MR. GEORGES BAONGLA, LE FILS CACHÉ DE PAUL BIYA PARLE

Source: Mur de Patrick Mballa/Facebook
MR. GEORGES BAONGLA, LE FILS CACHÉ DE PAUL BIYA PARLE

Celui qui affirme et confirme sa parenté avec le Chef de l’Etat Paul Biya y mentionne quelques hautes personnalités qui selon lui ne remplissent pas leur mission : Issa Tchiroma Bakary, Inoni Ephraim ou encore Amadou Vamoulké n’échapperont à sa casserole.

- Georges Gilbert Baongla, il faut reconnaitre que vous êtes très médiatisé ces derniers temps ?

- Je vous remercie déjà pour l’opportunité que vous m’offrez pour clarifier certaines choses ; j’avoue que j’ai beaucoup de bénédiction tous ces jours d’être médiatisé à 800%, bien qu’au moment où j’avais besoin des médias il semblerait qu’ils obéissaient à une certaine  règle dictée par le maître des lieux Issa Tchiroma (Ministre de la communication, NDLR). Seulement, moi j’obéis à une certaine règle aussi, qui est de dire la vérité quand il le faut et quand j’en ai l’occasion. Permettez-moi tout d’abord de vous brosser mon CV. Je suis 3 fois doctorant, c'est-à-dire en option politique, en option sociologie et en option communication sans compter que je me suis également formé dans d’autres couloirs. Il est aussi important de rappeler que ma vie professionnelle est intimement liée à mon patriotisme. Je suis rentré dans mon pays pour apporter ma contribution à son évolution et non pour me faire de l’argent.

- Ceci dit, à présent corroborez-vous être le fils du Président Paul Biya ?

- Je suis le fils aîné et biologique de Mr Paul Biya, je ne sais pas de quel Président vous me parlez. Moi je vous parle de mon père biologique et non de celui qui dirige la nation…

- Mais il est tout de même difficile de dissocier le parent du Président vu que c’est la même personne ?

- Vous savez, pour ma part être le fils d’un président ne saurait être le soluble d’une publicité mais c’est avant tout travailler dur, servir d’exemple et c’est ce que j’ai toujours fait de par mes cursus académiques et mes parcours professionnels. Pour le reste, il y a des témoins, vivants comme morts, qui savent et vous confirmeront que je suis bel et bien le fils de Mr Paul Biya. D’ailleurs, lui-même ne vous a jamais dit le contraire.

- Mais pourquoi avoir gardé longtemps ce secret ? 
Parlez-nous aussi de votre mère et de ses liens avec la présidence ?

- Durant ces années j’ai préféré rester calme parce que dans ma discipline paternelle, c’est la confidentialité. Parlant de ma feue mère, elle s’appelait Dame Baongla Elise et était sage femme, très à côté de feue Jeanne Irène Biya et de son petit-frère Ava Ava Emmanuel. Du ventre de ma mère nous étions deux, ma sœur Blanche Léontine Baongla et moi-même. Je précise que ma sœur est morte des suites d’une très longue maladie qui a duré 7 ans.

- Que reprochez-vous au juste aux journalistes, parce que plus haut vous disiez qu’ils vous ont tourné le dos à un moment donné ?

- Je pense que le journalisme est un métier noble qu’il faut respecter. Aujourd’hui je pense avoir fait mon temps et il faut laisser la place aux jeunes… je suis juste très offusqué du mépris à mon endroit venant du Ministre Tchiroma qui n’a pas mon cursus académique je le précise ; donc qui ne saurait me reprendre sur mon engagement professionnel  en ce qui concerne la communication. C’est vrai qu’à un moment le Ministre de la communication avait un besoin S.O.S emploi et on a dû donner le poste à « ce » Monsieur que je respecte malgré tout. Mais je vais vous donner un scoop ; c’est l’histoire de la gestion du produit RASCOM, une filiale qui finance à hauteur de 550 à 650 Millions par an. Ça fait combien de temps que Mr Tchiroma est là ? Mais on n’a jamais rien vu… où va cet argent ? Je n’irai pas jusqu’à parler de l’histoire de 143 Milliards proposés à Mr Paul Biya en tant que Président en pleine crise, qui devrait servir à refaire une CRTV… là encore, c’est vrai que quelque part la il y a une paternité semblable, quand vous voyez à la tête de la télévision nationale un « Tchadien »… ce qui est peut-être normal vu la cohabitation frontalière…, mais j’espère qu’aujourd’hui vous êtes tous témoins que Mr Vamoulké n’aime pas beaucoup la CRTV. Ils ont voulu nous faire croire que le prix de la construction de la CRTV n’est pas ce que nous savions déjà ; ils ont fait un dernier voyage que j’ai appelé « voyage des petits amis », pour justifier une histoire de 143 milliards plutôt.  Vous imaginez que dans ce voyage ils aient un Charles Ndongo pour son expertise ou encore certains hauts responsables du Ministère de la communication ? Beh…, on n’a que nos yeux pour pleurer.

- Ne serait-il pas un souhait implicite d’être le Ministre de la communication en dénonçant Mr Tchiroma ?

- Pour vous dire la verité, non ! On me l’avait même proposé à l’époque de Kontchou Komeni ; certains voyant mes dénonciations et leur véracité sont allés voir mon père (Paul Biya, NDLR) pour lui dire « Ton fils peut faire mieux… », Mais j’ai estimé à l’époque ne pas être prêt vu que j’étais très lié à mes activités.
Autre point fort, vous affirmez être prêt aujourd’hui à assumer les hautes fonctions de l’Etat…
Oui et je vais me présenter aux prochaines présidentielles. A partir du moment où mon père dépose son sac et me dit démarre, je décolle. Donc si jamais il m’autorise à me présenter et me donne sa bénédiction, je le ferai car je vous assure tout de suite, j’ai l’expertise pour assumer cette responsabilité.

- Pourquoi ne pas commencer par la Marie ou la Députation par exemple ?

- Parce que j’estime qu’être Président de la République, c’est mon niveau aujourd’hui.

- Mais Mr Baongla, pour un potentiel candidat à la présidence quel est le nom de votre parti politique ou tout du moins, votre plan politique est basée sur quoi ?
Je ne dévoilerai rien ici, car c’est une stratégie. Mais que les gens ne se trompent pas, je vais me présenter  et c’est ce qui leurs fait peur, que je sois détenteur de tant d’informations en plus d’être le fils du président.

- Vous parlez d’informations comme celle sur le Ministre de la Communication ?

- Non, pas seulement lui. S’il fallait établir une liste il serait le 99e sur 100. Le Ministre de la communication est un peu ce « mal » dont la société a quand même besoin pour avancer, mais pour moi il reste un Guignol politique. Un Monsieur qui vous dit « J’ai Compris… », Mais dites-moi, qu’est ce qu’il a compris ? vis-à-vis d’un homme politique dont il disait lui-même qu’il fallait couper la tête… vous savez, sur 10 Ministres interpellés, 9 le sont grâce à mes informations. L’exemple palpable est Mr Inoni Ephraïm (ancien Premier Ministre incarcéré depuis quelques mois dans l’affaire Albatros, NDLR) qui a toujours cherché à contrôler la communication autour du chef de l’Etat en plus de perturber les finances publiques.  Quand je dis qu’il a toujours voulu contrôler la gestion de la communication autour du président, il n’était pas tout seul, il pouvait compter sur Georges Ewané (journaliste à la présidence), sa compagne avec qui il a deux enfants Enanga Kebi (Présidente d’images de la 1ere Dame), le celcom du Premier Ministre… c’est pareil pour l’ancien Ministre Marafa devenu rédacteur en chef à la prison centrale, peut-être qu’il va ouvrir un journal là-bas, en tout cas nous on va continuer à le lire tant qu’il écrira

- Mais qu’est-ce qui vous donne autant d’assurance pour oser briguer le poste de président de la république ?

- J’ai du soutien à l’extérieur ; le tout nouveau président français François Hollande est un grand-frère et c’est la même école…, si vous avez les oreilles comprenez comme ça. J’ai le trésor de Guerre ; l’argent je l’ai déjà, donc  je ne toucherai pas un centime des caisses de l’Etat pour faire mon élection. « Le Démenti » est devenu un très grand groupe avec le temps. Nous nous sommes associés avec une entité Sud Africaine et plusieurs autres dans le monde. Je suis resté calme tout ce temps parce que je savais ce que je faisais, aujourd’hui je suis dans le financement des projets et je pense que nous  allons atteindre notre objectif. Je veux aussi ajouter ceci, on ne devient pas président parce qu’on a vraiment le profil. Et concernant l’opposition d’en face je ne vois personne.

- Mais le fait que vous ne soyez inquiété jusqu’ici ne viendrait-il  pas de votre parenté avec le chef de l’Etat ?

- Beh écoutez, il joue son rôle de père et moi celui de fils. Je ne vous cache pas que toutes les fois où les gens ont voulu me toucher, il a toujours dit : « Non…, vous n’avez pas ce droit ». Donc, c’est clair que je suis protégé par mon père, mais par Dieu aussi. Un autre scoop pour vous cher journaliste, vous avez devant-vous celui qui a mis à la disposition du Cameroun 3500 milliards de franc qui serviront au financement des projets ; c’est écrit noir sur blanc.

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MR. GEORGES BAONGLA, LE FILS CACHÉ DE PAUL BIYA PARLE

Celui qui affirme et confirme sa parenté avec le Chef de l’Etat Paul Biya y mentionne quelques hautes personnalités qui selon lui ne remplissent pas leur mission : Issa Tchiroma Bakary, Inoni Ephraim ou encore Amadou Vamoulké n’échapperont à sa casserole.

- Georges Gilbert Baongla, il faut reconnaitre que vous êtes très médiatisé ces derniers temps ?

- Je vous remercie déjà pour l’opportunité que vous m’offrez pour clarifier certaines choses ; j’avoue que j’ai beaucoup de bénédiction tous ces jours d’être médiatisé à 800%, bien qu’au moment où j’avais besoin des médias il semblerait qu’ils obéissaient à une certaine règle dictée par le maître des lieux Issa Tchiroma (Ministre de la communication, NDLR). Seulement, moi j’obéis à une certaine règle aussi, qui est de dire la vérité quand il le faut et quand j’en ai l’occasion. Permettez-moi tout d’abord de vous brosser mon CV. Je suis 3 fois doctorant, c'est-à-dire en option politique, en option sociologie et en option communication sans compter que je me suis également formé dans d’autres couloirs. Il est aussi important de rappeler que ma vie professionnelle est intimement liée à mon patriotisme. Je suis rentré dans mon pays pour apporter ma contribution à son évolution et non pour me faire de l’argent.

- Ceci dit, à présent corroborez-vous être le fils du Président Paul Biya ?

- Je suis le fils aîné et biologique de Mr Paul Biya, je ne sais pas de quel Président vous me parlez. Moi je vous parle de mon père biologique et non de celui qui dirige la nation…

- Mais il est tout de même difficile de dissocier le parent du Président vu que c’est la même personne ?

- Vous savez, pour ma part être le fils d’un président ne saurait être le soluble d’une publicité mais c’est avant tout travailler dur, servir d’exemple et c’est ce que j’ai toujours fait de par mes cursus académiques et mes parcours professionnels. Pour le reste, il y a des témoins, vivants comme morts, qui savent et vous confirmeront que je suis bel et bien le fils de Mr Paul Biya. D’ailleurs, lui-même ne vous a jamais dit le contraire.

- Mais pourquoi avoir gardé longtemps ce secret ?
Parlez-nous aussi de votre mère et de ses liens avec la présidence ?

- Durant ces années j’ai préféré rester calme parce que dans ma discipline paternelle, c’est la confidentialité. Parlant de ma feue mère, elle s’appelait Dame Baongla Elise et était sage femme, très à côté de feue Jeanne Irène Biya et de son petit-frère Ava Ava Emmanuel. Du ventre de ma mère nous étions deux, ma sœur Blanche Léontine Baongla et moi-même. Je précise que ma sœur est morte des suites d’une très longue maladie qui a duré 7 ans.

- Que reprochez-vous au juste aux journalistes, parce que plus haut vous disiez qu’ils vous ont tourné le dos à un moment donné ?

- Je pense que le journalisme est un métier noble qu’il faut respecter. Aujourd’hui je pense avoir fait mon temps et il faut laisser la place aux jeunes… je suis juste très offusqué du mépris à mon endroit venant du Ministre Tchiroma qui n’a pas mon cursus académique je le précise ; donc qui ne saurait me reprendre sur mon engagement professionnel en ce qui concerne la communication. C’est vrai qu’à un moment le Ministre de la communication avait un besoin S.O.S emploi et on a dû donner le poste à « ce » Monsieur que je respecte malgré tout. Mais je vais vous donner un scoop ; c’est l’histoire de la gestion du produit RASCOM, une filiale qui finance à hauteur de 550 à 650 Millions par an. Ça fait combien de temps que Mr Tchiroma est là ? Mais on n’a jamais rien vu… où va cet argent ? Je n’irai pas jusqu’à parler de l’histoire de 143 Milliards proposés à Mr Paul Biya en tant que Président en pleine crise, qui devrait servir à refaire une CRTV… là encore, c’est vrai que quelque part la il y a une paternité semblable, quand vous voyez à la tête de la télévision nationale un « Tchadien »… ce qui est peut-être normal vu la cohabitation frontalière…, mais j’espère qu’aujourd’hui vous êtes tous témoins que Mr Vamoulké n’aime pas beaucoup la CRTV. Ils ont voulu nous faire croire que le prix de la construction de la CRTV n’est pas ce que nous savions déjà ; ils ont fait un dernier voyage que j’ai appelé « voyage des petits amis », pour justifier une histoire de 143 milliards plutôt. Vous imaginez que dans ce voyage ils aient un Charles Ndongo pour son expertise ou encore certains hauts responsables du Ministère de la communication ? Beh…, on n’a que nos yeux pour pleurer.

- Ne serait-il pas un souhait implicite d’être le Ministre de la communication en dénonçant Mr Tchiroma ?

- Pour vous dire la verité, non ! On me l’avait même proposé à l’époque de Kontchou Komeni ; certains voyant mes dénonciations et leur véracité sont allés voir mon père (Paul Biya, NDLR) pour lui dire « Ton fils peut faire mieux… », Mais j’ai estimé à l’époque ne pas être prêt vu que j’étais très lié à mes activités.
Autre point fort, vous affirmez être prêt aujourd’hui à assumer les hautes fonctions de l’Etat…
Oui et je vais me présenter aux prochaines présidentielles. A partir du moment où mon père dépose son sac et me dit démarre, je décolle. Donc si jamais il m’autorise à me présenter et me donne sa bénédiction, je le ferai car je vous assure tout de suite, j’ai l’expertise pour assumer cette responsabilité.

- Pourquoi ne pas commencer par la Marie ou la Députation par exemple ?

- Parce que j’estime qu’être Président de la République, c’est mon niveau aujourd’hui.

- Mais Mr Baongla, pour un potentiel candidat à la présidence quel est le nom de votre parti politique ou tout du moins, votre plan politique est basée sur quoi ?
Je ne dévoilerai rien ici, car c’est une stratégie. Mais que les gens ne se trompent pas, je vais me présenter et c’est ce qui leurs fait peur, que je sois détenteur de tant d’informations en plus d’être le fils du président.

- Vous parlez d’informations comme celle sur le Ministre de la Communication ?

- Non, pas seulement lui. S’il fallait établir une liste il serait le 99e sur 100. Le Ministre de la communication est un peu ce « mal » dont la société a quand même besoin pour avancer, mais pour moi il reste un Guignol politique. Un Monsieur qui vous dit « J’ai Compris… », Mais dites-moi, qu’est ce qu’il a compris ? vis-à-vis d’un homme politique dont il disait lui-même qu’il fallait couper la tête… vous savez, sur 10 Ministres interpellés, 9 le sont grâce à mes informations. L’exemple palpable est Mr Inoni Ephraïm (ancien Premier Ministre incarcéré depuis quelques mois dans l’affaire Albatros, NDLR) qui a toujours cherché à contrôler la communication autour du chef de l’Etat en plus de perturber les finances publiques. Quand je dis qu’il a toujours voulu contrôler la gestion de la communication autour du président, il n’était pas tout seul, il pouvait compter sur Georges Ewané (journaliste à la présidence), sa compagne avec qui il a deux enfants Enanga Kebi (Présidente d’images de la 1ere Dame), le celcom du Premier Ministre… c’est pareil pour l’ancien Ministre Marafa devenu rédacteur en chef à la prison centrale, peut-être qu’il va ouvrir un journal là-bas, en tout cas nous on va continuer à le lire tant qu’il écrira

- Mais qu’est-ce qui vous donne autant d’assurance pour oser briguer le poste de président de la république ?

- J’ai du soutien à l’extérieur ; le tout nouveau président français François Hollande est un grand-frère et c’est la même école…, si vous avez les oreilles comprenez comme ça. J’ai le trésor de Guerre ; l’argent je l’ai déjà, donc je ne toucherai pas un centime des caisses de l’Etat pour faire mon élection. « Le Démenti » est devenu un très grand groupe avec le temps. Nous nous sommes associés avec une entité Sud Africaine et plusieurs autres dans le monde. Je suis resté calme tout ce temps parce que je savais ce que je faisais, aujourd’hui je suis dans le financement des projets et je pense que nous allons atteindre notre objectif. Je veux aussi ajouter ceci, on ne devient pas président parce qu’on a vraiment le profil. Et concernant l’opposition d’en face je ne vois personne.

- Mais le fait que vous ne soyez inquiété jusqu’ici ne viendrait-il pas de votre parenté avec le chef de l’Etat ?

- Beh écoutez, il joue son rôle de père et moi celui de fils. Je ne vous cache pas que toutes les fois où les gens ont voulu me toucher, il a toujours dit : « Non…, vous n’avez pas ce droit ». Donc, c’est clair que je suis protégé par mon père, mais par Dieu aussi. Un autre scoop pour vous cher journaliste, vous avez devant-vous celui qui a mis à la disposition du Cameroun 3500 milliards de franc qui serviront au financement des projets ; c’est écrit noir sur blanc.

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23/02/2014
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