Lions indomptables - Aurélien Chedjou: «Samuel Eto’o n’est pas mon ami»
DOUALA - 14 NOV. 2012
© C. T. | Le Messager
N’étant pas de la même génération que l’attaquant de l’Anzhi Makachkala, le défenseur de Lille a confiée n’avoir aucune relation privilégiée. «Avec Samuel, j’ai une relation de coéquipier. Je fais ma petite vie dans le groupe. On n’est pas de la même génération. Ce n’est pas un ami», a fait savoir Chedjou, avant de tempérer toutefois: «Je le considère plutôt comme un grand frère.»
Dans les colonnes de L’Équipe la semaine dernière, le défenseur central des Lions indomptables s'était livré à une profonde autocritique, évoquant ses regrets concernant le dernier mercato. Sur le plan personnel, le Camerounais pense en effet qu’il est armé pour évoluer à ce niveau de compétition. « Ma courbe de progression est ascendante. Je ne vais pas dire que je n’ai plus rien à prouver mais, sans avoir la tête qui gonfle, j’ai du crédit aujourd’hui en France. J’ai montré que j’avais au moins le niveau de la L1, peut-être plus », a-t-il indiqué, expliquant qu’il avait gommé certains défauts de son jeu. «Mon problème, c’était la concentration. J’en ai parlé avec mon entourage. C’est ce qui ressortait à chaque fois. Même un contrôle qui paraît anodin, ça peut conduire à un but ou à une action dangereuse», a-t-il analysé. Peut-être que ses progrès lui permettront de bientôt rejoindre un club plus huppé que le Losc, lui qui a très fortement songé à un départ cet été, sans être exaucé.
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Invité
sur le plateau de Canal Football Club dimanche dernier et assis à la
même place que Samuel Eto’o quelques semaines plutôt, Aurélien Chedjou
est revenu sur la situation au sein de l’équipe nationale du Cameroun et
plus particulièrement sa relation avec Samuel Eto’o.
N’étant pas de la même génération que l’attaquant de l’Anzhi Makachkala, le défenseur de Lille a confiée n’avoir aucune relation privilégiée. «Avec Samuel, j’ai une relation de coéquipier. Je fais ma petite vie dans le groupe. On n’est pas de la même génération. Ce n’est pas un ami», a fait savoir Chedjou, avant de tempérer toutefois: «Je le considère plutôt comme un grand frère.»
Dans les colonnes de L’Équipe la semaine dernière, le défenseur central des Lions indomptables s'était livré à une profonde autocritique, évoquant ses regrets concernant le dernier mercato. Sur le plan personnel, le Camerounais pense en effet qu’il est armé pour évoluer à ce niveau de compétition. « Ma courbe de progression est ascendante. Je ne vais pas dire que je n’ai plus rien à prouver mais, sans avoir la tête qui gonfle, j’ai du crédit aujourd’hui en France. J’ai montré que j’avais au moins le niveau de la L1, peut-être plus », a-t-il indiqué, expliquant qu’il avait gommé certains défauts de son jeu. «Mon problème, c’était la concentration. J’en ai parlé avec mon entourage. C’est ce qui ressortait à chaque fois. Même un contrôle qui paraît anodin, ça peut conduire à un but ou à une action dangereuse», a-t-il analysé. Peut-être que ses progrès lui permettront de bientôt rejoindre un club plus huppé que le Losc, lui qui a très fortement songé à un départ cet été, sans être exaucé.