournement de 120 millions de dollars (70 milliards Cfa) à la présidence : les fonds routiers(COPISUR) destinés à bitumer des routes à l’Est du Cameroun, dans le Sud et le Sud-ouest. Le Pr. EDZOA Titus est lui aussi comme Marafa, ex-secrétaire général de la Présidence de la république. L’omerta brisée par les deux Deus Ex Machina, fait de Paul BIYA, une survivance d’une dérive récidiviste…Je reviendrai en temps opportun, sur les suites des enquêtes que j'avais alors menées à la demande de Amadou Ali, sur instruction de Paul BIYA lui-même qui ne voulait laisser de place au doute au sujet de la disparition au cabinet présidentiel, des 120 millions de dollars de COPISUR dont il était soupçonné.
La hiérarchie de International United Black Fund, Ong
américaine que je dirigeais dans la sous-région, me chargea en 1997, de
recevoir certaines personnalités américaines, connaissances de Thierry
Atangana et Edzoa Titus, et de leur organiser un rendez-vous au plus
haut niveau de l’Etat. Ils envisageaient la libération des 2
prisonniers. En échange, Paul BIYA et Amadou Ali, exigeaient la
restitution à l’Etat, des sommes détournées par
le tandem.
Les
autres motivations taboues, au-delà des questions d’argent ou de
politique qui ont un fondement certes, autour de l’arrestation de Mr.
Edzoa Titus sur lesquelles je reviendrais un jour, en rapport, soit avec
Metamerx, soit avec un médecin cancérologue d’origine Suisse,
relativement à une grande dame trucidée dans l'isolement des arcanes,
feront l’objet d’une autre posture…Il y a d’autres sujets que Amadou Ali
n’ignore pas : le drame humain qu’il m'a avoué le commandement
opérationnel avoir provoqué en son temps, frustré qu’il s’était senti ce
jour là et dégoûté par la haine que les Bulu nourrissaient malgré tout à
son égard en tant que MINDEF alors que sa fidélité au régime à son
avis, était sans faille...
C’est le contenu de cet entretien qui a provoqué en moi le 1er déclic de l'idée de ma démission du RDPC. Je le reprendrai mot par mot le moment venu, lorsque mes aïeux, seuls dépositaires terrestres de ma liberté de conscience, me guideront. Ma bouche est initiée à Santchou, pour gérer le silence lorsqu'il s'impose, mais ne jamais travestir aucune vérité à dire en public lorsqu'on le décide, l’assumer. Je pèse donc les sujets et mes mots quand je parle d’Etat qui doit nous survivre tous. Je médite sur le choix de mon timing à le faire, sur son degré d'urgence qui oscille entre mes mémoires à venir et les velléités politiques opportunistes des circonstances, je marche dans les pas de Dieu...
S’agissant d’Edzoa, le Commissaire divisionnaire, Eko Eko Léopold, actuel Directeur général de la Recherche extérieure, directeur des opérations à l’époque, qui ne peut le nier, assurait l’escorte des deux détenus dans un fourgon sécurisé de couleur blanche jusqu’au lieu du rendez-vous convenu avec les américains : hôpital de la caisse nationale de la prévoyance sociale située à montée Essos
D’autres questions sont à poser à Mr. Jean Fouman Akame pour ne pas s’éloigner de l'argent recouvré à l’étranger : qu’est devenu l’argent qui était reproché au Pr. Edzoa Titsus d’avoir collecté auprès des sociétés d’Etat dans le cadre de la préparation d’un sommet africain à Yaoundé et déposé dans des comptes à l’étranger ? N’est-ce pas le même Fouman Akame qui en était chargé après la mise aux arrêts de ce dernier ?
Un constat: le nom du même Paul BIYA revient deux fois de la bouche de 2 de ses secrétaires généraux, en attendant qu’un 3e parle… On peut y retenir deux choses: soit un récidivisme véniel de Paul BIYA, soit alors une troublante convergence des déclamations pro-domo de ses ex-secrétaires généraux.
Or, de nombreux dossiers de la même veine que ceux-là, sont aux mains de Fouman Akame Jean dont la mission légale est de conseiller le chef de l’Etat en matière judiciaire et non pas de recouvrer de l’argent public. Les procédures de recouvrement de fonds publics avec ses proches parents, pour le compte de la présidence de la république, dans une opacité totale, s’inaugurent en tradition à son bureau présidentiel. Me EYOUM Lydienne, avocate emprisonnée, en sait un bout dans le dossier SAA/Etat/ATT à Paris, en tant que membre de ce panier à crabes, elle s’est fait mordre.
Elle y a hélas trempé ses mains et en paye le prix fort... Fouman
Akame gère en secret les recouvrements des sociétés : SGBC, BCC, Crédit
Agricole, CNPS dans l’affaire Engo… Combien a-t-il récupéré et où est
l’argent ? J’y reviendrai pièces à l’appui, notamment sur le cas Engo
Désiré, relatif à la banque Pandora et la SGBC Cameroun et CAA ou plus
de 200 millions de dollars d’argent publics sont en jeu dans l’opacité.
La procédure contre SAA et TRANSNET.
Je revendique sans partage l’initiative et la paternité de cette procédure. Sans ma dénonciation, ma proposition et mon 1er financement, jamais Transnet et sa filiale SAA n’aurait été amenées devant la Cour arbitrale de Paris et Londres pour restituer à Camair, les 65 millions de dollars payés en 4 ans à SAA, en règlement des factures d’un contrat de maintenance entaché de corruption. Et subsidiairement, de payer, au titre des dédommagements inhérents aux 2 accidents d’avions, le crash du « Nyong » ayant fait 71 morts en 1995 et la chute du réacteur du combi 747 dans le ciel de Paris, les dommages et intérêts querellés. La partie Camerounaise a gagné ce procès et vu toutes ses demandes accordées avec l’assistance de ATT.
Pierre Mila Assouté |
Le mandat délivré à Fouad Srouji est clair et précis. Il est déchargé au bureau de Fouman Akame et ne donne droit à aucun versement d’argent à ce dernier. Ce mandat a été délivré lorsque Fouman Akame Jean m’expliquera, que Marafa Hamidou YAYA, alors SGPR, ne voulait pas me voir dans le comité ad-hoc pour conflit d’intérêt... En réalité, il s'agissait d'incompatibilité d’humeur provoquée par mes révélations..Il devait apporter les témoignages de la période de corruption intervenue entre 1994-1998... Un arrêté présidentiel du secrétaire général créera le comité ad-hoc et m’en exclura effectivement… Marafa passé au Minatd, le RDMC mon parti et nos militants, en paieront d’ailleurs pour leurs frais …(copie du mandat ci-jointe [voir pièce jointe 6 à la fin de cette correspondance])
Faire appel à Srouji Fouad relevait pour moi, du bon sens, pour gagner le procès en faveur de mon pays, mais pour eux, un stratagème pour un nouveau détournement à la fin du procès. Ce qui explique d’ailleurs un peu, une vérité partielle tardive, de Marafa Hamidou YaYa sur un sujet qui date quand même de septembre 2004...
Il est incontesté qu'au terme du procès, un virement de TRANSNET/SAA
de 40,5 milliards, est arrivé sur le compte n°: 000 78 01 39 14 -53
ouvert par Monsieur Fouman Akame Jean, dans les livres de la SGBC 29,
boulevard Haussmann 75009 Paris (France) au nom de : Etat du
Cameroun/Présidence de la République, compte sur lequel Il est le seul
signataire. Les gestionnaires de ce compte sont : Mme Florence Thomine
Et Mr Lionel DEBREUX. (voir pièce à conviction ci-jointe [voir pièce jointe 7 à la fin de la correspondance] )
D’ailleurs un extrait de compte annuel de Transnet/SAA en ma possession atteste et, sauf « erreur » d’écrire comptable, qu’elle a déboursé 105 millions de dollars pour le règlement de ce différend à Paris.
Dans un Etat de droit, je ne méritais donc pas seulement d’être payé
en retour d’investissements, mais aussi d’être décoré par mon pays,
d’avoir ramené 40 milliards inespérés à la Camair et aux victimes du
crash, au lieu d’être vilipendé, menacé de mort…A la vérité, celle qui
révèle toujours le boisseau, je le mérite, contre la justice des forts à
laquelle s’était joint Marafa et à qui je pardonne ce mal. J’attendrais
l’avènement d’un pays juste, mes ayants droit aussi, comme ceux du
crash, la justice sera faite.
L’exigence de clarté.
J’ai
failli être assassiné le 19 novembre 2001, pris dans les feux
d’individus armés, à mon domicile de Yaoundé Mbankolo, victime des
représailles de mes révélations. Le lendemain de la tentative
d’assassinat,
la légion de gendarmerie du centre, dans son bulletin de renseignement quotidien est allé jusqu’à me déclarer « tué par des malfrats inconnus »
Depuis l’an 2005, l’opinion nationale et l’assemblée nationale du
Cameroun sont submergés en vain, par mes dénonciations sur ce sujet.
Tout le monde peut les relire sur les sites Internet et Plusieurs médias
camerounais et internationaux qui en ont fait écho longtemps avant la
4e lettre de Marafa Hamidou Yaya : youtube émission Africa 24 avec le
journaliste Thierry HOT en 2009, de nombreux journaux camerounais en
2006 dont le messager, le journal le front, la nouvelle expression, la
lettre du continent, google...)
Revisitons succinctement la genèse des faits et des documents joints.
Par ma note de novembre 1999, j’informe Paul BIYA de la corruption de
ses proches collaborateurs dans l’affaire SAA. Il met en place un
comité de 4 membres pour instruire et suivre le dossier. Le comité est
composé de : Fouman Akame Jean, conseiller technique/PRC, Mila Assouté
consultant, Egbe Achuo Hilmann chargé de mission/PRC, Christine Ngo
Mandeng, représentant du ministre de la justice (Amadou Ali). Mr Ateba
représentera la Camair plus tard. (Pièce à conviction avec la griffe et
l’accord de Paul BIYA en personne)
Issa Tchiroma Bakary |
Les principaux mis en cause par SAA étaient : Marafa Hamidou Yaya, Issa Tchiroma Bakari, Belibi Joseph, Louis-Paul MOTAZE… On soupçonnait aussi les nouvelles autorités de la Camair : Cyrile Etoundi et Abondo Gérôme.
A) Sur les destinations des détournements de la somme due à ATT, à Camair et aux victimes du crash.
Après s’être vue opposé un refus de se faire payer les 10% convenus dans un contrat avec l’Etat, un procès s’ouvre à Paris en 2006, en réclamation du paiement dû à ATT (et il y est dénoncé également dans mes conclusions, la confiscation des indemnités des victimes du crash…) Je découvrirai alors au tribunal après de vives pressions de mes avocats et du juge, la preuve d’un virement de 1 milliard Cfa(1.703millions$) de la SGBC-Paris, sur instruction de Jean Fouman Akame, vers un compte à numéro intitulé ATT/B n° 6268080 domicilié dans une BNPPARIBAS à Monaco ; parti de la SGB de Paris, l’argent a fait le tour du monde :
SGBC-Paris via SGBC Genève, en passant par Philadelphie et ensuite New-York, pour atterrir à BNPPARIBAS de Monaco et puis revenir à Paris, motif : « paiement de ATT/B, en règlement des sommes dues à AT T » .C’est, ainsi que l’ ordre de virement signé de Fouman Akame Jean est libellé. La banque de Monaco invoque le secret bancaire et refuse de communiquer le nom du bénéficiaire réel dudit transfert... Il me sera indiqué d’adresser les réclamations d’ATT, à Fouad qui nie sous serment judiciaire, n’avoir jamais reçu de virement de l’Etat du Cameroun et n’ être pas propriétaire du compte ATT/B bénéficiaire dudit virement, son action s’étant strictement limité au mandat de ATT qu’il a reçu.(ordre de virement ci-joint)
L’argent de la Camair et celui des victimes du crash quant à lui sera
viré en partie, sur un compte du comité ad-hoc à la BICEC de Yaoundé
Cameroun, l’autre partie, virée aux destinations ci-dessus indiquées à
Neuilly(Paris)... le compte est dit clôturé à la SGBC… Les intervenants
tels que Amadou Ali qui n’était que l’intermédiaire de ma note auprès de
Paul BIYA, Egbe Achuo Hilmann, Ngo Mandeng Christine et autres
recevront en récompense jusqu’à 100 millions Cfa environ chacun. Un des
membres du comité, Egbe Hilmann fût nommé ministre et l’autre Ngo
Mandeng mutée à la SNH…Etoundi Cyrile ancien DG de Camair fût sacrifié,
Tchiroma sera nommé ministre plus tard, Marafa expédié au Minatd où il
massacrera le RDMC mon parti…
B) Sur la corruption des hautes personnalités à l’origine de mon initiative.
La corruption de personnalités de l’Etat s’est produite en deux temps
: au moment de la signature du contrat en 1994 par Issa Tchiroma et
compagnie, il a lui-même reconnu avoir été corrompu,(il a reçu un
véhicule de marque Mercedes et de l’ argent cash 86millions par
virements) avec certains prête-noms… Et en 1998, lorsque de très hauts
dignitaires de l’Etat, selon SAA, ont été corrompues pour bloquer une
opération de résiliation/reconduction du même contrat décidée par Le
secrétariat général de la présidence de la République et les autorités
de la Camair...
C) Un règlement de compte éhonté
Les représailles n’en finissent plus depuis 2001 après l’échec de mon assassinat: ma candidature à la présidentielle ne sera pas validée ni en 2004 ni en 2011, mes recours rejetés par la Cour suprême, parfois à minuit dans l’obscurité en éteignant les lumières, ma voiture cambriolée à Paris, mes bureaux de Yaoundé déménagés par des gendarmes et mes effets jetés à la rue, un de mes appartements à Clichy visité en 2007, ma sœur et ma mère pilonnées toutes les 2, mortes subitement en 2 mois, la tombe profanée...! Ensuite, à la requête de Paul BIYA, un huissier de justice basé à Yaoundé me signifiera en octobre 2011, sans aucun jugement contre ma personne, la saisie conservatoire de ma caution de candidat à la présidentielle d’octobre 2011, d’un montant de 5 millions Cfa dans un procès qui oppose ATT à l’Etat. Paul BIYA en personne, dans sa requête à moi adressée, confond Mila Assouté à ATT, me réclame une dette inexistante, basé sur un jugement révoqué.
En effet il était reproché à ATT et son gérant de propager contre l’Etat, son ambassade et la SGBC dans la presse, le détournement des 105 millions de $ (55 milliards Cfa au taux de change de 2004). Une condamnation d’instance s’en est suivie en 2006 contre ATT. Elle sera totalement révoquée à la Cours d’appel de Paris le 14 Mars 2007 par jugement contradictoire en présence de Fouman Akame et Me Engono son neveu, obtenu par mon avocat Me Jacques MOUTOT, à la 8e chambre civile section B n°RG 06/17671. Pendant 2 ans Fouman et son neveu Engono Essame se payaient des billets d’avion de 1ere classe chaque semaine juste pour venir notifier un acte à ATT en France alors qu’ils avaient constitué 6 avocats à Paris rémunérés pour les mêmes tâches...
L’affaire est restée devant le juge au stade des exceptions par eux soulevées : « l’immunité diplomatique… l’incompétence territoriale du juge français…le domicile de l’Etat du Cameroun est à Yaoundé… ». Jamais ils n’ont voulu aborder la question de fond : celle du détournement des 40,5 milliards et de la dette due à ATT brandissant un virement au profit d’une fiction, ATT/B, qui n’existe nulle part juridiquement. Le juge a renvoyé ATT à mieux se pourvoir, le procès n’est pas clos.
Aveuglés par la haine et la vengeance, l’honneur chevaleresque, ils n’ont pas hésité à confisquer mes 5 millions de caution et laisser croire dans les médias, que j’étais débiteur de l’Etat de la somme de 49.000.000 Cfa sans en préciser l’origine ! J’ai décidé d’abandonner à leur vol incurable, mes 5 millions aussi.
Paul Biya |
Evoquer l’absence de mon domicile privé en France pour justifier la
confiscation de mes 5 millions au Cameroun où ils auraient enfin
retrouvé mon adresse, contredit Elecam qui a rejeté ma candidature à la
présidentielle de 2011 pour « défaut de résidence au Cameroun ». Les Etats voyous n’ont vraiment aucune limite !
Les
discours pathétiques de soutien du président de l’assemblée nationale à
Paul BIYA, du haut de son perchoir sont mis à nus. Paul BIYA et Fouman
Akame Jean, son Conseiller juridique, sont fortement et directement
impliqués dans des rapines financières.
Si Paul BIYA « ne commente pas les commentaires », alors qu’il proclame la vérité d’en haut, je l’écoute ! Une mise aux arrêts des exécutants des décisions et actes dolosifs présidentiels. L’ancien premier ministre Inoni Ephraim, et 2 ex-ministres d’Etat SG/PRC, Marafa Hamidou Yaya et Atangana Mebara, pour ne citer que ceux là, sont sous les verrous, inculpés dans une autre brumeuse affaire d’avion présidentiel dont l’achat contournait les procédures légales d'acquisition, sur instructions de Paul BIYA, « Chef de l’Etat », ce qui n’est pas forcément à la gloire et l'innocence de la glaive de César le tricheur impitoyable qui crie ô voleurs !
A quel titre, Monsieur Fouman Akame Jean, sinon celui d'une délinquance à col blanc, ouvre t-il des comptes bancaires à l’étranger au nom de l’Etat du Cameroun, à l’insu du ministre des finances, avec sa seule signature, y reçoit des milliards de fonds publics, les gère à sa guise ?
Une preuve d’escroquerie de Fouman Akame Jean: Il est aujourd’hui prétendu que sortant de nulle part, je revendiquerais pour mon ATT qui serait subitement devenue une pâle copie d’une autre ATT libanaise, un paiement indu… Or, Fouman Akame Jean, oublie que la première mission du comité ad-hoc en Afrique du Sud pour authentifier les documents soumis à Paul BIYA, fut entièrement financée par mes fonds, ceux de mon ATT, et ceux empruntés à mon fils aîné, Mila Esselem Calvin, alors étudiant à Paris : virement n° 1280514569, de 26.000FF en 1999, au profit de Fouman Akame Jean, à son compte n° 00051036539-59, agence 03461, de la SGBC avenue Waggram à Paris. Egbe Hilmann chargé de mission à la présidence déchargea en bonne et due forme en complément, 7.200.000 Cfa auprès de ma caissière de Yaoundé. 10 millions Cfa en tout. Le contestent-ils?
Aurais-je été remboursé de ces sommes ? D’où vient-il qu’une fois l’argent encaissé auprès de SAA, je sois devenu "un serpent d’opposant, un Mila sans domicile fixe, sortant de nulle part avec une société ATT inconnue dans cette affaire", vilipendé devant les juges et dans la presse nationale et internationale? Dites-moi ce que c’est, si ce n’est de l’escroquerie de Fouman Akame qui s'est enrichi sans cause de sa main gauche de mon argent, le miroir du contrat avec ATT à sa main droite? (lire le relevé de compte bancaire de Fouman akame Jean ci-joint) insulter un homme avec son argent escroqué dans vos poches, Mr. Le magistrat hors échelle, rasez les murs ! « L’épervier » vous le voyez, est au palais de Paul BIYA. Il doit prendre ses proies, toutes ses proies, sinon l’aigle descendra inéluctablement un jour s’en occuper. Les petites corruptions, celles des griots de fortune sans relief, sans avoir à les balayer du revers de la main, ne doivent pas servir d’écran de fumée au vrai sujet : un détournement massif au cabinet de Paul BIYA.M’fon Sanzo,
Pr. Pierre Mila Assouté
Président du CNL