A propos des 5 millions de Francs exigés pour valider la candidature: Le chairman, Ni John Fru Ndi qualifie de blague ces propos
Douala, 19 Juillet 2013
© Donat SUFFO | Le Messager
«Vous êtes du Messager n'est pas?» Demande John Fru Ndi au correspondant permanent du quotidien de la rue des écoles dans la région du Nord-Ouest. Ce dernier acquiesce.
«Vous êtes du Messager n'est-ce pas?» Demande John Fru Ndi au correspondant permanent du quotidien de la rue des écoles dans la région du Nord-Ouest. Ce dernier acquiesce. Et le Chairman du Sdf de poursuivre «Donc on ne peut plus blaguer avec vous les journalistes? Quel est ce genre de journalisme que vous faites ainsi?» Le leader du principal parti de l'opposition apostrophe par ces propos le correspondant du journal Le Messager dans le Nord-Ouest.
C’était vendredi dernier 12 juillet, en présence des confrères et consœurs. Le reporter de votre journal était venu aux nouvelles à la résidence du leader du Sdf où la commission d'investiture épluchait les piles de dossier des candidats à la candidature pour le double scrutin du 30 septembre. Ces propos du leader du Sdf ne sont pas fotuits. Il est remonté contre la Une et l'article en page 3 paru dans journal la veille, jeudi 11 (édition N° 3877) sous le titre «Législatives- Fru Ndi exige 5 millions pour valider la candidature des députés: sa manière de sanctionner les corrupteurs des délégués lors des primaires». Le leader charismatique du parti de la balance a été toujours sérieux de telle sorte que lorsqu'il blague, il est difficile de faire un distinguo entre ses plaisanteries et la pertinence de ses propos. Le fait que le Chairman ait tenu ces propos au Nec j'ai été suffisamment informé de ce que l'argent a circulé lors des primaires. Cela implique que les pauvres ne peuvent pas être conseillers municipaux ou députés. C'est regrettable. Je vais exiger cinq millions à certains de ces députés pour valider leur candidature» et réitéré aux journalistes, a donné l'impression que le leader du Sdf était sérieux. C'est à ce titre que votre journal a récupéré ce morceau choisi. Toujours est-il que John Fru Ndi reconnaît que certains candidats à la candidature ont acheté la conscience des délégués lors des primaires. Et il n'a pas mâché ses mots pour réprimander ces actes de corruption.
© Donat SUFFO | Le Messager
«Vous êtes du Messager n'est pas?» Demande John Fru Ndi au correspondant permanent du quotidien de la rue des écoles dans la région du Nord-Ouest. Ce dernier acquiesce.
«Vous êtes du Messager n'est-ce pas?» Demande John Fru Ndi au correspondant permanent du quotidien de la rue des écoles dans la région du Nord-Ouest. Ce dernier acquiesce. Et le Chairman du Sdf de poursuivre «Donc on ne peut plus blaguer avec vous les journalistes? Quel est ce genre de journalisme que vous faites ainsi?» Le leader du principal parti de l'opposition apostrophe par ces propos le correspondant du journal Le Messager dans le Nord-Ouest.
C’était vendredi dernier 12 juillet, en présence des confrères et consœurs. Le reporter de votre journal était venu aux nouvelles à la résidence du leader du Sdf où la commission d'investiture épluchait les piles de dossier des candidats à la candidature pour le double scrutin du 30 septembre. Ces propos du leader du Sdf ne sont pas fotuits. Il est remonté contre la Une et l'article en page 3 paru dans journal la veille, jeudi 11 (édition N° 3877) sous le titre «Législatives- Fru Ndi exige 5 millions pour valider la candidature des députés: sa manière de sanctionner les corrupteurs des délégués lors des primaires». Le leader charismatique du parti de la balance a été toujours sérieux de telle sorte que lorsqu'il blague, il est difficile de faire un distinguo entre ses plaisanteries et la pertinence de ses propos. Le fait que le Chairman ait tenu ces propos au Nec j'ai été suffisamment informé de ce que l'argent a circulé lors des primaires. Cela implique que les pauvres ne peuvent pas être conseillers municipaux ou députés. C'est regrettable. Je vais exiger cinq millions à certains de ces députés pour valider leur candidature» et réitéré aux journalistes, a donné l'impression que le leader du Sdf était sérieux. C'est à ce titre que votre journal a récupéré ce morceau choisi. Toujours est-il que John Fru Ndi reconnaît que certains candidats à la candidature ont acheté la conscience des délégués lors des primaires. Et il n'a pas mâché ses mots pour réprimander ces actes de corruption.