LE Pr. CHIEF PIERRE MILA ASSOUTE PARLE : IL REPOND AU REGIME DE PAUL BIYA

LE Pr. CHIEF PIERRE MILA ASSOUTE PARLE : IL REPOND AU REGIME DE PAUL BIYA

Cameroun - LE  Pr. CHIEF PIERRE MILA ASSOUTE  PARLE : IL REPOND AU REGIME DE PAUL BIYAParlons-en  dans un procès public : voici pourquoi, pour moi, Mr. Fouman Akame Jean, est un commis hors échelle des crimes financiers, un escroc à col blanc. Les pièces à conviction.

LES 40.5 MILLIARDS DE SAA/CAMAIR  DETOURNES DE LEUR OBJET SONT UN ICEBERG.

La vérité est luminescence. Elle sublime toujours le boisseau ! Ils sont paniqués, commettent dans la "presse" des articles successifs, mensongers et contradictoires, sans dire un traître mot sur l'essentiel: l’argent reçu de SAA…

Mila Assouté ne fait  l’objet d’aucune poursuite judiciaire, ni condamnation, devant aucun tribunal au monde, comme l’a prétendu  un journal véreux, au secours du dol présidentiel. En revanche, c’est bien ATT,  société anonyme à responsabilité limité, de droit camerounais, de Mila Assouté, qui est en procès  avec l’Etat du Cameroun, dans l’affaire SAA. Il sera prouvé ici, pièces à conviction à l’appui, que Mila Assouté et incontestablement l’unique ATT, et pas une autre, ne sortent de nulle part pour réclamer au fameux comité ad-hoc ce qui n’est pas du.

« Owona François » et ses commanditaires, confus, créent  l’amalgame entre ma personne et ATT, ils dérivent du sujet dont ils sont accusés : les 40 milliards non reversés aux ayants droit. Mais en vérité, la fébrilité a gagné quelques  kleptomanes  de la présidence du Cameroun, ils  agitent la presse de caniveau, usent des contre-vérités en espérant masquer leurs crimes, détourner l’attention, changer de sujet… Voilà l’objectif  de ce « journalisme » schizophrénique qui veut servir de béquille à un régime agonisant, à de voleurs notoires en conflits contre les évidences.

ATT ne souffre d’aucune confusion ni homonymie : lire ci-joints, quelques feuilles des  rapports  du comité ad-hoc qui parlent d’eux-mêmes, ainsi que  les actes notariés  d’acquisition de ATT, les preuves  de son paiement à Fouad  Srouji en 1997 par devant notaire et autres pièces à conviction.

La ligne de défense du palais  est ridicule.
Certains renégats  propagent que l’argent spolié au détriment de la Camair et des victimes du crash, est versé dans les caisses de l’Etat, d’autres arguent que le procès n'a jamais réclamé les indemnités du crash du »Nyong » à la Cour arbitrale…

Un déni hélas !
Le transfert de SAA est arrivé à la SGBC  au 29, BD Haussmann. Il comprend bien l'indemnisation des 2 accidents d’avion. L’argent reçu a pris une destination sulfureuse, viré  dans un autre  compte bancaire sulfureux à Neuilly-Sur-Seine, comme celui du Boulevard Haussman de Fouman Akame Jean, au nom d’une société d’Etat sur laquelle, Paul BIYA, a  la haute main; l’autre partie transféré à la BICEC Yaoundé, sur un compte géré comme ceux de la SGBC Paris, par le même Jean  Fouman Akame. Une autre part a servi à des acquisitions de biens en Europe et au versement des récompenses à Christine Pauline Ngo Mandeng, EGBE ACHUO Hilmann, AMADOU Ali et autres bien connus...

Que certains politiciens de la panse, guignols de César et singulièrement tartuffe des médias, fussent-ils ministre, avocats ou conseiller véreux au service du mal, essayent de se cacher derrière leur petit doigt pour échapper de répondre devant la justice de leur vénalité établie, est d’une corrosive plaisanterie.

La preuve des demandes de réparations des 2 accidents d’avion est irréfutable  :ci-jointe, la lettre des réclamations de la présidence, adressée à Transnet/SAA.

En Afrique du Sud, l'on parle d’un virement de 40,5 milliards Cfa au profit de la Camair, et non pas seulement 32,5 milliards comme il est affirmé. J’en parle depuis 2005. Captées en septembre 2004 auprès de Transnet/SAA  par  Monsieur Fouman  Akame  Jean, ces sommes  ne sont d’ailleurs  qu’un iceberg  d’une criminalité en série perpétrée au palais présidentiel de Yaoundé. Lorsqu’un autre futur ex-ministre d’Etat  sera aux arrêts, il  viendra  confirmer mes dires pour daigner en faire des choux gras ! Je suis un homme patient, mêlé à aucun scandale,  j’attendrais ce moment là aussi.

Fouman Akame Jean, est un intendant du «sérial crimes».

Comme des clochers et des  grelots, ils trimbalent après eux, les stridents cliquetis des transferts d’argent issu des tragédies humaines, pour leur usage privé. Les comptes de la SNH à l’étranger, en France, servent de cache-sexe, ils blanchissent les crimes financiers. La « kleptomanie » méphistophélique du cœur du régime est dénudée par de très  proches collaborateurs de Paul BIYA, destinataire final de l’argent, si non, qu’il ouvre donc des poursuites judiciaires contre Fouman Akame Jean et autres corrompus épinglés. La preuve ? Un compte bancaire spécialement ouvert au nom d’un Etat par un individu et immédiatement clôturé après capture des fonds dissimulés = blanchiment.

Le mystère et le sacré du haut lieu de la République sont démythifiés, affichant une hideuse nudité en public de Cléopâtre,en l'espèce, « reine d'une justice» à deux vitesses. Le palais s’isole en forteresse de voleurs de chameaux. « L’épervier »  a corrompu son maître, l’escarcelle du crime à la main, rivalisant avec lui d’adresse, le rythme du tam-tam bafia, un pas devant, deux autres en arrière. 

Qu’un illuminé à l’imaginaire fantasmagorique  « Owona François » clerc des ripoux, joue au messie, veut marcher sur l’eau, pour nier l’évidence, ou que Jean Fouman Akame et son neveu d’avocat, Engono Essame Gorges, fondent en jactance sur ma personne, sauf sur l’argent volé, dans le journal d’un repris de justice  bien connu pour son style journalistique crasse, Mvie Blaise, est d'une agitation sans objet pour les victimes, mais aussi sans objet pour les juges qui ouvriraient  bien un procès criminel !

L’agitation substitue le déni, celui du crime. Il n’est d’aucun  intérêt à l’égard  des victimes du crash d’avion dont le fric qui indemnise le sang versé est volé ou de la Camair, de démystifier l’adresse d’un Mila Assouté, inscrit pourtant au registre des propriétaires fonciers parisiens, comme « SDF » à Paris, ni de faire appel à des verdicts d’instance avant-dire-droit infirmés par les tribunaux en France, pour se laver des crimes  graves  commis. Le Peuple du Cameroun veut savoir où est passé son argent et non pas où habite Mila Assouté.

Comment comprendre d’ailleurs que des criminels notoires, hommes liges d’un régime cannibale, recherchent l’adresse physique d’un ennemi, exilé politique? Les actes de justice, pour leur gouverne,  se déposent dans les cabinets d’avocats conseils où le domicile judiciaire du défendeur dans une procédure est élu.

Revenons-en à ce qui est en jeu :
(i) Communiquer preuves à l’appui, le montant reçu de SAA par Fouman Akame Jean et prouver matériellement la traçabilité des 40,5 milliards encaissés sur son compte parisien,

(ii) prouver l’indemnisation des 71 victimes du crash du « Nyong ».

(iii) Prouver le paiement des 10% qui sont dus à  ATT, signataire de l’accord avec le Cameroun. 

A *l’évidence actuelle, *ATT/B*  est bénéficiaire à BNPPARIBAS Monaco d'une somme d'argent, 1.703.721 $ qui, selon vous,  vient en règlement de ce qui est du à ATT; Or, poursuivis en justice à Johannesburg  pour abus de confiance et escroquerie, le libanais  Fouad Srouji, présenté comme étant  le destinataire dudit virement complaisant, de 1 milliard Cfa, auquel il n’avait aucun droit, a déposé  sous  serment écrit, devant un juge sud-africain, n’avoir aucun lien avec le virement  envoyé à  ATT/B, exécuté  par le Cameroun, et y déclare n’être pas propriétaire du compte n° *6268080* de la BNPPARIBAS MONACO qui lui est attribué par Jean  Fouman Akame.

L’absence de preuve  de l’existence légale de ATT/B, et le défaut d’un accord formel conclu entre le Cameroun et ATT/B au même nom, ayant justifié un tel ordre de virement  ainsi que la non production de l’accord transactionnel  secret signé avec SAA, qui aurait servi de fondement au calcul des 10% pour rendre ce paiement conforme au montant du à ATT, consacrent les velléités criminelles de leurs auteurs et singulièrement du donneur d’ordre d'un tel virement : Fouman Akame Jean.

La somme virée à ATT/B ne correspond pas aux 10% du montant reçu du procès arbitral, soit 40,5 milliards = (4,5  milliards Cfa*) qui sont dus à ATT.(ci-jointe copie du serment judiciaire de Fouad Srouji ne reconnaissant pas le destinataire du virement, ni la propriété de ATT/B)*

L’indemnité des victimes du crash s’élève à hauteur de 8 milliards Cfa, le solde principal ,(28 milliards), appartient à la Camair. Une instruction judiciaire est un impératif de vérité et de justice. Le cas échéant, son refus est un aveu du crime par celui qui l’en a mandaté,  Paul BIYA lui-même.

Il est prouvé, qu il ne peut  plus être  contesté ici, que le procès de Paris et Londres, incluait bien les 2 accidents d’avion. Je dis en plus de cela, que l’ancienne compagnie aérienne nationale est victime de « l’euthanasie » des mêmes crapules, le De cujus  précipité dans un ravin, pour  s’approprier son pactole. Toutes autres jérémiades des officines du palais, ne répondant pas clairement au sujet central posé, est une ridicule diversion de loubards, pris la main dans le sac.

Une corrélation aux dérives récidivistes d’un péché véniel au Palais présidentiel.

Deux  proches collaborateurs de Paul BIYA lui imputent une vénalité liquéfiante. Amadou Ali, alors ministre de la défense et moi, avons vécu un dilemme en 1997 : En présence des américains venus négocier leur libération, Edzoa Titus et Thierry Atangana n’eurent aucune circonlocution pour accuser Paul  BIYA d’un autre détournement de 120 millions de dollars (70 milliards Cfa) à la présidence : les fonds routiers(COPISUR) destinés à bitumer des routes à l’Est du Cameroun, dans le Sud  et le Sud-ouest.  Le Pr. EDZOA Titus est lui aussi comme Marafa, ex-secrétaire général de la Présidence de la république. L’omerta brisée par les deux Deus Ex Machina, fait de Paul BIYA, une survivance d’une dérive récidiviste…

Je reviendrai en temps opportun, sur les suites des enquêtes que j'avais alors menées à la demande de Amadou Ali, sur instruction de Paul  BIYA lui-même qui ne voulait laisser de place au doute au sujet de la disparition au cabinet présidentiel, des 120 millions de dollars de COPISUR dont il était soupçonné.

La hiérarchie de International United Black Fund, Ong américaine que je dirigeais dans la sous-région,  me chargea en 1997, de recevoir certaines personnalités américaines, connaissances de Thierry  Atangana  et  Edzoa Titus, et  de leur organiser un rendez-vous au plus haut niveau de l’Etat. Ils envisageaient la libération des 2 prisonniers. En échange, Paul BIYA et Amadou Ali, exigeaient la restitution à l’Etat, des sommes détournées par le tandem.

Les autres  motivations taboues, au-delà des questions d’argent ou de politique qui ont un fondement certes, autour de l’arrestation de Mr. Edzoa Titus sur lesquelles je reviendrais un jour, en rapport, soit avec Metamerx, soit  avec  un médecin cancérologue d’origine Suisse, relativement à une grande dame trucidée dans l'isolement des arcanes, feront l’objet d’une autre posture…

Il y a d’autres sujets que Amadou Ali n’ignore pas : le drame humain qu’il m'a avoué le commandement opérationnel avoir provoqué en son temps, frustré qu’il s’était senti ce jour là et dégoûté  par la haine que les Bulu nourrissaient malgré tout à son égard en tant que MINDEF alors que sa fidélité au régime à son avis, était sans faille...

C’est le contenu de cet entretien qui a provoqué en moi le 1er déclic de l'idée de ma démission du RDPC. Je le reprendrai mot par mot le moment venu, lorsque mes aïeux, seuls dépositaires terrestres de ma liberté de conscience, me guideront. Ma bouche est initiée à Santchou,  pour gérer le silence lorsqu'il s'impose, mais ne jamais travestir aucune vérité à dire en public lorsqu'on le décide, l’assumer. Je pèse donc les sujets et mes mots quand je parle d’Etat qui doit nous survivre tous. Je médite sur le choix de mon timing à le faire, sur son degré d'urgence qui oscille entre mes mémoires à venir et les  velléités politiques opportunistes des circonstances, je marche dans les pas de Dieu...

S’agissant d’Edzoa, le Commissaire divisionnaire, Eko Eko Léopold, actuel Directeur général de la Recherche extérieure, directeur des opérations à l’époque, qui ne peut le nier, assurait l’escorte des deux détenus  dans un fourgon sécurisé de couleur blanche jusqu’au lieu du rendez-vous convenu avec les américains : hôpital de la caisse nationale de la prévoyance sociale située à montée Essos. D’autres questions sont à poser à Mr.  Jean Fouman Akame pour ne pas s’éloigner de l'argent recouvré à l’étranger : qu’est devenu l’argent qui était reproché au Pr. Edzoa Titsus d’avoir collecté auprès des sociétés d’Etat dans le cadre de la préparation d’un sommet africain à Yaoundé et déposé dans des comptes à l’étranger ?  N’est-ce pas le même Fouman Akame qui en était chargé après la mise aux arrêts de ce dernier ?

Un constat : le  nom du même Paul BIYA revient deux fois de la bouche de 2 de ses secrétaires généraux, en attendant qu’un 3e parle… On peut y retenir deux choses: soit un récidivisme véniel de Paul  BIYA, soit alors une troublante convergence des déclamations  pro-domo de ses ex-secrétaires généraux.

Or, de nombreux  dossiers de la même veine que ceux-là, sont aux mains de Fouman Akame Jean dont la mission légale est de conseiller le chef de l’Etat en matière judiciaire et non pas de recouvrer de l’argent public. Les  procédures de recouvrement de fonds publics avec ses proches parents, pour le compte de la présidence de la république, dans une opacité totale, s’inaugurent en tradition à son bureau présidentiel.  Me EYOUM Lydienne, avocate emprisonnée, en sait un bout dans le dossier SAA/Etat/ATT  à Paris,  en tant que membre de ce panier à crabes, elle s’est fait mordre. Elle y a hélas trempé ses mains et en paye le prix fort...

Fouman Akame gère en secret les recouvrements des sociétés : *SGBC*, * BCC, Crédit Agricole, CNPS dans l’affaire Engo… Combien a-t-il récupéré et où est l’argent ? J’y reviendrai pièces à l’appui, notamment sur le cas Engo Désiré, relatif à la banque Pandora et la SGBC Cameroun et CAA ou plus de 200 millions de dollars  d’argent publics sont en jeu dans l’opacité.

La procédure contre SAA et TRANSNET.

Je revendique sans partage  l’initiative et la paternité de cette procédure. Sans ma dénonciation, ma proposition et mon 1er  financement, jamais  Transnet et sa filiale SAA n’aurait été amenées devant la Cour arbitrale de Paris et Londres pour restituer à  Camair, les 65 millions de dollars payés en 4 ans à SAA, en règlement des factures d’un contrat de maintenance entaché de corruption. Et subsidiairement, de payer, au  titre des  dédommagements inhérents  aux 2  accidents  d’avions,  le crash du « Nyong » ayant fait 71 morts en 1995 et la chute du réacteur du combi 747 dans le ciel de Paris, les dommages et intérêts querellés. La partie Camerounaise a gagné ce procès et vu toutes ses demandes accordées avec l’assistance de ATT.

Le mandat délivré à Fouad Srouji est  clair  et précis. Il est déchargé au bureau de Fouman Akame et ne donne droit à aucun versement d’argent à ce dernier. Ce mandat a été délivré lorsque Fouman Akame Jean   m’expliquera, que  Marafa  Hamidou  YAYA, alors  SGPR, ne voulait pas me voir  dans le comité ad-hoc pour conflit d’intérêt... En réalité, il s'agissait d'incompatibilité d’humeur provoquée par mes révélations..Il devait apporter les témoignages de la période de corruption intervenue entre 1994-1998... Un arrêté présidentiel du secrétaire  général  créera  le comité ad-hoc  et  m’en exclura  effectivement… Marafa passé au Minatd, le RDMC  mon parti et nos militants, en paieront d’ailleurs  pour leurs  frais
…(copie du mandat ci-jointe)

Faire appel à Srouji  Fouad  relevait pour moi, du bon sens, pour gagner le procès en faveur de mon pays, mais pour eux,  un stratagème pour  un nouveau détournement  à la fin du procès.  Ce qui explique d’ailleurs un peu, une vérité partielle tardive, de Marafa Hamidou YaYa sur un sujet qui date quand même de septembre 2004...

Il est incontesté qu'au  terme du procès, un virement de TRANSNET/SAA de 40,5 milliards, est arrivé sur le compte n°: 000 78 01 39 14 -53 ouvert par Monsieur Fouman Akame Jean, dans les livres de la SGBC 29, boulevard Haussmann 75009 Paris (France) au nom de : Etat du Cameroun/Présidence de la  République, compte sur lequel  Il est  le  seul signataire. Les gestionnaires de ce compte  sont : Mme Florence Thomine Et Mr Lionel DEBREUX. (voir pièce à conviction ci-jointe)

D’ailleurs un extrait de compte annuel de Transnet/SAA en ma possession atteste et, sauf « erreur » d’écrire comptable, qu’elle  a déboursé  105 millions de dollars  pour le règlement de ce différend à Paris.

Dans un Etat de droit, Je ne méritais donc  pas seulement d’être payé en retour d’investissements, mais aussi d’être décoré par mon pays, d’avoir ramené 40 milliards inespérés  à  la Camair et aux victimes du crash, au lieu d’être vilipendé, menacé de mort…A la vérité, celle qui révèle toujours le boisseau, je le mérite, contre la justice des forts à laquelle s’était joint Marafa et  à qui je pardonne ce mal. J’attendrais l’avènement d’un pays juste, mes ayants  droit aussi, comme ceux du crash,  la justice sera faite.

L’exigence de clarté.

J’ai failli être assassiné  le 19 novembre 2001, pris dans les feux d’individus armés, à mon domicile de Yaoundé Mbankolo, victime des représailles de mes révélations. Le lendemain de la tentative d’assassinat, la légion de gendarmerie du centre, dans son bulletin de renseignement quotidien est allé jusqu’à me déclarer « tué par des malfrats inconnus »

Depuis l’an 2005,  l’opinion nationale et  l’assemblée nationale  du Cameroun sont submergés en vain, par mes dénonciations sur ce sujet.  Tout le monde peut les relire sur  les sites Internet et  Plusieurs  médias camerounais et internationaux qui  en ont fait écho  longtemps avant  la 4e lettre  de  Marafa Hamidou Yaya :
youtube émission *Africa 24 avec le journaliste Thierry HOT en 2009,
de nombreux journaux camerounais  en 2006 dont  le messager,  le journal le  front,  la nouvelle expression, la lettre du continent, google...

Revisitons succinctement la genèse des faits et des documents joints.

Par ma note de novembre 1999, j’informe Paul BIYA de la corruption de ses proches collaborateurs dans l’affaire SAA. Il met  en place un comité de 4 membres pour  instruire et suivre le dossier. Le comité est composé  de : Fouman Akame Jean, conseiller technique/PRC, Mila Assouté  consultant, Egbe Achuo Hilmann chargé de mission/PRC, Christine Ngo Mandeng, représentant du ministre de la justice (Amadou Ali). Mr Ateba représentera  la Camair  plus tard. *(Pièce à conviction avec  la griffe et l’accord  de Paul BIYA en personne

Les principaux mis en cause par SAA étaient : Marafa Hamidou Yaya, Issa Tchiroma Bakari, Belibi Joseph, Louis-Paul MOTAZE… On soupçonnait aussi les nouvelles autorités de la Camair : Cyrile Etoundi  et Abondo Gérôme.  *A)*     *Sur les destinations des  détournements de la somme due à ATT, à Camair et aux victimes du crash.

Après s’être vue* * opposé* un refus de se faire  payer les 10% convenus dans un contrat avec l’Etat, un procès s’ouvre à Paris en 2006,  en réclamation du paiement dû à  ATT  (et il y  est dénoncé  également dans mes conclusions, la confiscation des indemnités  des victimes du crash…)

Je découvrirai  alors  au tribunal après de vives pressions de mes avocats et du juge, la preuve d’un virement de 1 milliard Cfa(1.703millions$)  de la SGBC-Paris,  sur instruction de  Jean Fouman Akame, vers  un compte à numéro  intitulé ATT/B  n°   6268080 * domic*ilié dans une BNPPARIBAS  à Monaco ;  parti de la SGB  de  Paris, l’argent  a   fait le  tour du monde : SGBC-Paris via  SGBC Genève, en passant par  Philadelphie et ensuite  New-York, pour atterrir à BNPPARIBAS de  Monaco et  puis revenir à Paris, motif :  «  paiement de ATT/B,  en règlement  des sommes dues à AT T » .C’est, ainsi  que  l’ ordre de virement signé de Fouman Akame Jean est libellé.  La banque de Monaco invoque le secret bancaire et refuse de communiquer le nom du bénéficiaire réel dudit transfert...   Il me sera indiqué d’adresser les réclamations d’ATT, à Fouad qui nie sous serment judiciaire, n’avoir jamais reçu de virement de l’Etat du Cameroun et n’ être pas  propriétaire du compte ATT/B bénéficiaire dudit  virement, son action s’étant strictement  limité au mandat de ATT qu’il a reçu.**(ordre de virement ci-joint)*

*L’argent de la Camair et celui des victimes du crash quant à lui sera viré en partie, sur un compte du comité  ad-hoc à la BICEC de Yaoundé Cameroun, l’autre partie, virée aux  destinations ci-dessus indiquées à Neuilly(Paris)... le compte est  dit clôturé à la SGBC…  Les intervenants tels que  Amadou Ali qui n’était que  l’intermédiaire de ma note auprès de Paul BIYA, Egbe Achuo Hilmann, Ngo Mandeng Christine et autres recevront en récompense  jusqu’à 100 millions Cfa environ chacun. Un des  membres  du comité, Egbe Hilmann fût  nommé  ministre  et l’autre Ngo Mandeng  mutée  à la SNH…Etoundi Cyrile ancien DG  de Camair fût sacrifié, Tchiroma sera nommé ministre plus tard, Marafa  expédié  au Minatd où il massacrera le RDMC mon parti…*

*B)  Sur la corruption des hautes personnalités à l’origine de mon initiative.                 *

*la corruption de personnalités de l’Etat s’est produite en deux temps : au moment de la signature du contrat  en 1994 par  Issa Tchiroma et compagnie, il a lui-même reconnu avoir été corrompu,(il a reçu un véhicule de marque Mercedes et de l’ argent cash 86millions  par virements) avec certains prête-noms… Et en 1998, lorsque  de très hauts dignitaires de l’Etat, selon SAA, ont été corrompues  pour bloquer une opération de résiliation/reconduction du même contrat décidée par Le secrétariat général de la présidence de la République et les autorités de la  Camair...*

*C) Un  règlement de  compte éhonté*

*Les représailles n’en finissent plus depuis 2001 après l’échec de mon assassinat: ma candidature à la présidentielle ne sera pas validée ni en 2004 ni en 2011, mes recours rejetés  par la Cour suprême, parfois  à minuit dans l’obscurité en éteignant les lumières, ma voiture cambriolée à Paris, mes bureaux de Yaoundé déménagés par des gendarmes et mes effets jetés à  la rue, un de mes  appartements à  Clichy visité en 2007, ma sœur et ma mère pilonnées toutes les 2, mortes subitement en 2 mois, la tombe profanée...! Ensuite*,  à  la requête de Paul BIYA,  un huissier de justice basé à Yaoundé me  signifiera  en octobre 2011,   sans aucun  jugement contre ma personne, la saisie conservatoire  de  ma caution de candidat à la présidentielle d’octobre 2011,  d’un montant de 5 millions Cfa dans un procès qui oppose ATT à l’Etat. Paul BIYA en personne, dans  sa requête à moi adressée,  confond  Mila Assouté à ATT, me réclame   une dette inexistante, basé sur un jugement révoqué.

* En effet il était  reproché à ATT et son gérant  de propager contre l’Etat, son  ambassade et la SGBC dans la presse, le détournement  des 105  millions de $ (55 milliards Cfa au taux de change de 2004). Un condamnation d’instance  s’en est suivie en 2006 contre ATT. Elle sera totalement  révoquée à la Cours d’appel de Paris   le 14 Mars 2007 par jugement contradictoire en présence de Fouman Akame et Me Engono son neveu,  obtenu par mon avocat Me Jacques MOUTOT, à la  8e chambre civile section B  n°RG 06/17671. Pendant 2 ans Fouman et son neveu Engono Essame se payaient des billets d’avion de 1ere classe chaque semaine juste pour venir notifier un acte à ATT en France  alors qu’ils avaient constitué 6 avocats à Paris  rémunérés pour les mêmes tâches...*

*L’affaire est restée devant le juge au stade des exceptions par eux soulevées : « l’immunité diplomatique…  l’incompétence territoriale du juge français…le domicile de l’Etat du Cameroun est à Yaoundé blablabla… ». Jamais ils  n’ont voulu  aborder  la question de fond : celle du détournement des 40,5 milliards et de  la dette due à ATT brandissant un virement au profit  d’une fiction,  ATT/B,  qui n’existe nulle part juridiquement. Le juge a renvoyé ATT à mieux se pourvoir, le procès n’est pas clos.*

*Aveuglés par la haine et la vengeance, l’honneur chevaleresque, ils  n’ont pas hésité  à confisquer mes 5 millions de caution  et laisser   croire dans les médias, que j’étais débiteur de  l’Etat de la somme de  49.000.000 Cfa  sans en préciser l’origine ! J’ai décidé d’abandonner à leur  vol incurable,  mes 5 millions aussi. (Pièce)*

*Evoquer l’absence de mon domicile privé en France pour justifier la confiscation de mes 5 millions au Cameroun où ils auraient  enfin  retrouvé mon adresse, contredit  Elecam qui a  rejeté ma candidature à la présidentielle de 2011 pour « défaut de résidence au Cameroun ». Les Etats voyous  n’ont  vraiment  aucune limite !*

Les discours pathétiques  de soutien du  président de l’assemblée nationale à *Paul BIYA,* du haut de son perchoir sont mis à nus. *Paul BIYA et Fouman Akame Jean,* son Conseiller juridique, sont fortement et directement impliqués dans des rapines financières.

Si Paul BIYA  « ne commente pas  les commentaires »,  alors qu’il proclame la vérité d’en haut, je l’écoute !

*Une mise aux arrêts des exécutants des  décisions et actes dolosifs présidentiels.*

L’ancien premier ministre *Inoni  Ephraim*, et 2 ex-ministres d’Etat SG/PRC, *Marafa  Hamidou Yaya et Atangana  Mebara*, pour ne citer que ceux là,  sont sous les verrous,  inculpés  dans  une autre brumeuse affaire d’avion présidentiel  dont l’achat  contournait les procédures légales d'acquisition, sur instructions de Paul BIYA, « Chef de l’Etat », ce qui n’est pas forcément à la gloire et l'innocence de la glaive de César  le tricheur  impitoyable  qui crie ô voleurs !

*A quel titre, *Monsieur *Fouman  Akame Jean, *sinon celui d'une délinquance à col blanc,  ouvre t-il  des comptes bancaires à l’étranger au nom de l’Etat  du Cameroun, à l’insu du ministre des finances, avec sa seule signature, y reçoit des milliards de fonds publics,*  *les gère à sa guise ?

*Une preuve d’escroquerie de Fouman Akame Jean*: Il est aujourd’hui prétendu que sortant de nulle part, je  revendiquerais pour mon ATT  qui serait subitement  devenue une pâle copie d’une autre ATT libanaise,  un paiement indu… Or, Fouman Akame Jean, oublie que  la première mission du comité ad-hoc en Afrique du Sud pour authentifier les documents soumis à Paul BIYA,  fut  entièrement financée par mes fonds, ceux  de mon  ATT, et ceux empruntés à  mon fils aîné, Mila Esselem Calvin, alors étudiant à Paris : virement n° 1280514569, de 26.000FF en 1999,  au profit  de Fouman Akame  Jean, à son compte n° 00051036539-59, agence 03461, de la SGBC avenue Waggram à Paris.  Egbe  Hilmann chargé de mission à la présidence déchargea en bonne et due forme en complément, 7.200.000 Cfa auprès de ma caissière de Yaoundé. 10 millions Cfa en tout. Le contestent-ils? Aurais-je été remboursé de ces sommes ? D’où vient-il qu’une fois  l’argent encaissé auprès de SAA, je sois devenu "un serpent d’opposant, un Mila sans domicile fixe, sortant de nulle part avec une société  ATT  inconnue dans cette affaire", vilipendé devant les juges et dans la presse nationale et internationale? Dites-moi ce que c’est, si ce n’est de l’escroquerie de Fouman Akame qui s'est enrichi sans cause de sa main gauche de mon argent, le miroir du contrat avec ATT à sa main droite? (*lire le relevé de compte bancaire de Fouman akame Jean ci-joint) insulter un homme avec son argent escroqué  dans vos poches, Mr. Le  magistrat hors échelle, rasez les murs !*

*« L’épervier » vous le voyez, est au palais de Paul BIYA. Il doit prendre ses proies, toutes ses proies, sinon l’aigle descendra inéluctablement un jour  s’en occuper. *Les petites corruptions, celles des griots de fortune sans relief, sans avoir à les balayer du revers de la main, ne doivent pas servir d’écran de fumée au vrai sujet : *un détournement massif au cabinet de Paul BIYA. *



14/07/2012
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