Profils: Peter Mafany Musongè annoncé à la tête du Conseil Constitutionnel
Yaoundé, 22 Novembre 2012
© Le Courrier - 22/11/2012 | Correspondance
La dernière entrevue entre le président français François Hollande et son homologue camerounais Paul Biya lors du récent sommet de la francophonie tenu à Kinshasa au Congo démocratique, avait pour point d'orgue la mise en place des institutions prévues par la constitution de 1996.
La dernière entrevue entre le président français François Hollande et son homologue camerounais Paul Biya lors du récent sommet de la francophonie tenu à Kinshasa au Congo démocratique, avait pour point d'orgue la mise en place des institutions prévues par la constitution de 1996. De même, le président américain réélu Barack Hussein Obama, aurait conditionné une éventuelle rencontre avec le chef de l'Etat camerounais au même principe. Parmi les institutions prévues et qui tardent à sortir des fonts baptismaux, figure le Conseil Constitutionnel, cette instance chargée de proclamer les résultats de l’élection présidentielle. 16 ans après donc, les choses n'ont pas bougé d'un iota, d'où la quasi ire de la communauté dite international. C'est donc de bon ton et conscient des enjeux de la coopération bilatérale et multilatérale que l'Exécutif camerounais a introduit au cours de cette session parlementaire (Une session budgétaire pourtant)un projet de loi visant à mettre sur pied cet important organe dans ta marche de la Nation. Ceci pourrait prendre corps à la fin de la session.
Le nom de Peter Mafany Musonge est évoqué dans les milieux biens serrés pour prendre la tête du Conseil tant attendu. Le Courrier a appris que le Grand Chancelier des Ordres nationaux rallierait de nombreux atouts pour en être le tout premier président. L'ancien Premier ministre serait donc dans les bonnes grâces du chef de l'Etat puisqu'on dit en petit comités que ce poste reviendrait à un ressortissant de la paille anglophone du pays. L'ancien Directeur général de la Cameroon developpement corporation (Cdc) aurait un avantage sur le membre du bureau politique du Rdpc John Niba Ngu. En tout cas les camerounais dans leur ensemble attendent vivement la mise en fonction de cette prestigieuse institution, où son précédent occupe une place prépondérante dans l'appareil étatique, et même sur le plan protocolaire.
© Le Courrier - 22/11/2012 | Correspondance
La dernière entrevue entre le président français François Hollande et son homologue camerounais Paul Biya lors du récent sommet de la francophonie tenu à Kinshasa au Congo démocratique, avait pour point d'orgue la mise en place des institutions prévues par la constitution de 1996.
La dernière entrevue entre le président français François Hollande et son homologue camerounais Paul Biya lors du récent sommet de la francophonie tenu à Kinshasa au Congo démocratique, avait pour point d'orgue la mise en place des institutions prévues par la constitution de 1996. De même, le président américain réélu Barack Hussein Obama, aurait conditionné une éventuelle rencontre avec le chef de l'Etat camerounais au même principe. Parmi les institutions prévues et qui tardent à sortir des fonts baptismaux, figure le Conseil Constitutionnel, cette instance chargée de proclamer les résultats de l’élection présidentielle. 16 ans après donc, les choses n'ont pas bougé d'un iota, d'où la quasi ire de la communauté dite international. C'est donc de bon ton et conscient des enjeux de la coopération bilatérale et multilatérale que l'Exécutif camerounais a introduit au cours de cette session parlementaire (Une session budgétaire pourtant)un projet de loi visant à mettre sur pied cet important organe dans ta marche de la Nation. Ceci pourrait prendre corps à la fin de la session.
Le nom de Peter Mafany Musonge est évoqué dans les milieux biens serrés pour prendre la tête du Conseil tant attendu. Le Courrier a appris que le Grand Chancelier des Ordres nationaux rallierait de nombreux atouts pour en être le tout premier président. L'ancien Premier ministre serait donc dans les bonnes grâces du chef de l'Etat puisqu'on dit en petit comités que ce poste reviendrait à un ressortissant de la paille anglophone du pays. L'ancien Directeur général de la Cameroon developpement corporation (Cdc) aurait un avantage sur le membre du bureau politique du Rdpc John Niba Ngu. En tout cas les camerounais dans leur ensemble attendent vivement la mise en fonction de cette prestigieuse institution, où son précédent occupe une place prépondérante dans l'appareil étatique, et même sur le plan protocolaire.